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 Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U)

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Timoteï Wilde
Timoteï Wilde
bienvenue à sunset dream
Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) Tumblr_mt6ymcehP31s67iopo5_500
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So shine bright, tonight, you and I we’re beautiful like diamonds in the sky. Eye to eye, so alive we’re beautiful like diamonds in the sky.


Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) Tumblr_nix02zKf8s1rab1e2o5_250Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) Tumblr_nix02zKf8s1rab1e2o1_250

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Parce que tu pourrais te réveiller au matin et te dire que tu es en train de gâcher ta vie, t'apercevoir que tu avais quelque chose de magnifique que tu es en train de le perdre... Et que tu ne peux pas. Tu ne peux pas te le permettre. Tu ne peux pas souffrir en silence et vivre une vie vide et inutile. Parce que quand on rencontre la bonne personne, la personne spéciale, unique, la seule, alors on doit tout faire pour la reconquérir. Même monter sur scène au beau milieu d'une DJ-session, interrompre la musique et faire parler son coeur. Il ne vous est jamais arrivé d'être amoureux, de ne penser à rien d'autre qu'à lui ou à elle, de ne désirer rien d'autre que de le ou la voir, passer du temps avec lui ou elle, pourvoir l'avoir ? Moi, c'est ce que je vis en ce moment.

Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) Tumblr_m5pj8ejk8B1r8rx02o3_250

« couches changées » : 692
« multi-comptes » : Ackerley Wane.
« âge » : 32 ans.

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MessageSujet: Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U)   Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) EmptyMar 24 Fév - 18:56

Think I can fly, think I can fly when I'm with U

ft. Alice Livingston


« Un amour non vécu n'est pas un amour perdu. C'est un amour qui vous perd, qui vous possède plus  que  vous  en  êtes  dépossédé. »
Cela faisait trois semaines qu'Alice était en ville, à Sunset Dream. Trois semaines qu'elle avait posé un pied sur le même sol que lui. Trois semaines que Timoteï l'avait laissée sur le pas de la porte de son appartement dans des conditions et avec un comportement exagérés et excessifs. Il avait une pointe de culpabilité en lui, il avait été grotesque, infâme et son accueil avait été des plus morbides il s'en rendait évidemment bien compte mais le jeune homme n'était plus maître de son corps, il n'était plus le capitaine de son âme. Ses sautes d'humeurs, son impulsivité, son arrogance étaient incontrôlables il ne parvenait pas à se maîtriser. Timoteï était un homme perdu, esseulé, triste et meurtri et sa peine prenait le dessus sur sa bonne attitude, ses bonnes manières parce qu'il n'avait envie de rien. Depuis que Jules était décédée, une part de lui-même s'était envolée avec elle, c'était du moins l'impression qu'il ressentait. Elle avait pris son bon côté et avait laissé un nouveau Tim, plus froid, plus acerbe, moins tolérant. Il était un mauvais garçon. Les seules fois où il se sentait bien et comme avant c'est quand il était en la présence de Jade, elle était la seule capable de le voir sous son bon jour, sous sa vraie personnalité. Le pompier n'aime pas ce qu'il est devenu mais il ne peut faire autrement, se renfermer pour ne pas souffrir, voilà ce qu'il espérait. Seulement voilà, Alice ce n'était pas n'importe qui... Elle avait été une grande partie de sa vie et même s'il avait montré une certaine indifférence à la revoir ce n'était pas le cas. Timoteï avait tout d'abord était on ne peut plus surpris de la voir là, devant sa porte, sachant tous les kilomètres parcourues pour venir d'Austin. Cette émotion s'est alors transformée devenant quelque chose de plus... Fort? Il était heureux, son coeur avait battu pendant de longues secondes lorsqu'il avait aperçu son minois face à lui, Alice s'était embellie durant les dix années d'absence, elle était une magnifique jeune femme, élancée, svelte, élégante. Une beauté blonde magnifique. Le jeune homme n'a pas su le lui dire, lui être reconnaissant d'avoir fait tout ce chemin pour le retrouver, prendre de ses nouvelles non il l'avait simplement envoyée sur les roses, le plus méchamment possible et maintenant trois semaines étaient passées depuis sa visite et Timoteï ne cessait de repenser à elle, à la manière dont il l'avait traitée, à ce regard qu'il avait du lui lancer. Ce n'était pas pour autant qu'il avait cherché à savoir si la jeune femme était restée en ville ou si elle était repartie aussi vite, toutefois il espérait qu'elle soit toujours là. Sans connaîtres les réelles raisons de cet espoir.

L'horloge affichait quinze heures, Jade venait de se réveiller de sa sieste et le temps dehors était au beau fixe ce qui leur donnait une belle occasion de sortir et de se promener jusqu'au parc avant d'aller, s'ils ne restaient pas longtemps jusqu'à l'air de jeux. Même si le soleil était présent et réchauffait les cœurs des habitants il n'en restait pas moins que la température était basse c'est pourquoi il couvrit sa fille afin qu'elle n'attrape pas froid. De son côté Timoteï enfila sa veste, lassa ses chaussures et entreprit de sortir de son appartement, Jade dans ses bras avant de fermer derrière lui.

Ils arrivèrent rapidement au parc, Jade ne marchait pas très vite vu son âge mais elle se débrouillait plutôt bien, elle adorait courir et aller dans tous les sens, c'était une vraie chipie, elle ne tenait pas en place et avait souvent tendance à faire quelque chose, n'importe quoi tant qu'elle ne restait pas là à ne rien faire. Timoteï porta ses mains dans ses poches sans lâcher une seule seconde son regard de sa fille qui ne cessait d'aller de la droite vers la gauche, d'avant en arrière... Cette dernière d'ailleurs revint vers lui en tirant sur son bras et en montrant du doigt une jeune femme de profil non loin d'eux, appareil photo en main. « Papa, papa, papa, papa... » Jade continua à gesticuler, son doigt pointé vers la même personne. Personne qui n'était autre que Alice. Elle ne l'avait pas vu car elle mitraillait le paysage, mais Tim appréhendait déjà sa réaction s'il se pointait devant elle, elle allait l'envoyé balader c'est certain et il comprendrait tout-à-fait sa réticence à son encontre vu la manière dont il s'était comporté avec elle. Il ne savait absolument pas s'il devait aller la voir, de toute façon il n'avait aucune idée de ce qu'il pourrait dire, après ce qu'il s'est passé la dernière fois il n'espérait pas grand chose de sa part... Il fini par hausser les épaules, après tout il n'avait rien à perdre puisqu'il avait déjà tout perdu alors autant se jeter dans la gueule du loup. Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime. Parce qu'intérieurement il l'avait toujours aimée, cette femme, cette fille de 16 ans. Il avait passé le plus clair de son temps avec elle, leur relation amicale était fussionnelle, égnimatique. Aucun des deux ne savaient qu'en réalité ils tombaient amoureux l'un de l'autre ou qu'ils l'étaient depuis longtemps... Et puis Timoteï est parti parfaire sa vie ailleurs, loin d'elle, n'espérant plus la revoir même si cet espoir était toujours présent en lui. Il a rencontré Jules, il eu une fille avec elle, il comptait faire sa vie avec elle avant que tout ne dérape, désormais le destin lui avait remis cette fille sur son chemin. Le pompier savait maintenant pourquoi il avait agit de la sorte lors de leur retrouvaille, il savait qu'il pourrait la perdre elle aussi s'il se mettait à sympathiser, à la faire entrer dans sa vie et puis tout a basculé quand elle a commencé à dire que sa vie avait été toute tracée, alors il avait été brutal par simple défense. Mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal.
Instinctivement Timoteï s'était rapproché d'elle, sa sûreté retrouvait, il racla sa gorge pour l'inciter à arrêter son activité. Il plongea alors son regard dans le sien, il n'arrivait plus à lire en elle, comme si elle n'avait aucune expression à lui donner. « Tu es toujours en ville. J'ai cru que tu serais déjà partie. » Il n'arrivait pas à lui décocher un sourire pourtant il aurait tellement aimé lui montrer qu'il était content qu'elle soit encore là. Le jeune homme ne savait pas du tout comment elle allait réagir et il appréhendait donc sa réponse...


 

code by ORICYA.

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Alice Livingston
Alice Livingston
bienvenue à sunset dream
Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) Large
On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir... Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé.

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Tu es cette chose que j'ai toujours rêvé d'avoir mais que je n'aurais plus jamais. Tu es cet enfant qui aurait pu grandir au fond de moi, avec qui j'aurais pu rire, pleurer, crier. Mais je t'aurais tellement aimé, de tout l'amour que j'aurais pu t'apporter. Mais tu ne serais jamais là.

« couches changées » : 56
« âge » : trente ans.

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MessageSujet: Re: Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U)   Alice & Timoteï (Think I can fly, think I can fly when I'm with U) EmptyMer 25 Fév - 15:35




           
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Timoteï & Alice
Tu ne prends pas la meilleure décision pour moi, si tu t’éloignes, c’est pour toi parce que je sais ce que je veux.
Sunset Dream était une ville charmante. Si charmante qu’Alice n’avait toujours pas décidé de rentrer chez elle. Ne trouvant plus d’excuses pour Noam elle lui avait simplement expliqué qu’elle avait besoin de prendre un peu d’air frais et que Sunset Dream semblait être la ville idéale pour ce changement. Toujours aussi amoureux, il lui avait répondu qu’il comprenait parfaitement et qu’il n’y avait pas de problème. Parfois elle ne le comprenait vraiment pas. Elle semblait être la pire des connasses avec lui, mais non, il restait attaché à elle comme si il était obligé. Elle soupira tout en terminant de ranger sa valise pour la cinquantième fois. Allez, elle pouvait bien partir de toute façon. Rien ne la retenait ici. Trois semaines loin de l’homme qu’on avait épousé c’était sûrement trop long. Les femmes fiancées devaient tout faire pour rentrer auprès de leur futur mari non ? Elle se posa lourdement sur le lit d’hôtel en soupirant. Elle savait que, si elle souhaitait elle pouvait toujours contacter cette infirmière Myah. Elle lui avait promit une place sur le canapé si elle avait plus d’argent pour payer l’hôtel. Ce qui arrivait aujourd’hui. Toutes ses économies avaient été réduites à néant et ce soir elle dormirait dans sa voiture. Elle ferma les yeux en tentant d’effacer Timoteï de son esprit. Ca suffisait. Il ne l’avait pas recontacté depuis cette discussion. Dispute. Séparation amicale. Souffrance amoureuse pour sa part. Le message était pourtant clair « rentres chez toi, t’as plus rien à foutre dans ma vie. Cordialement. Timoteï Wilde. » Leur conversation pouvait très bien se résumer à cette phrase. En tout cas, Alice ne retenait que cela. Elle en oubliait presque son départ stupide. Sa maladresse. La jeune femme devait reprendre la route, point. Mais pas avant ce dernier jour de soleil à Sunset Dream. Une dernière journée où elle allait pouvoir photographier de beaux paysages au parc de la ville. Elle aimait cette ville. Elle aurait aimé pouvoir si installer. Mais son passage ici n’était qu’une parenthèse dans sa vie qui l’attendait à Austin.

Enfilant son manteau à toute vitesse, elle attrapa son appareil photo et sa valise et descendit à la réception. Là, elle régla ses trois semaines, ce qui lui fit particulièrement mal aux fesses pour un hôtel aussi miteux, puis chargea sa voiture en prenant la route vers le centre-ville. L’hiver était toujours là et il faisait bien froid, mais le soleil perçait les nuages et réchauffait la terre. Elle aimait ce temps froid d’ailleurs. Elle l’adorait même, le vent ne lui sifflait pas dans les oreilles, et ses mains avaient beau se congelées, elle pouvait tout de même sentir de la chaleur sur sa peau. Elle se rangea proche du parc pour éviter de devoir marcher  trop longtemps et descendit de la voiture avec un sentiment de nostalgie et d’amertume. En quittant la ville, Alice laissait derrière elle une partie de son passé. Elle avait du mal à penser qu’elle allait devoir effacer tant d’années de sa vie d’un claquement de doigt et de devoir revenir au gros problème qu’elle avait laissé en plan avant de partir :  sa stérilité. « Pas maintenant ma vieille. T’auras tout le temps de penser au fait que tu ne pourras jamais avoir de gosse durant les 2000 kilomètres qui te sépare d’Austin !   ajouta-t-elle pour elle-même tout en claquant la portière de sa voiture après avoir récupéré son appareil photo.

Elle s’arrêta devant l’étang qu’on pouvait trouver au centre du parc. Prenant quelques clichés, elle s’éloigna ensuite pour s’amuser à photographier ses hommes et ses femmes entrain de cracher leurs poumons pour tenter de perdre quelques kilos. Elle ne put s’empêcher de rire en relevant sa tête. Elle détestait la course au moins autant que le café. Ce fut ce raclement de gorge qui la fit se retourner et s’arrêter. Elle ne savait pas pourquoi il était là. Elle ne savait pas si c’était juste pour s’amuser à la revoir dans tous ses états ou s’il avait réellement quelque chose à lui dire de sérieux. Mais en tout cas, elle avait l’immense envie de partir loin. Quittes à reprendre la route directement. Elle perdit son air si joyeux quand elle plongea son regard dans celui de Timoteï. Un voile neutre s’installa sur le visage de la belle, bien qu’au fond d’elle, elle se sentait encore plus brisée que la dernière fois qu’elle avait pu le voir. « Tu es toujours en ville. J'ai cru que tu serais déjà partie. » Pas de sourire, pas d’étonnement, pas d’hésitation. Du nouveau Timoteï tout craché d’après ce qu’elle avait pu voir de lui, aujourd’hui. Elle n’avait même pas envie de lui répondre. Elle avait été tellement déçue de le voir si glaciale, si fermé la dernière fois, qu’elle se doutait qu’aujourd’hui, il n’aurait pas de différence. Pourtant, il y en aurait de toute façon ? Si cela li faisait tant de plaisir de la voir souffrir en tout cas, il avait la bonne idée de venir la voir et lui adresser la parole. C’était la meilleure méthode pour qu’elle regrette encore plus son voyage.   « Désolé de te décevoir. Je ne pensais pas te recroiser. » Elle-même ne se reconnaissait pas dans ses mots. D’ordinaire, elle aurait sourit et rigolé, pour faire comprendre qu’elle pardonnait, mais pas là. Elle en était incapable, et elle lui en voulait. Et Alice n’allait pas se gêner pour lui faire comprendre qu’il la gênait. « Mais t’inquiète pas hein. J’ai plus assez d’argent pour payer l’hôtel, ma valise est dans ma voiture. Je voulais reprendre la route ce soir. » Elle éteignit son appareil photo comprenant que son après-midi photo venait d’être foutue à l’eau. Elle leva les yeux au ciel tellement énervée par la situation. « Mais tu vois, je crois que je vais partir directement. Tu sais retrouvée ma vie tellement parfaite à Austin. » Elle se rendait bien compte qu’elle était détestable et méchante avec lui. Mais elle s’en fichait. Elle ne lui rendait que la monnaie de sa pièce. Elle avait été traitée comme un souvenir sur qui il ne fallait pas s’arrêter alors elle n’allait pas se gêner pour gâcher leur relation n’existait déjà plus. « Je vois que ta fille est là-bas. Retournes avec elle, je m’en vais de toute façon. » Elle avait remarqué la petite qui n’arrêtait pas de regarder dans leur direction. Alice avait bien du mal à parler tout en gardant ses yeux sur elle, ne souhaitant pas recroiser le regard de Timoteï. « Dis bonjour à ta femme de ma part aussi. Allez.. Au revoir je suppose. » Elle évita de recroiser le regard du pompier et fit demi-tour sur elle-même, tout en s’éloignant, la respiration saccadée. Elle accéléra le pas sentant de nouveau ses larmes montées dans ses yeux et elle ne voulait pas que Timoteï les remarque. Surtout pas, cela l’aurait rendu trop heureux.


           
(c) fiche:WILD BIRD & gifs:gifs hunt c l o s e d
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