La nature contient bien assez pour les besoins de chacun, mais pas assez pour la cupidité de tous.
d. dylan-skÿe wilson ≈ Le capitaine m’appelait dans son bureau. Il devait absolument me parler. Je toquais deux fois à la porte.
« Entre Sky. » Le capitaine Jacksons est très proche de nous. On sait qu’on peut lui parler sans qu’il s’énerve. Quand j’allais dans son bureau, je ne prenais jamais place sur le fauteuil. Je ne suis pas du genre à rester assise. J’ai besoin d’être debout pour pouvoir bouger.
« Vous vouliez me parler. » Il se leva à son tour. Et vint vers moi.
« C’est à propos de la mission que vous êtes entrain de faire avec ta sœur. » ça avait été une mission plutôt dur qu’on avait pas fini. Ma couverture avait grillé hier soir. Il avait fallut qu’on parte avant de se faire tuer. C’était très dangereux. Etant jumelle, lorsqu’une de nous deux grillait sa couverture, l’autre avait pas beaucoup de chances de garder la sienne.
« On m’a dit que vous alliez envoyer deux autres agents pour nous remplacer. » Il passa sa main dans son cou avant de mettre ses mains dans ses poches.
« En faites, Alex est retourné la finir. Elle m’a promis de faire très attention et que sa couverture n’avait pas été découverte. » Mon sang ne fit qu’un tour. Mes poings se serrèrent. C’était de la folie pure de l’envoyer finir la mission. Elle allait y passer à coup sûr. Les gars qu’on allait arrêter, n’était pas des ours en peluche.
« Vous êtes vraiment inconscient. Elle va se faire tuer. Vous auriez dû lui dire de stopper la mission, que c’était beaucoup trop dangereux pour elle. C’est votre devoir. » Je pris une pile de papier que je fis voler à travers la pièce. Il ne me broncha pas, ne disant rien. Je crois qu’il a bien compris ma colère et la bêtise qu’il avait faite à ce moment là.
« Si ma sœur meurt durant cette mission, je promets de vous détester jusqu’à la fin des temps.» Je sortis de la pièce en claquant la porte comme une furie.
Trois jours que nous étions sur cette mission. Pour l’instant, tout allait bien. Cependant, je trouvais que ça n’avançait pas assez.
« On va devoir rester encore longtemps dans cette maison à attendre. » Je venais de rentrer dans la maison qui nous servait de couverture avec un paquet de nourriture. Il fallait que je mange, ça allait me permettre de penser à autre chose.
« Il ne faut pas précipiter les choses. » Il venait sortir de la salle de bain seulement vêtu d’un bas de shogging. La gente féminine saurait tomber raide dingue devant ça. Je ne suis pas comme les autres. Je ne flanche pas devant un corps d’apollon puis je suis avec Declan, je ne vois pas pourquoi j’irais voir ailleurs. Je suis bien avec lui.
« Mais ça fait déjà trois jours. » Il sortit son petit sourire de charmeur. Les gens avaient confiance en lui parce qu’il les séduisait pour les mettre dans sa poche. Il voulait faire la même chose avec moi, je le voyais bien. Il s’approcha de moi lentement. Très lentement. Des pas fluides.
« Vous êtes une vraie tête de mule. » « Oh ! Et vous, un pauvre trouillard.» On était de plus en plus proche. Nos corps se frôlaient presque.
« Vous êtes impatiente, impulsive et bornée. Vous devriez être plus clémente avec vous-même et les autres. Ça vous ferez du bien. » « Sale abruti ! Je préfère être comme ça qu’être un capitaine planqué derrière un bureau qui ne fait plus aucune mission. » les bras croisés, je le regardais sévèrement. Il me mettait hors de moi. Je ne sais pas s’il le faisait exprès mais ça marchait divinement bien. Mon pou était en pleine irruption.
« C’est comme ça que vous traitez vos policiers et bien….» Je ne vis rien arriver. Il plaqua ses lèvres contre les miennes. Je ne le repoussais pas. Non. Rien de tel. C’était si soudain. Tout s’est accéléré. La température est montée d’un cran. Il m’a poussé contre le mur du salon en m’embrassant encore et encore. Je lui rendais la pareille en baladant mes mains sur son torse. Je n’avais déjà plus ma veste lorsque son téléphone portable s’est mis à vibrer soudainement.
« Je suis désolé.» « Il ne faut pas. » nos lèvre se sont retrouvés. On a passé la nuit dans le même lit. Ce fut magique. Jamais je n’aurais pensé me laisser ainsi surtout pas avec mon capitaine. J’avais vraiment fait une énorme erreur là puisque j’avais trompé Declan.
entre X et Dylan, c'est un peu comme le chat et la souris. ils s'attirent comme des aimants. seulement, ils restent distant. depuis la fois où ils sont couché ensemble, Dylan est distante. X ne comprend pas mais il fait tout pour que la demoiselle lui reparle à nouveau. il n'est pas prêt à la lâcher surtout qu'il tient vraiment à elle. plus qu'il ne le pensait.
elisabetha renee paxon ≈ ils se sont rencontrés lors d'un voyage d'Elisabetha. une rencontre qui parfois n'est pas aussi banal qu'on le pense. ça à parfaitement coller entre eux. et oui parfois, il suffit d'une rencontre pour tomber sur la personne qui deviendra sa meilleure amie. X et Elisabetha sont comme un frère et une sœur. ils se parlent beaucoup, se confient et sans jamais avoir une seule fois jugé l'autre. les amitiés comme ça sont rares et elles ne devraient jamais disparaître.