Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 6 Jan - 22:28
I'm so afraid without you.
J'avais maintenant la confirmation que je n'y étais vraiment pas pour rien dans sa soudaine crise de larmes. Et savoir ça, n'était pas du tout rassurant. Tout au contraire. J'étais atterré, désolé et je culpabilisais à mort. Sauf que je ne voyais pas bien ce que je pouvais faire de plus que de lui expliquer les raisons de ma décision et tout ça. Je ne pouvais pas la forcer à entendre raison non plus. Je ne pouvais pas l'obliger de se ranger à mes arguments. Quand bien même j'étais sûr de moi et de mes convictions. J'aurais tellement aimé avoir une solution miracle pour apaiser ses larmes et tout ça. Mais il ne fallait pas trop rêver, malheureusement. Ce n'était pas magique. Oli ... Est-il vraiment nécessaire de s'afficher au grand jour et aux yeux de tous, pour être heureux dans notre relation ? demandai-je en fronçant un peu les sourcils. Parce que c'était là l'impression qu'elle me donnait. Celle de croire dur comme fer que nous ne pouvions pas être heureux si tout le monde n'était pas au courant pour nous. De mon côté, j'étais plus du genre à penser que pour vivre heureux, il fallait limite vivre cachés. Dans notre petite bulle rien qu'à nous en clair. Est-ce que notre amour, en lui même, ne suffit pas à nous rendre heureux ? est-ce que ça ne te suffis pas, à toi ? Parce que la vraie question était plutôt là. De mon côté, je savais que je pouvais m'en contenter pendant encore quelques temps. Mais elle me donnait l'impression de ne plus partager ce point là.
Nous regagnâmes quand même son lit sur lequel elle se rallongea, avant de me faire signe de venir près d'elle. Ce que je fis évidemment tout de suite, soucieux de savoir ce qu'elle avait à me dire. Je sentais déjà la tension alourdir désagréablement l'air. Je me figeais de plus en plus, au fil de ses mots. De ses paroles douloureuses. De sa tentative de me faire entendre raison à propos d'une chose qui ne nous avait jamais posé de problème jusqu'à maintenant. Encore une fois, elle se montrait plus mature que la moyenne et me remettait correctement à ma place. D'accord. J'étais l'irresponsable dans l'histoire. Je comprenais. Je savais. Tu ne vis pas à l'autre bout de la ville, non plus ... Soufflai-je d'une voix à peine audible. Et quand je ne serai plus avec Laurie, comment ça fonctionnera quand elle gardera Jessica ? Est-ce que je devrai suivre et aller dormir chez elle aussi ? Ou bien est-ce qu'on va faire un super ménage à quatre ? Demandai-je sur un ton ironique, dans lequel on pouvait parfaitement sentir qu'elle venait de m'atteindre en plein coeur, en me demandant carrément de ne plus venir dormir chez elle. En clair, la seule façon pour que cela arrive de nouveau, ce soit que je quitte Laurie. Et qu'on s'affiche pleinement tous les deux. Ce qui, au final, revenait à sa demande faite précédemment. Après un soupir las, je me dégageai de sa main pour me lever et m'éloigner de son lit. J'allai m'adosser contre un mur, pour la regarder. Tu m'as dis ne pas vouloir me forcer à me ranger à ton point de vu. C'est pourtant ce que t'es en train d'essayer de faire. Lâchai-je sur un ton mordant.
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mer 7 Jan - 0:01
Il ne comprenait pas, il n'y était pas du tout, il était même très loin du compte. Ce n'est absolument pas ce que je disais, pourquoi est ce qu'il déformait ainsi mes propos. En plus de cela son ton commençai à se faire de plus en plus froid envers moi. Je gardai mon calme déjà car il fallait bien que l'un de nous deux le fasse, ensuite parce que je n'avais plus assez de force et d'énergie pour m'énerver, et parce que j'avais horreur que le ton monte rentre nous.
Non tu n'y est pas Joe... Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire. Je me fiche bien que la terre entière soit au courant ou non, ça m'est complètement égal... Je voulais juste en parler à Laurie pour qu'on puisse vivre ensemble. Tout ce que je veux moi c'est être avec toi plus souvent...
Je lui parlai doucement, délicatement, en gardant le plus grand calme mais je dois dire qu'il ne me facilitait pas vraiment la tâche à continuer de s'adresser à moi de cette façon. Peu être que si j'avais été en pleine forme, je lui aurais dit de baisser d'un ton quand il s'adresse à moi, mais je n'en avait pas le courage. Il commençait à être de plus en plus blessant dans ses propos. Je venais de me faire sauvagement agressée par un homme, j'avais craquer nerveusement, et au lieu de me soutenir et d'être la pour moi, il me réprimandait, me faisais des reproches.
Au lieu de prendre sur lui, comme je l'aurai fait si la situation était inversé, comme je le faisais maintenant, il s'en prenait à moi. C'était injuste. Il était injuste avec moi. Quand il s'éloigna de moi, alors que j'étais entrain de lui dire à quel point je l'aimai, de lui dire qu'il était l'homme de ma vie, ce fut comme une dizaine de poignards qu'on m'enfonçais dans le cœur. Pourquoi était il soudain si odieux? N'ai-je plus le droit de lui dire ce dont j'avais envie moi aussi? Je me pliais en quatre moi pour lui faire plaisir. Depuis qu'on s'était remis ensemble, j'étais toujours la pour lui, je le soutenais du mieux que je pouvais, je passais mes nuits avec lui au téléphone même quand j'avais cours très tôt le lendemain, je l'aidai avec Jessica, avec Laurie, je faisais tout pour lui. Et c'est comme ça qu'il me remercie? En s'en prenant à moi alors que je suis dans cet état? En me tournant le dos quand j'avais le plus besoin de lui? Je commençai au me dire que les choses n'allaient que dans un sens dans cette relation. C'était toujours moi qui prenais sur moi, c'était toujours moi qui le soutenais, pourquoi n'en faisait il pas autant? Je lui donnait toujours tout ce qu'il voulait.
Mais quand il osa dire, que moi, Olivia, j'essayai de le forcer à changer d'avis, à se ranger au mien, alors que je ne pensai qu'au bien de sa fille à lui, sa fille qu'il avait eut avec ma sœur, dans mon dos, ce fut le goutte de trop. Les larmes me montèrent de nouveau aux yeux, bien que je serrai les dents de toutes mes forces pour les retenir et qu'elles ne coulèrent pas. Je le regardai dans les yeux, le regard absent, le ciel venait de me tomber sur la tête, je restai silencieuse et immobile un moment. Ces mots la, il n'aurait jamais du les prononcer. Je n'oublierai jamais ce qu'il venait de dire. Après ce long moment d'absence et de silence, ou j'avais du mal à avaler et à me remettre des paroles immondes qu'il avait oser me dire, je détournai mon regard du sien. Je tournai la tête pour regarder par la fenêtre. Puis je serrai les yeux et les points très fort pour ravaler mes larmes. Il insinuait que j'étais manipulatrice, que j'essayai de le forcer à se ranger à mon avis, à le forcer à ce qu'on avoue tout à Laurie, à le forcer à ce qu'on soit plus proche alors qu'il ne semblait pas en avoir envie. Comment pouvait-il penser que j'étais capable de ça? Est ce qu'il me connaissait aussi mal que ça? Je pris mon courage à deux mains pour de nouveau le regarder. Mon ton n'étais pas méchant, bien au contraire il était doux, lent, empreint d'une profonde tristesse.
T'as pas le droit de me dire ça...
J'eus un peu de mal à poursuivre...
Comment tu oses me dire ça? Comment tu peux ne serait-ce que penser une chose pareille? C'est à croire que tu ne me connais pas du tout. C'est moi Joe, c'est moi Olivia, comment tu peux penser ça de moi? C'est...c'est insultant, et blessant, et faux surtout... Je n'ai penser qu'à Jessica moi. Oses me dire que ça ne te fends pas le cœur de l'imaginer seule la nuit, sans personne pour la consoler ou lui faire un câlin quand elle en a besoin? Oses me dire que ça ne te fais rien. C'est ta fille tout de même... Comment...comment tu peux me dire ça? À moi?...
Je me relevai encore tant bien que mal. Mon corps me faisait incroyablement souffrir, je grimaçais à chaque geste. Ça ne serait pas arrivé s'il était resté à côté de moi, mais il était aller d'adosser à l'autre bout de la pièce, m'obligeant à me lever et à bouger dans mon état, à croire qu'il ne pensait jamais à mon bien à moi. Je le rejoint devant son stupide mur et...je posai ma tête sur son torse et passais mes bras autour de son cou.
Oublies tout ce que j'ai pu dire ce soir, sur mes envies ou quoi que se soit. J'ai horreur qu'on se dispute. Alors oublions tout ça d'accord? Ont continuera comme maintenant, tu n'aura qu'à emmener Jessica avec toi quand tu prévois de rester dormir avec moi. C'est un bon compromis non?
C'était encore moi qui me plais à ce qu'il voulait, comme d'habitude. Mais ça ne me dérangeai pas, j'étais prête à le faire pour lui.
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Jeu 8 Jan - 22:15
I'm so afraid without you.
J'avais un peu de mal à la suivre depuis plusieurs minutes. Je ne comprenais pas vraiment ce qui était en train d'arriver; Et pour quelle raison elle se mettait, soudainement, à penser de la sorte. A vouloir tout ça pour notre couple, plutôt qu'autre chose. N'étions-nous pas bien et heureux tel que nous étions déjà ? Apparemment, ce n'était pas assez pour elle. Et cette idée me dérangeait beaucoup et me faisait un peu de mal. Quand bien même j'essayais de ne pas trop le montrer. En fait, je me contentais de me fermer de plus en plus au fil de ses mots. De me rétracter et puis même physiquement m'éloigner d'elle quand l'agacement fut trop fort. Blessé par ses paroles, j'en arrivais à dire des choses qui n'étaient pas moi du tout et qui ne correspondaient absolument pas à ce que je pensais vraiment en général. Là sur le coup, si je le disais, c'était bien parce que je le pensais, bien sûr. Mais dans le fond, ce n'était pas du tout le cas. Je ne pouvais pas penser pareillement à son sujet. Pas du tout. Notre relation était trop belle et notre amour trop sincère, pour qu'elle puisse être ce genre de personne là .Elle ne me ferait jamais une chose pareille. Et pourtant, j'étais en train d'en émettre l'idée à voix haute. Je ne réalisais pas vraiment. Je ne savais même pas ce que je disais. C'était la douleur qui parlait pour moi. Je ne maîtrisais pas les peines qu'elle pouvait m'infliger, volontairement ou non. Parce que je n'étais pas du tout habitué à cela.
Ce ne fut que lorsqu'elle reprit la parole et me fit réaliser le sens de mes mots et leur importance, que j'en pris tout à fait conscience. Je fermai les yeux et portai mes mains tremblantes à mon visage. Je soupirai en posant mes paumes sur mes joues. J'étais surpris, choqué, gêné, désolé, blessé, mal. Vraiment mal. C'est pas ce que je voulais dire ... Marmonnai-je mollement, incapable de trouver les bons mots pour m'excuser. Je n'étais pas certain qu'elle ait envie de m'entendre lui demander pardon de toute façon. Parce que ce n'était pas pardonnable dans le fond. Je n'avais pas le droit de penser et dire un truc pareil et je le savais bien. Je fus surpris de la voir s'approcher de moi pour poser son crâne sur mon torse et enrouler ses bras autour de mon cou. Doucement, j'enroulai les miens autour de sa taille et vins enfouir mon visage dans son cou. Pour ma part, je n'étais pas prêt à me taire juste comme ça, malgré ses paroles. Je ne pouvais pas laisser les choses en l'état. Pas en sachant que je l'avais blessée. Oli je suis désolé. Vraiment désolé ... Soufflai-je doucement, en relevant la tête et en posant mes mains sur ses joues pour l'inciter à en faire de même et à planter son regard dans le mien. Je t'aime tu le sais ? Plus que ma propre vie ... et j'ai entièrement confiance en toi.
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Ven 9 Jan - 13:37
Joe était tout pour moi. Et j'avais beau avoir une sœur, et une nièce adorable, il restait tout de même la chose la plus importante dans ma vie. C'était peu être choquant de dire cela, mais j'étais honnête avec moi même et c'était tout ce qui comptait à mes yeux. Je ne pouvais me passer de lui. C'était probablement pour cela que je laissais passer tant de choses, je lui pardonnai tout. Il pouvait le blesser, ne pas agir correctement, ne pas faire autant pour moi que j'en faisais pour lui, peu importe. Et je me fichai bien que l'ont pense que je suis naïve, que je me laisse trop faire ou ce genre de choses. Ceux qui pensait cela n'avait jamais ressenti l'amour que je ressentais pour Joe. C'était plus fort que l'orgueil, plus fort que la peur, plus fort que l'envie de vivre une relation normale, alors j'acceptais ce qu'il voulait, une fois de plus. J'accepterai toujours ce qu'il ferait et ce qu'il voudrait, ce n'est pas la première fois. J'aimerai juste que parfois lui aussi écoute un peu mes envies, mais peu importe. Les seules choses impardonnables pour ma part serait une nouvelle tromperie avec une autre, que ça soit Laurie ou non, cette fois je ne lui pardonnerai pas et aussi difficile cela puisse être, je le quitterai, définitivement cette fois. Et la seconde raison pour laquelle je mettrai fin à notre relation serait s'il venait un jour à lever la main sur moi, ce qui, connaissant Joe, était absolument impossible, donc je ne m'en faisais pas du tout pour cette deuxième chose. C'était plus de manière générale, je me suis toujours dit que si un jour un homme était violent avec moi je le quitterai, mais avec Joe je n'avais pas à m'en faire, et comme je comptai bien passer le reste de ma vie avec lui, ça ne m'inquiétait plus.
C'est pour toutes ces raisons que cette fois ci je lui pardonnait encore, bien que le fait que je lui pardonne ne signifie pas que j'oubliais ou que ça ne me blessai pas. Au contraire, je savais que les paroles qu'il avait prononcés résonneraient dans ma tête toutes les nuits avant de m'endormir, et que j'allais en souffrir encore longtemps. Enfin, pour l'heure, je me levais tant bien que mal pour aller me blottir dans ses bras. C'est ce qui m'apaisais, être dans ses bras, le toucher, l'avoir près de moi. Il me disait qu'il m'aimait plus que sa propre vie... Quand cet homme me regardait dans les yeux en me disant de telles choses, je ne pouvais que le croire, je ne douterai jamais de lui. Il me prit le visage afin que je plonge mon regard dans le sien. Je hochai la tête.
Oui, je le sais. Je t'aime encore plus. Moi aussi j'ai confiance en toi.
Je ne pus m'empêcher de venir déposer délicatement mes lèvres sur les siennes. Ce goût si familier que j'aimai tant me réconfortai un peu. J'étais toujours triste, je pensai encore aux propos insultants et blessants de Joe, il n'imaginait pas la peine qu'il avait pu me faire, mais je ne lui en dirait rien. Car à chaque fois que je parlai un peu de moi, les choses se passaient mal, alors je me taisais, encore.
Je retournai m'asseoir sur le lit. J'étais à bout de fatigue, je sentais que j'allais m'écrouler si je restai debout. J'avais envie de rester près de Joe mais mon corps ne me suivais plus, il n'avait qu'à venir vers moi, lui. Après tout c'est lui qui s'est éloigné. Mais soudain la pièce se mit à tourner autour de moi et une violente douleur à la tête s'empara de moi. La panique s'empara de moi de nouveau. C'était si infernal que ça m'arracha un cri de douleur. Je prenais ma tête entre mes mains et tout mon corps se crispa.
Joe, vas chercher un médecin, dépêches-toi.
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Lun 12 Jan - 21:17
I'm so afraid without you.
J'étais bien conscient d'être allé un peu trop loin dans mes propos. J'avais dis des chose que je ne pensais vraiment pas. Mais je sentais que malgré mes excuses et tout ça, ça risquait de rester en travers de la gorge de la femme que j'aimais. J'ignorais ce que je pouvais faire ou dire pour changer la donne. Peut-être rien d'autre que de laisser le temps passer un peu. Elle avait sans doute juste besoin de ça pour avaler la pilule qui aurait quand même bien du mal à passer. Ce que je ne pouvais que comprendre. J'étais allé trop loin et il était certain que j'allais le regretter bien longtemps. Et qu'à sa façon, elle allait aussi me le faire regretter ! Malgré mes doutes évidents quant à savoir si elle me pardonnait et me croyait vraiment, je répondis à son baiser avec tendresse. Au moins pouvais-je encore apprécier la douceur de ses lèvres contre les miennes, signe que ce n'était pas si tendu que ça entre nous. Enfin j'osais réellement l'espérer en tout cas ! Ce n'était quand même qu'un baiser malgré tout ! Mais ça prouvait que ce n'était pas si froid que ça non plus entre nous. Ou alors c'était moi qui m'imaginais cela, parce que ça m'arrangeait de le croire. Quoi qu'il en soit, je voulais penser que ce n'était pas si grave que ça et que ça pouvait largement s'arranger encore !
Quand elle amorça un geste pour se détourner et rejoindre le lit, je pris quand même le soin de l'aider. Je ne voulais pas qu'elle se fasse plus mal qu'elle ne semblait déjà souffrir. Je ne supportais pas de la voir dans cet état. Et j'étais franchement désireux d'être aux petits soins avec elle. Il le fallait. D'autant plus que je l'étais toujours d'ordinaire. Ce n'était pas le cas juste aujourd'hui, sous prétexte qu'elle avait traversé quelque chose d'horrible et de douloureux. Non, je me devais de toujours être là pour elle. En toutes circonstances ! Et là, à peine avait-elle prit place sur son lit, qu'elle semblait prise d'une subite et violente douleur. Bébé ... Eus-je tout juste le temps de souffler, avant qu'elle ne me demande d'aller lui chercher un médecin. Ce que je ne me fis évidemment pas prier pour faire. Je me redressai et filai en toute hâte hors de la chambre, pour attraper le premier médecin qui passait et lui expliquer la situation. Je ne lui laissai guère l'occasion de se tirer. Ce fut même limite sur je ne le forçais pas à entrer dans la chambre. Et je le suivis évidemment de près, pour savoir ce qu'avait Olivia.
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Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 13 Jan - 17:24
Cette douleur était tout bonnement affreuse. C'était comme une migraine puissance mille. Joe revint rapidement avec un médecin. Il posa ses mains sur ma tête, pressa certains endroits ou la douleur se faisait encore plus forte et en déduit les coups que j'avais reçu à la tête étaient plus violents que ce qu'ils pensaient au début. Ce qui provoquait ces soudaines douleurs. Le médecin me brancha toute sorte de perfusion dont de la morphine pour calmer la douleur et quelques minutes après j'étais apaisé.
Je passai ensuite une tonne d'examens en tout genre. On me branchait de partout et finalement, je pus rejoindre ma chambre. Je fus soulagée de voir Joe encore ici. Une fois les médecins sortis je lui tendais les bras. J'allais beaucoup mieux. Je voulais juste oublier et aller de l'avant avec lui. Ce qui venait de se passer était tellement plus grave, dans le monde il y'avait des choses tellement plus grave, je ne voulais plus jamais me disputer avec lui.
Viens par là... Je suis désolée Joe. Notre dispute était stupide, insignifiante. Je ne veux plus jamais qu'on se dispute. Je t'aime...
Je le serrai fort dans mes bras et j'embrassai son visage, je le couvrait d'une centaine de baisers. Je l'aimai plus que tout au monde. Je restais deux jours en observation à l'hôpital et enfin je pus sortir tranquillement. Laurie était venue me voir le jour de ma sortie, avec Joe et Jessica. Joe et moi faisions mine de ne pas nous être vu la veille. Et devant ma sœur il se contenta de me faire une bise. Laurie me proposa, comme Joe la veille, de venir m'installer chez eux. J'acceptais immédiatement. Le médecin arriva pour me donner les dernières recommandations.
Ne pratiquez aucune activité à risque ni aucun sport. Je préconise beaucoup de repos. Aucune exposition au soleil ou baignade pendant deux mois. Et je vous conseille également d'éviter pendant au moins une dizaine de jours d'avoir des rapports sexuels ou alors faites très attention, il faudra y aller doucement.
J'étais rouge pivoine. Je lançai un regard noir au médecin. Le pauvre ne connaissait pas la situation mais tout de même. J'avais envie de rire. Y aller doucement, il ne connaissait pas Joe celui la. Laurie me regarda et quand le médecin sortait elle me balança un "ça ne risque pas de t'arriver vu que tu ne fréquente jamais aucun garçon". Muais...j'avais pourtant bien quelqu'un, et il était juste à côté d'elle...c'était mon grand amour, et il faisait l'amour comme un dieu. Mais ça je ne pouvais pas le dire évidement.
Nous rentrions donc tous à la maison et Joe "le beau frère" m'installa la chambre de sa fille. J'avais très envie de lui voler un petit baiser en cachette mais Laurie nous avait suivie jusqu'à la chambre de Jessica. D'ailleurs je réclamais ma petite nièce chérie. Je plante mon regard dans celui de Joe et lui sourit mine de rien. Mais lui et moi savons ce qui se cache derrière cela. Je continuai de jouer avec Jessica puis je la couchai et j'allais aider Laurie à se coucher également. Mais elle m'invita à rester un peu avec elle dans son lit. On parlait un peu de tout et de rien. Puis on en vint à parler de Joe. Elle me disait qu'il n'a fallait pas que je prenne mal le fait qu'il soit distant. Que ce n'était pas contre moi, qu'il était ainsi avec tout le monde. Faux! Il n'était pas comme ça. Et certainement pas avec moi. Plus elle me parlait de lui et plus que je me rendais compte à quel point elle ne le connaissait pas. Comme si ELLE, pouvais m'apprendre à MOI, qui était Joe. Comment il réagissait, comment il pensait. C'en était ridicule. Et je ne sais pas pourquoi mais ça m'énervait qu'elle parle de lui comme ça. Comme si elle le connaissait mieux que moi. Comme si il était à elle. Bon sang mais était-elle aveugle ou quoi? Ne voyait-elle pas comment on se regardait Joe et moi? Peu importe... Ce n'est pas le moment, ce n'est pas le moment, pense à ce que veux Joe, pense à Joe, pense à Joe, voilà ce que je me répétais pour ne pas tout avouer à Laurie. Je me contentai alors de sourire et de hocher la tête. Je me sentis incroyablement mal, et gênée, lorsqu'elle se confia encore à moi en affirmant que Joe allait retrouver d'autre femmes la nuit.
Je...je ne sais pas...
Je ne savais pas quoi dire. Je perdais pieds, je tentai de masquer mon immense culpabilité. Je bégayais et essayais de ne pas rougir.
Je ne lui en veux pas du tout. C'est normal. C'est un homme et il a des besoins. Je vois bien la façon dont il te regarde parfois. Moi je ne l'attire plus. Et puis, il n'y a plus rien entre lui et moi même depuis avant son départ pour la guerre. Je crois qu'il n'est jamais tomber amoureux de moi... Et je ne suis plus amoureuse de lui depuis longtemps. C'est plus une commodité si ont vit ensemble aujourd'hui.
Je ne savais pas quoi dire. Je restai silencieuse et hochai la tête l'air de rien pour masquer mon gène.
Je crois qu'il y'a une femme en particulier. Il est amoureux d'une autre.
Heureusement après ça elle changes enfin de sujet. Et au bout de quelques minutes je finis par rejoindre la chambre de Jessica. Je croise Joe dans le couloir et nous échangeons un baiser passionné sans même un mot. Ça me fait sourire.
Laurie ne dort pas encore. Je vais me coucher je suis crevée. Ce soir je vais rester dans la chambre de Jess pour ce soir, afin de ne pas éveiller les soupçons de ma sœur. Ont se voit demain mon cœur. Bonne nuit. Je t'aime.
Je rejoignais mon lit après avoir embrassé Jessica. Je me couchai et éteignait la lumière. J'étais épuisée mais le sommeil ne vint pas à moi. Je me tournais, me retournais dans tout les sens. La maison était incroyablement silencieuse. Et je crevais d'envie d'être dans les bras de Joe. Peu importe si ça éveille les soupçons. Je me levais sans faire de bruit et marchait sur la pointe des pieds jusqu'à la chambre de Joe. J'entrai tout aussi discrètement. Il était dos à moi, face au mur. Je me glissai dans son lit, derrière lui, je l'attrapait par la taille et posai ma tête sur son épaule.
J'ai trop envie de toi bébé.
Je commençai à lui mordiller l'oreille, l'embrasser dans le cou.
Il paraît qu'on doit y aller doucement alors... Ça te tentes d'essayer quelque chose d'un peu plus doux pour ce soir?
Je continuais de le bizouiller de partout.
Je ne pouvais pas t'imaginer à quelques mètres de moi sans dormir dans tes bras, impossible...
Je dévorais sa peau avec gourmandise, je grimpai sur lui à califourchon et l'embrassai à en perdre haleine, puis je m'attaquai à sa peau de nouveau, son cou, sa mâchoire, un sourire affiché sur mes lèvres. J'étouffais un rire dans son cou.
Je suis devenue une vraie chaudasse à cause de toi...
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 13 Jan - 22:19
I'm so afraid without you.
Nous venions donc d'avoir notre toute première dispute, avec Olivia. Et bien sûr, rien d'étonnant à ce que j'affirme que cela ne me plaisait pas le moins du monde; Je n'arrivais toujours pas à croire que j'avais laissé faire tout ça. Ce n'était vraiment pas une envie de ma part. Je regrettais férocement de n'avoir pas été capable d'arranger les choses avant que ça ne parte carrément à la dérive. Mais pour l'heure, cela ne comptait plus. Seul son état de santé m'inquiétait vraiment au plus haut point et méritait que je m'y attarde plus longtemps. Raison pour laquelle je me retrouvai à laisser les médecins s'occuper d'elle. Quand finalement le médecin quitta à nouveau la chambre, je demeurai aux côtés de la femme que j'aimais, le plus longtemps possible, étendu à ses côtés pour être au plus près d'elle. Si ça ne tenait qu'à moi, je ferais vraiment en sorte de lui faire oublier notre dispute. Parce qu'elle n'était vraiment rien du tout pour moi. C'était juste un petit malentendu entre nous, dirons nous. Et il allait disparaître très vite de lui même. Parce que nous étions beaucoup trop amoureux l'un de l'autre, pour que les choses se déroulent autrement. Cela allait de soit !
Ce fut après deux longues journées, qu'Olivia fut autorisée à quitter l'hôpital. Elle semblait aller beaucoup mieux. En tout cas, même ses bleus s'étaient estompés. Ils étaient bien moins effrayants. Plus clairs. Mais le médecin semblait désireux de vraiment faire les choses bien lentement, pour ne surtout pas risquer qu'Olivia se fasse à nouveau mal. J'avais quand même un peu de mal à nous imaginer pouvoir nous contenir pendant dix jours. Surtout si elle passait tout ce temps, et un peu plus sans doute, chez nous. Mais je ne fis évidemment aucun commentaire et du même pincer les lèvres pour ne pas rire, alors qu'elle devenait rouge pivoine. Pire encore, face au commentaire moqueur de sa soeur qui ne savait pas qu'elle mettait carrément les pieds dans le plat. Une fois que nous fûmes rentrés, je pris le temps de préparer la chambre de Jessica où Olivia allait s'installer. Pour sauver les apparences, elle ne pouvait évidemment pas s'installer officiellement dans ma chambre. Ce n'était pourtant pas l'envie qui manquait. Loin de là ! Quand elle s'éloigna en compagnie de sa soeur, je demeurai auprès de ma fille. Avant d'aller prendre une douche rapide et revenir dans le couloir. Je ne pouvais m'empêcher de la guetter, désireux de lui souhaiter une bonne nuit, à notre façon. Je ne pouvais pas me contenter de quelques mots balancés de loin. Ce n'était pas nous ça. "Nous", c'était plutôt un baiser des plus passionnés. Qui arriva enfin, pour mon plus grand plaisir !
Bonne nuit mon bel ange. Susurrai-je d'une voix douce, tout contre ses lèvres. Avant de la suivre du regard quand elle s'éloigna dans le couloir. Le sourire aux lèvres, je rejoignis ma propre chambre où je m'allongeai sans plus tarder. Même si je savais très bien que j'allais avoir énormément de mal à m'endormir, en sachant que la femme que j'aimais se trouvait dans la pièce juste à côté. Enfin c'était le cas jusqu'à ce qu'Olivia craque et ne me rejoigne. Un sourire immense se dessina sur mes lèvres quand je la sentis se coller doucement à moi. Puis un grognement m'échappa alors qu'elle se faisait déjà joueuse au possible. Sans un mot, je me déplaçai pour m'allonger sur le dos et pouvoir la regarder. Bon sang ... Comment je suis supposé rester lent et doux, alors que j'ai l'impression de ne pas t'avoir touché depuis des semaines ? Quelques jours, c'était déjà trop pour nous. Et ceux qui venaient de passer, avaient eut le don de me rendre dingue. Pourtant, je ne me fis pas prier pour accepter son corps, à califourchon sur le mien. Je voulais croire que j'étais capable de rester doux et tout ça. Je me figeai quand elle entreprit de parsemer mon visage et mon cou de milliers de petits baisers, avant de m'embrasser avec une passion bien plus significative que celle du baiser échangé dans le couloir, un moment plus tôt.
Et j'aime particulièrement ça... Grommelai-je doucement, en référence au fait qu'elle était devenue une véritable chaudasse. C'était rien de le dire. Nous n'étions pas un couple capable de se contenir bien longtemps. D'ailleurs, je fini par me redresser en position assise, pour loger mon torse contre sa poitrine. Et je laissais maintenant courir mes mains dans son dos, descendant directement jusque sur ses fesses sur lesquelles elles se contentèrent de se poser. Je devrais te laisser gérer ... Je sais pas si je suis capable de me retenir. Tu me rends dingue ... Soupirai-je doucement en redressant la tête pour venir mordiller sa lèvre inférieure, avec insistance. Dans un même temps, je libérai ses fesses pour lui ôter son haut et venir frôler sa poitrine du bout de mes doigts, pour éviter de lui faire mal.
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Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 13 Jan - 23:40
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mer 14 Jan - 22:01
Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Jeu 15 Jan - 14:00
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Jeu 15 Jan - 22:34
Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Ven 16 Jan - 13:27
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Ven 16 Jan - 16:12
Dernière édition par Z. Joe Evermoore le Sam 17 Jan - 17:58, édité 1 fois
Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Ven 16 Jan - 18:03
Ça avait été divin, pareillement à d'habitude. Chacune de nos étreintes étaient toujours aussi puissantes et fortes. Joe et moi étions tout bonnement faits l'un pour l'autre, physiquement, mentalement, sentimentalement. Était-ce possible d'aimer quelqu'un à ce point? Était ce possible que tout cela soit réel? Aimer autant que d'être aimée en retour par un homme aussi incroyable. Il semblait que oui. Même si parfois ça semblait trop beau pour être vrai. Enfin, pour le moment, je venais de prendre mon pied une fois de plus. Et j'eus peut que ça n'en soit pas de même pour lui. Bien qu'il broyait des draps dans ses points, qu'il fermait les yeux et qu'il avait étouffé nombres de gémissements, tout comme moi. Je décidais de lui poser la question. Il ouvra juste un œil et afficha ce petit sourire amusé que j'adorai tant. Je devins toute rouge, j'eus un sourire gênée. J'enfouis mon visage dans son cou comme une petite fille venant de faire une bêtise.
Te moques pas de moi...
Il affirma que c'était impossible que ça puisse ne pas lui plaire quand il était avec moi. Un sourire étira mes lèvres. Il prit mon visage entre ses mains viriles, rugueuses et abîmées par la guerre, ces mains que j'adorai tant, afin que je le regarde dans les yeux. Il m'assura qu'il avait prit son pied bien que ce fut différent de d'habitude. Je l'embrassai en le reversant sur lit et m'allongeant au dessus de lui.
T'es le meilleur!
Après ça je me retirai de son membre non sans un petit soupir étouffée car la sensation fut doucement agréable. Je roulais à côté de lui sur le lit en m'enroulant dans le drap. Je récupérai mes sous vêtements avant de les enfiler. Puis je tirai Joe manière à ce qu'il soit assit dos contre la tête de lit, et de nouveau je me mettais à califourchon sur lui, m'asseyant sur ses cuisses cette fois. Je plantais mon regard dans celui de Joe. Un long moment, sans rien dire. Nous nous regardions dans les yeux sans dire un mot. C'était intense. Fort. J'étais émue. Je passai une main sur la joue de mon amour. Puis je fini par quitter son regard. J'attrapai son paquet de cigarettes et son briquet je la table de nuit, qui pour une fois après nos ébats était intact et avait encore son contenu, sans quitter ses cuisses. J'en portai une à ma bouche et l'allumais en plantant mon regard dans celui de Joe. Je tirai une fois dessus et basculais lentement la tête en arrière ne pas souffler la fumée au visage de Joe.
Rien de mieux qu'une clope après le sexe.
Je plaçais la clope entre les lèvres de Joe avant de déposer un baiser dans son cou. On était assis négligemment, moi a califourchon sur lui et lui dos contre la tête de lit. Nous ne portions que des sous vêtements. La scène était parfaite et tellement nous.
T'as connus beaucoup de nanas avant moi?
Je n'étais pas jalouse. Je voulais juste savoir. Joe était un beau mec et il avait du faire fondre nombres de groupies. C'était du passé, j'avais pleinement confiance en lui et il le savait.
Au faite, j'ai changé les billets et nos réservations pour nos vacances. Je ne peux pas aller au soleil ou me baigner à cause de mes blessures. Alors j'ai changer notre séjour à la plage contre un séjour à la montagne. Je sais que tu préfères ça en plus. Ça te vas?
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Sam 17 Jan - 19:24
I'm so afraid without you.
J'étais presque choqué d'entendre Olivia émettre un doute quant au plaisir que je pouvais avoir pris. Pour sûr que j'avais adoré cette étreinte, tout autant que toutes les autres d'ailleurs. Elle n'avait même pas à en douter tant ça me semblait évident à vrai dire ! Je la taquinais donc là dessus, la regardant rougir avec un sourire mutin, avant qu'elle n'enfouisse son visage dans mon cou. Je me moque pas. Je te trouve adorable ... La taquinai-je quand même encore un peu plus, en laissant remonter mes mains à son visage, que je finis par reculer pour planter mon regard dans le sien et lui assurer que j'avais autant pris mon pied, que d'habitude. Elle me répondit en m'embrassant vivement et à me poussant pour me rallonger sur le lit. Je souris contre sa bouche et posai mes mains sur ses reins. Le meilleur pour la meilleure des femmes. Lui répondis-je avec tendresse. Je lui volai un bref baiser, avant qu'elle ne se décale pour se rallonger sur le lit, contre moi. Je me redressai quand elle m'en fit la demande implicite, m'adossant contre la tête de lit pour qu'elle même puisse venir s'asseoir à califourchon sur moi.
Je gardais mon regard planté dans le sien, sans un mot. Juste à la regarder avec amour et tendresse. Alors même qu'elle se penchait ensuite pour récupérer une cigarette. J'adorais ce genre de scène là. La scène juste après le sexe. Ca, c'était vraiment le pied. J'entrouvris la bouche pour qu'elle y glisse la clope, sans la quitter du regard. Je tirai dessus et expirai par le nez, avant de l'attraper entre index et majeur pour la retirer. C'est aujourd'hui que tu te poses la question ? Demandai-je d'une voix amusée, avant de tirer encore une fois, que je glissai ensuite à nouveau dans sa bouche. Tu sais bien que j'étais pas du genre très sage avant de te rencontrer. Lui répondis-je sans songer que c'était vraiment utile d'entrer dans les détails. Je pensais que c'était assez clair comme ça. Oui, j'avais connu beaucoup de nanas, comme elle le disait si bien. Pas forcément des relations sérieuses. D'autant plus que pendant mes années de missions diverses et variées, je n'avais pas vraiment envie de m'engager si c'était pour vivre des relations à longue distance. Je n'étais pas intéressé du tout. Je pensais même ne pas m'attarder avec Laurie et ne pas la retrouver à mon retour. Mais il en avait été tout autrement pour Olivia.
Je fis la moue quand elle mentionna nos vacances qui se feraient donc plus à la montagne, qu'à la plage. Attend, ça veut dire que je ne vais pas pouvoir profiter de la vue sur ton corps couvert de simples bikini ? Demandai-je en affichant toujours ma petite moue déçue. Mais d'un côté, elle n'avait pas tort sur le fait que je préférais le calme de la montagne, au bordel des plages. Où se trouvaient de nombreuses familles et tout ça. Pour ce qui était du fait que les types risquaient de la mater, en plus, à la plage, je m'en foutais pas mal. Au contraire, j'étais même fier des regards envieux sur son corps. Puisqu'elle était mienne. Et que j'étais donc fier de pouvoir le montrer aux yeux de tous. La montagne, ce sera parfait pour se reposer. ce dont tu as bien besoin. Commentai-je finalement, en venant déposer plusieurs baisers sur son visage. Je repris ensuite sagement place, dos contre la tête de lit, pour la regarder avec un sourire sur les lèvres; Et distraitement, je venais caresser ses cuisses du plat de mes mains.
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Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Dim 18 Jan - 10:28
Joe avait une manière particulièrement sexy de fumer. Il fumait beaucoup, tout comme moi. Je fumais comme un mec et j'adorai ça, rien à foutre de ce que les autres pouvaient penser. J'adorai aussi partager une clope avec Joe. Je plongeais mon regard dans le sien quand il la replaça dans ma bouche. Je jetai un bref coup d'œil à son entrejambe avant de le regarder de nouveau dans les yeux. Il comprenait certainement que je faisais référence à ce qui c'était passé il y'a quelques minutes, comparant la cigarette à quelque chose d'autre que j'avais aussi eu dans la bouche un peu plus tôt. J'adorai l'allumer un peu. Bien que j'étais trop fatiguée pour recommencer ce soir. Il caressa mes cuisse et un frisson me parcouru, c'était délicieux. Même si c'était difficile à croire, Joe et moi n'étions pas juste bon à coucher ensemble, comme certains couple passionnés mais qui n'avaient rien de plus. Ont savait aussi discuter, s'aimer, rire ensemble, on partageait tout. Enfin, je fini par tirer sur la clope une nouvelle fois avant de la retirer entre mon majeur et mon index et souffler la fumée sur le côté. Il répondit plus ou moins à ma curiosité. Mais j'étais têtue.
Non mais j'sais pas, t'as 34 ans, t'es canon, t'as dus t'éclater quand t'avais mon âge non? Et t'es déjà tombé amoureux? ...Avant de rencontrer la femme de ta vie qui se tient devant toi j'veux dire...
Je riais quant à ma dernière remarque. Cependant c'est vrai que j'adorai en savoir toujours plus sur Joe, sur son passé, sa vie. Il m'en avait déjà dit pas mal certes mais j'en voulais toujours plus. Nous en venions ensuite à parler de nos futures et tant attendues vacances ensemble. Nous n'avions jamais vécu ensemble tout une semaine sans être séparer. Ça sera une semaine comme si nous étions un couple normal.
Tu me vois complément nue presque tout les jours, qu'est ce que t'en a à faire du bikini? Et puis y'a un Spa à l'hôtel, ça sera l'occaz. Au pire, j'pourrais te faire un petit défilé de lingerie et maillot de bain quand on sera la bas. Un truc à la victoria's secret.
J'éclatais de rire avec une main sur la bouche pour ne pas faire de bruit. Puis Joe confirma que ça lui allait parfaitement d'aller plutôt à la montagne. Même si pour ma part je ne pourrais pas faire de ski ou tout autre sport. Mais il y'avait tant d'autres choses à faire à la montage. J'aspirais un peu ma clope et je collais mes lèvres sur celles de Joe pour lui souffler la fumée dans sa bouche. Je trouvais ça assez sexy. J'attrapai sa lèvre inférieur entre mes dents et dirais légèrement dessus avant de la relâcher et de me reculer de nouveau.
Tu sais...Laurie était entrain de me parler de toi tout à l'heure dans la chambre. Elle disait qu'elle t'entendais parfois sortir en pleine nuit et qu'elle savait que tu allais retrouver d'autre femme. Elle ne t'en veux pas. Elle m'a dis que vous n'étiez pas amoureux d'un de l'autre et qu'il n'y avait plus rien entre vous même avant ton départ. Elle pense même que t'es amoureux d'une autre femme... Si elle savait que c'était moi... J'étais tellement gênée, je me suis sentie super mal.
J'avais besoin d'en parler à Joe. Et puis on se disait tout lui et moi. J'avais encore des tonnes de choses à lui dire. Des choses auxquelles j'avais pensé quand j'étais seule à l'hôpital.
T'as déjà parlé de moi à quelqu'un? Enfin de notre histoire je veux dire.
Et oui j'étais chiante et j'adorai poser une tonne de question, c'est ainsi. Et je n'en avais pas fini avec lui ce soir, la nuit risque d'être longue.
Comment vas ta mère au faite? Ça fait des années que je ne l'ai pas vu. Tu devrais lui emmener Jess de temps en temps, ça lui ferai plaisir.
J'avais toujours apprécier la mère de Joe. Elle s'en faisait beaucoup pour son fils et ça me plaisais. J'aimai tout ceux qui ne voulais que le bien de Joe. Certes je ne l'ai connue qu'en tant que belle-sœur de son fils et pas en tant que sa probable future belle-fille, mais je l'aimai bien. Pour moi qui n'avais jamais connu l'amour d'une mère, c'était fascinant. Ma mère à moi n'étais même pas venue prendre de mes nouvelles alors que je venais de me faire violemment agressée. J'étais certaine que Laurie lui en avait parler et qu'elle n'a même pas chercher à savoir comment j'allais. Mon regard s'assombrit d'une certaine tristesse tandis que je soufflait ma fumée. Peu importe, moi j'avais Joe, et il m'aimait lui, c'est tout ce qui compte.
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Lun 19 Jan - 17:26
I'm so afraid without you.
Je roulai ouvertement des yeux quand ceux d'Olivia frôlèrent une partie bien précise de mon anatomie. Décidément, elle était vraiment pas possible ! Arrête de me provoquer, coquine ... soufflai-je d'une voix amusée. Pourtant, de mon côté, je vins poser mes mains sur ses cuisses nues, pour les lui caresser avec douceur. Elle m'interrogea alors sur mon passé en tant que mec célibataire. Elle semblait vraiment savoir si j'avais eus tant de conquêtes que ça. Je pensais pourtant qu'elle se doutait que c'était le cas. Que je ne m'étais pas fais prier pour m'amuser et profiter pleinement de mon célibat. Je grimaçai quelque peu quand elle insista. Oui c'est vrai j'en ai profité. J'étais jeune et je ne voulais pas me poser. Alors je suis passé de fille en fille. Mais je me suis engagé dans l'armée dès ma majorité. Ca m'aura au moins évité d'avoir une liste de conquêtes, de six mètres de long. Plaisantai-je en affichant une petite moue contrite. Mais non, je n'ai jamais été amoureux. Absolument jamais. Je n'ai même jamais ressenti le tiers de ce que je ressens pour toi, pour une autre femme. Ajoutai-je avec un petit sourire. C'était bien pour ça que j'étais sûr à ce point du fait qu'elle était mon âme soeur. Que c'était elle qui était faite pour moi et non pas une autre.
Je ricanai quand elle me fit remarquer que je la voyais pratiquement nue, très souvent. Soit, c'était un fait que je ne pouvais nier. Mais n'empêche que j'adorais baver sur son corps, en toutes circonstances. Et alors ? Ca m'empêche pas d'apprécier la vue quand tu ne portes que des sous vêtements ou un bikini en l'occurrence. Et puis j'adore mourir de frustration quand je t'ai dans des tenues super sexy, sous les yeux, sans pouvoir te toucher avant un moment. Ca rend nos ébats ensuite, encore plus ... Mouvementés ! J'étais peut-être un maso à ce sujet d'ailleurs. Parce que c'était sérieux ça. J'adorais la voir me provoquer en sachant que je ne pourrais pas la toucher avant un petit moment. Même si en général je rouspétais un peu en lui faisant remarquer que ce n'était pas sympa du tout de sa part. Elle savait que c'était juste pour la forme que je râlais de la sorte. Je souris un peu quand elle approcha ses lèvres des miennes pour souffler sa fumée dans ma bouche. J'en profitai pour déposer un lent baiser sur ses lèvres avant qu'elle ne taquine l'une des miennes, de ses dents.
Je l'écoutais ensuite, alors qu'elle me parlait de Laurie et du fait qu'elles discutaient de moi, avant qu'Olivia ne me rejoigne dans ma chambre. Je grimaçai un peu. Puis songeai que ce n'était quand même pas plus mal. Au moins elle ne tombera pas de trop haut ... Fis-je doucement remarquer. Soit, ça allait quand même être dur de me voir partir avec sa soeur quand même. Mais elle ne serait pas surprise de me voir partir, tout court. Je ricanai alors qu'elle reprenait ses questions. Quand elle commençait, elle ne s'arrêtait pas forcément d'elle même. Mais ça ne me dérangeait pas. Si elle m'interrogeait, c'était qu'elle se posait toutes ces questions. Toutefois, j'attendis la suite avant de répondre quoi que ce soit. A ma mère justement ... Elle s'inquiétait de me voir sombrer de plus en plus de mon retour. Et craignait qu'il n'y ait personne pour m'aider à remonter la pente. Alors je lui ai tout dit en ce qui nous concerne toi et moi ... Lui appris-je doucement. Depuis elle a remarqué que je commençais à aller mieux. Et elle a hâte de pouvoir te revoir. En tant que belle fille cette fois. Pour te remercier de me rendre heureux, en partie. Lui avouai-je ensuite, avec un mince sourire. Doucement, je posai mes mains sur ses joues pour les lui caresser de mes pouces, avec tendresse. Est-ce que tu aimerais qu'on aille la voir ensemble, un de ces quatre ?
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Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Lun 19 Jan - 20:42
J'adorai ces petites provocations entre Joe et moi. On se correspondait tellement, c'est fou. Nous étions fait l'un pour l'autre et chaque jour ne faisait que me le confirmer. C'est comme s'il lisait en moi, je lisais en lui. Je n'avais pas besoin de réfléchir à mes actes, les mots, mes gestes, pour lui plaire ou pour qu'on s'entende bien. Tout était naturel entre nous. Et je n'ai jamais été autant moi même que dans ses bras. Parce que ses bras c'était ma maison. Et Joe était ma famille, avec Jess et Laurie évidement. Et je savais que Jess et moi étions la sienne aussi. Enfin pour l'heure le sujet de conversation était frivole et léger. Je riais comme une enfant à ses paroles.
Ouais...c'est vrai moi aussi j'adore te provoquer quand ont est en publique et que ne peux pas me toucher. Ça m'excite de faire ça. Et si tu voyais la tête parfois, c'est trop drôle.
Je dus mettre ma main devant ma bouche pour étouffer mon fou rire. Je terminai ma cigarette et l'écrasait dans le cendrier. Puis on parlait un peu de Laurie. Il disait qu'au moins elle ne tomberait pas de haut. Mais j'étais quand même sa sœur, et je me tapai "son mec". De l'extérieur je devais certainement avoir l'air d'une traînée. Je le serais certainement aux yeux de Laurie quand on lui avouera la vérité. J'espérais d'ailleurs que ça n'allait pas trop tarder. Ce qui me dérangeai le plus c'était qu'il y'est Jessica au milieu de nous trois. Mais je préférai ne pas m'attarder sur ce sujet car il était douloureux et j'avais juste envie de me détendre ce soir. Nous parlions alors de la maman de Joe. J'avais toujours apprécié cette femme, bien que je ne l'ai jamais fréquenter plus que ça. Après ma tirade de questions je me mettais debout sur le lit et commençai à sauter dessus comme une petite fille. J'adorai faire ça. Je rebondissais comme une sauterelle avec mes cheveux qui volaient en l'air et retombaient sur mes épaules. Joe commença alors à répondre à mes questions. Il m'avoua avoir tout dit à sa mère pour nous deux alors que j'étais dans les airs. Cela me déstabilisa, je ne retombais pas sur mes pieds mais genoux sur le lit et manquais de perdre l'équilibre, je dus m'agripper à Joe pour ne pas me casser la gueule. Je le regardai avec des yeux écarquillés.
Tu as tout dit à ta mère?
J'étais bouche bée. Je n'arrivais pas à y croire. C'était...différent, de penser que quelqu'un d'autre était au courant. Je...je ne savais pas quoi dire. Un immense sourire vint illuminer son visage et je me jetai au cou de Joe. Je l'embrassai sur la joue. J'étais encore sous le coup de la surprise.
Pourquoi tu ne m'en a pas parlé avant enfin? T'es fou de me cacher des trucs comme ça? Je suis...ravie. J'ai pas de mots. Joe...ça me fais tellement plaisir.
Je tenais sa tête entre mes mains et déposai une tonne de baisers partout sur son visage.
C'est juste...génial. J'arrive pas à croire que tu m'es caché ça, sale vieillard
Je lui donnais un petit coup dans les côtes. Il me proposa ensuite qu'on aille la voir ensemble et je fus bouche bée une fois de plus.
Joe tu...toi et moi chez...? Tu veux me présenter à ta mère? Moi? Pour de vrai? Oui, oui oui et oui. Avec le plus grand plaisir. Je suis super contente. C'est un immense honneur que tu me fais. Je...je sais pas quoi dire.
Mon émotion était palpable.
Et qu'est ce qu'elle a dit? Qu'est ce qu'elle en pense? Comment tu lui a dit? Qu'est ce qu'elle pense de moi? Je veux tout savoir dans les moindres détails! T'as intérêt à tout me raconter Evermoore!
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 20 Jan - 17:45
I'm so afraid without you.
Ah non, là elle allait trop loin quand même. Elle était carrément en train d'insister sur le fait qu'elle prenait un malin plaisir à me rendre dingue de désir pour elle. Comment pouvait-elle avoir un tel culot ? Soit, je ne lui en voulais pas. Parce que j'adorais quand elle le faisait. A croire que j'aimais souffrir, sans déconner. Enfin ce n'était qu'une question de désir irrépressible qu'elle suscitait chez moi et contre lequel je ne pouvais absolument rien faire. Et franchement, j'assumais cet éternel effet fou qu'elle avait sur moi. Je l'aimais. Alors forcément, j'aimais tout d'elle. Même ses petites provocations qui me rendaient dingue. Toi, tu ne perds rien pour attendre ... Marmonnai-je en lui lançant un regard faussement boudeur. Je n'étais pas aussi doué qu'elle pour ces petites provocations. En même temps, il suffisait qu'elle porte des vêtements bien sexy, pour que je sois déjà à moitié mourant, langue pendante. Que de mon côté, je n'étais pas certain que ma façon de me fringuer puisse changer la donne. Quoi que peut-être que oui mais qu'elle ne le disait pas. Je n'en savais rien. Tout ce que je savais, c'est que j'étais trop occupé à baver sur elle à chaque fois, pour remarquer quoi que ce soit d'autre ...
Après m'avoir posé une ribambelle de questions, Olivia se leva sur le lit et commença à sauter joyeusement dessus. Je fis un peu la moue. Fais gaffe bébé ... J'ai pas envie de devoir me priver de sexe pendant des jours, parce que tu te seras encore fais mal quelque part ... Lâchai-je l'air de rien. Ouais, encore une fois je ramenais tout au sexe. C'était tout simplement plus fort que moi. Je faisais ça bien souvent, pour ne pas dire tout le temps. Il faut dire que même si ce n'était pas la seule chose qu'il y avait entre nous, c'était quand même un truc qui marchait du tonnerre. Et qui contribuait grandement à rendre les choses magnifiques et parfaites dans notre couple. Un couple si parfait, que j'avais fini par me confier à ma mère, à ce sujet. C'était plus fort que moi, j'avais fini par cracher le morceau. Et la nouvelle sembla sacrément surprendre Olivia. Elle tomba à genoux à mes côtés et je posai une main sur sa taille alors qu'elle me donnait l'impression d'être sur le point de s'écrouler. Je hochai positivement la tête à sa question, pas encore certain de savoir si elle le prenait bien ou mal.
Finalement, elle me rassura bien vite. Elle semblait juste un brin agacée de constater que je ne lui en avais pas parlé plus tôt. Rien de bien grave en soit. Elle ne me laissa pas le temps de lui répondre quoi que ce soit, qu'elle prit mon visage entre ses mains et le parsema de dizaines de baisers. J'suis pas vieux. C'est toi la gamine ! Protestai-je en affichant justement une moue de gamin. Je n'ai rien dis parce que je ne savais pas ce que tu en penserais. Répondis-je avec un petit haussement d'épaules. Elle aurait bien pu songer que ce n'était pas du tout le moment, après tout. Je fini par lui proposer également, de rencontrer ma mère. Chose que je ne faisais pas avec toutes les nanas que je fréquentais, pour sûr. A vrai dire, elle n'avait rencontré que Laurie. Elle avait plus longuement entendu parler d'Olivia ceci dit. Ben oui pour de vrai. Je vais pas t'emmener devant chez elle et finalement te faire faire demi tour. Lui répondis-je sur un ton taquin. Je roulai des yeux alors qu'elle s'emballait de nouveau et l'attrapai par la taille pour la ramener contre moi et enrouler un bras autour d'elle. Doucement, j'arrive plus à suivre. En fait elle s'est doutée de quelque chose, toute seule. Au départ, je lui ai expliqué que tu étais très présente pour nous aider avec Jessica. Et comme elle me connait, elle s'est rendue compte que j'étais tendu à chaque fois qu'on parlait de toi. Au départ. Quand ... Quand les choses n'étaient pas terribles entre nous à mon retour ... Soupirai-je doucement. La tendance s'est finalement inversée et elle a fini par prêcher le faux pour savoir le vrai et je lui ai tout déballé. J'ai cru qu'elle allait hurler et sauter de joie. Un peu comme ce que tu viens de faire toi... Songeai-je en ricanant doucement. Elle est ravie pour moi. Elle se fout royalement de ton âge et du fait que tu es la tante de ma fille. Elle a comprit que j'étais vraiment fou amoureux de toi. Et ça lui suffit.
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Olivia Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mar 20 Jan - 20:05
Ça ne me dérangeais pas que Joe ait connus beaucoup de filles quand il était jeune. Je ne suis nullement jalouse vu que je j'avais entièrement confiance en lui et que son passé de coureur n'entrait pas en compte pour moi. Ce n'est pas pour me vanter mais je savais qu'il n'avait d'yeux que pour moi. Je ne craignais pas les autres femmes. Bien que ça m'agaçais lorsqu'une nana lui tournait autour. Mais je savais que ce qu'on avait il ne pouvait le retrouver avec une autre, comme moi je ne pouvais regarder un autre homme que lui.
Ou quoi? Tu vas me faire quoi hein?
Ces provocations étaient chose courante entre nous désormais. Et nous adorions cela l'un comme l'autre. Une fois de plus il rapporta la situation au sexe. Ça me faisais rire. J'avais envie de lui faire remarquer, pour plaisanter, qu'il ne s'en faisait même pas pour ma santé et que seul le sexe l'intéressait. Mais vu comment ça avait tourné la dernière fois que j'avais plaisanter avec ça. Alors je préférai éviter. Et puis je savais que c'était faux et qu'il me taquinai encore. Je préférai en rire. Je préférai même surenchérir.
Ouais enfin du moment que mon adorable petit cul va bien, on pourra faire des trucs. Et puis, je sais aussi faire des trucs avec ma bouche, t'as du le remarquer tout à l'heure...
S'il voyait sa tête. C'est trop drôle. Et j'adorai qu'il me traite de gamine. J'adorai que Joe soit amoureux de la gamine que j'étais. Puis nous en venions à parler de sa mère et des dernières révélations. J'avais encore du mal à croire qu'il ne m'est pas parler de ça.
L'homme que j'aime avoues à la femme qui lui a donné la vie qu'il est amoureux de moi. Comment pourrai-je mal le prendre enfin?
Il me raconta alors tout, tandis que je venais de le bombarder de questions en tout genre. Sa mère était selon lui ravie de notre relation. Ça me faisais encore plus plaisir.
C'est juste...dingue... J'ai vraiment hâte de la rencontrer. Elle ne pense vraiment pas que je suis trop jeune pour toi? Ça ne l'a pas choqué mon comportement vis à vis de Laurie? Elle a l'air ouverte. Et qu'est ce qu'elle pense de moi? Elle t'en a parlé? Qu'est ce que je vais porter pour aller chez elle? Comment elle me trouve? Je...tu m'as mis la pression là bébé...
C'est à ce moment que Jessica commença à pleurer. Comme tout les bébés pendant la nuit. Je volai un baiser rapide à Joe et chopai sa chemise que j'enfilai sur le dos avant de rejoindre la chambre de Jessica. Je m'approchai de son berceau et la prenais dans mes bras. Elle cessa immédiatement de pleurer et accrocha ses petits poings à moi. J'étais folle de cette enfant. Je vérifiait si elle avait besoin d'être changé mais non. Je lui avait donné un énorme biberon avant qu'elle se couche donc elle n'avait pas faim. Je vérifiait quand même en essayant de lui donner un peu du biberon qu'elle n'avais pas fini. Mais non plus. Elle avait juste envie de faire joujou.
Alors mon trésor, qu'est ce qui va pas? Tu veux qu'on aille voir papa? On va voir papa toutes les deux? C'est parti mon cœur.
Je l'embrassai plusieurs fois sur la joue et sur le front en retournant dans la chambre de Joe.
Regardes qui voulait faire un gros câlin à son papa...
Je retournai sur le lit auprès de Joe, son adorable fille toujours dans mes bras. Je me calais de nouveau dans les bras de Joe. Dos contre son torse. Je portai Jess de façon à ce qu'elle soit face à nous. Ma nièce affichait un immense sourire. Je me mis alors à lui faire des papouilles sur le ventre et elle éclata de rire. Ça me dis éclater de rire aussi et je l'embrassai sur la joue.
Elle craint les chatouilles autant que son père...
Z. Joe Evermoore
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Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mer 21 Jan - 21:25
I'm so afraid without you.
Comme à chaque fois que je la provoquais de la sorte, ce n'était que pour la taquiner. J'adorais ça. Et je savais que ça ne la dérangeait pas le moins du monde. D'autant plus qu'elle savait comme personne, comment me rendre la pareille ! Je ne m'en faisais pas du tout pour elle. Si je te le dis, c'est beaucoup moins marrant ! Rétorquai-je avec un sourire entendu. A toujours vouloir la taquiner, ce fut encore ce que je fis quand je la vis sauter comme une folle sur le lit. Ce fut évidemment au sexe, que je rapportai tout ça. Sa réponse me laissa complètement pantois. Si tu dois apaiser mon insatiable appétit sexuel, avec ta bouche, tu risques d'attraper des crampes ! Lui répondis-je en peinant à ne pas exploser de rire sur le coup. Elle m'avait cherché après tout. C'était un prêté pour un rendu, voilà tout ! Surtout quand il était question de sexe, soit dit en passant. Là, on pouvait quand même aller très loin. Après avoir parlé sexe, on discuta de ma mère. Changement de conversation assez brusque et soudain tout de même. Mais ça, c'était tout nous. On enchaînait sans cesse, à vouloir discuter de tout et de rien à la fois !
Ben je sais pas ... T'étais peut-être pas prête pour ça ... Remarquai-je avec douceur. J'aurais pu comprendre cela, bien sûr. Je pouvais tout comprendre de sa part à vrai dire. Et tout accepter également. C'était cela l'amour après tout ! Mais de toute évidence, elle était vraiment très heureuse d'apprendre tout ça. D'apprendre que ma mère savait pour nous et s'en réjouissait. Je dirais même que ça la rendait totalement euphorique ! Elle s'en fout complètement de ton âge. La rassurai-je encore une fois, sans cesser de sourire. A vrai dire, ma mère n'avait pas du tout rebondi là dessus alors même que je lui avais bien fais mention de son âge. Il me semblait que c'était une preuve suffisante quant au fait qu'elle se fichait de notre différence d'âge ! Petit ange, tu devrais te calmer. Je t'assure, t'as aucune raison de te mettre une telle pression ! Elle t'adore déjà. Et franchement, je vois pas en quoi les fringues que tu porteras, pourrait avoir la moindre importance ! Je ricanai un peu tant cette idée était étrange; Tant ses doutes l'étaient. Mais je trouvais ça super adorable quand même.
Notre conversation fut interrompu par les pleurs répétés de Jessica. Cela ne m'étonna guère devoir Olivia quitter rapidement le lit pour aller voir ma fille. Et quelques minutes plus tard, elle revenait avec elle dans les bras, m'offrant ainsi un tableau incroyablement beau et plaisant à regarder; J'ignorais si elle était consciente de combien elle pouvait être belle, avec ma Jessica dans les bras. J'adorais. Je trouvais ça incroyablement touchant. Et, je devais bien l'admettre, ça me donnait une folle envie de fonder une famille avec elle. Même si je savais que ce n'était pas encore prêt d'arriver. Déjà, parce qu'elle était beaucoup trop jeune pour ça. Et puis je ne voulais pas précipiter les choses, surtout ! j'enroulai de suite un bras autour d'elle quand elle revint prendre place contre moi. Et glissai ma main libre, dans les cheveux de ma fille que je ramenai légèrement en arrière. Y'a vraiment beaucoup de choses qu'on a en commun, elle et moi. Fis-je remarquer, sans chercher à dissimuler mon immense fierté à cette idée ! Puis je me penchai pour récupérer mon téléphone portable. On fait une photo tous les trois ? Proposai-je en récupérant Jessica pour la mettre dos contre la poitrine d'Olivia. Une fois la photo faite, je retournai le téléphone vers nous pour la regarder, en souriant de toutes mes dents. Tableau parfait ... Constatai-je avant de venir déposer un tendre baiser sur la joue d'Olivia.
realised by morphine.
Olivia Evermoore
bienvenue à sunset dream
« couches changées » : 355 « âge » : 22 ans
Sujet: Re: Joe&Oli - I'm so afraid without you Mer 21 Jan - 23:29
Parfois, je dois bien avouer que malgré moi, je trouvais cette histoire trop belle pour être vrai. Comment un amour aussi puissant pouvait exister? Et malgré sa force démesuré, notre amour n'était pas dévastateur pour un sous. Il était passionné certes, mais tout était parfait, comme dans un rêve. On riait tellement ensemble. Et encore en ce moment même, alors que nous parlions de nos ébats déjantés comme nous aimions le faire.
T'inquiète pas j'ai acquis une technique assez particulière, jte fais vriller en deux minutes. T'auras pas le temps de dire "ouf" que tu seras déjà au septième ciel. Jte montrerai ça un jour...
Bon, la il fallait vraiment qu'on arrête avant d'exploser de rire l'un et l'autre. Ça ne me dérangeai absolument pas de parler de sexe aussi ouvertement. J'avais assez peu de tabou à vrai dire. J'étais quelqu'un de très ouvert et je me plaisais à rire de tout.
J'étais rassurée quand Joe m'assura vraiment que notre différence d'âge n'était pas un problème pour sa mère. Après tout, l'amour n'a pas d'âge, pas de couleur, pas d'origine ni de religion, l'amour est l'amour, on ne l'explique pas. Il m'assura ensuite que je n'avais pas la moindre raison de stresser et que sa mère l'adorai déjà. Je le croyais sur parole, c'est juste que je n'étais pas vraiment la belle-fille idéale. Surtout qu'avant moi, elle avait eut Laurie comme belle-fille. Moi je n'étais pas aussi polie, aussi attentionnée, aussi...mielleuse, j'étais moins souriante, moins agréable à côtoyer, et j'étais parfois un vrai boutentrain.
Ok, je te crois. Je l'ai toujours apprécier moi aussi. Tu sais le jour ou...le jour ou t'es partis...quand on vous a laisser seul Laurie et toi sur le quai, nous étions aller prendre un café elle et moi en attendant Laurie. Elle a trouver étrange le fait que tu me prenne ainsi dans tes bras... Que tu ai tant de mal à te détacher de moi. Et tu ne me quittais pas des yeux en plus. Ce jour la j'ai bien cru que tout allait de savoir. C'est d'ailleurs étrange que Laurie n'est rien remarqué. Enfin bref, on a pas mal discuter ta mère et moi. Elle s'est beaucoup intéressée à ce que je faisais. Je lui avais montrer quelques unes de mes œuvres et elle a adorer. Le courant était bien passé entre nous.
Nous continuons à discuter puis Jessica se mît à pleurer et j'allais la chercher pour la ramener avec nous. Tout était encore plus que parfait ainsi, elle et moi dans les bras de Joe. Je la serrai contre moi. Ça avait beau avoir un côté un peu malsain, parfois j'avais tellement envie qu'elle soit ma fille. Notre fille à Joe et moi. La vie serait tellement plus évidente. Enfin bref, pour l'heure, Joe proposa de nous prendre en photo tout les trois. Ce que j'acceptais bien volontiers. Joe s'en chargea et me montra ensuite la photo. Je riais. L'artiste photographe et peintre que j'étais trouvais cette photo absolument parfaite. J'en étais émue. Cela dit Joe était torse nu et j'étais en sous vêtement. Et vu mes cheveux emmêlés et ceux de Joe tout tombant devant ses yeux, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure que nous venions de faire l'amour.
Ne laisses pas traîner ton téléphone n'importe ou, il ne faudrait pas que Laurie tombe sur ça.
Nous continuons à discuter et à jouer avec Jessica. Nous finissions par nous endormir tout les trois ensemble. Joe avait sa fille dans les bras et moi j'avais Joe dans les miens. Et l'espace d'une nuit, la vie me semblait parfaite...