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 You're like a drug that's killing me. Oli & Joe

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Olivia Evermoore
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 19:13

Joe, ça peut sembler prétentieux et arrogant de dire ça à voix haute mais...je sais que tu m'aime, j'en suis persuadée, et je n'ai aucun doute la dessus, je t'assure. Je voulais juste plaisanter, excuses moi encore. J'ai confiance en toi plus qu'en quiconque.

Ok c'était un mec et les mecs adorent le sexe, et lui encore plus particulièrement. Mais je n'étais pas en reste non plus. Mais c'est parce qu'on s'inspirait tout les deux une passion folle. Ça ne serait pas comme ça si je n'étais pas avec lui. Ce n'était pas le sexe de manière générale que j'affectionnais tant, c'était de faire l'amour passionnément avec cet homme la! Et je savais que c'était pareil pour lui. Je réfléchis ensuite à ses paroles suivantes, à comment exprimer plus exactement mon point de vue et mon ressentis.

Non c'est...c'est plus subtile que ça. Tu es au contraire ma plus grande force, mais si je ne t'avais plus à mes côtés je serais...anéantie.

Je le serrai un peu plus fort dans mes bras quand il me promis qu'on ne serai plus jamais séparés. J'aurai aimé le croire, vraiment, mais j'avais du mal. Et si il repartait en mission? Et si il lui arrivait quelque chose? Si il m'arrivai quelque chose à moi? Si l'un de nous mourrai, on serait séparer de nouveau non? C'était peu être un peu glauque et morbide de penser à cela, mais quand l'amour de votre vie est militaire, on ne peut faire autrement que d'y penser. Combien de fois me suis-je dis qu'il ne reviendrai jamais. J'avais peur tout les jours, toutes les nuits. Il n'est pas passé un seul instant sans que je pense à lui.

De toute façon je ne te laisserai pas repartir, jamais! Ou je partirai avec toi.

C'était peu être irréalisable mais je m'en fiche. Comme si les forces de l'armée allait vraiment me laisser partir au front sous prétexte que j'étais folle amoureuse d'un militaire. Je me demandai sans cesse quelles horreurs il avait pu voir la bas. J'espère jusque qu'un jour il se confiera à moi, mais je ne voulais pas le brusquer. Mon petit amour, je voudrais tant lui faire oublier tout ça en un coup de baguette magique. Enfin, je n'avais pas de baguette et pour le moment je préférai lui changer les idées à ma façon.

Je l'entraînait donc dans la cuisine pour entamer une bonne bataille d'œuf et de farine. Et à peine fut il arrivé que je l'assaillais. Je ne lui laissai aucun repris jusqu'à ce qu'il ressemble à un grand bonhomme de neige, un grand et sexy bonhomme de neige. Mais je n'aurait pas du m'arrêter. Car il arriva vers moi de la façon la plus calme du monde avant de me sauter dessus et me soulever par la taille. Je poussai un cri de surprise avant d'éclater de rire en enroulant mes jambes autour de sa taille. Il me bloqua dans un coin de la cuisine et quelques secondes plus tard je fus aussi sale que lui. Ce n'était pas faute de me débattre et d'essayer de me défendre, mais ce mec avait une force surhumaine. J'avais toujours été impressionné par sa force physique, j'avais l'impression d'être amoureuse de l'incroyable Hulk... En moins vert et beaucoup plus sexy. Il était vraiment très fort, je me sentais en sécurité avec lui, comme s'il pouvait me protéger de tout, et que rien ne pouvais nous arriver. Enfin pour l'heure sa force était plutôt un handicap pour moi.

Joe, nooooon! C'est pas juste. J'ai la force d'un petit chat, et toi tu es une montage de muscle, c'est pas du jeu.

Je parvint à lui glisser cela entre deux éclats de rire. J'en riais aux larmes. Mais mes supplication n'y firent rien. Je fini par lui échapper, plus par la malice et la ruse que par la force, et alors que je courrai assez vite pour m'éloigner de lui et un œuf écrasé se trouve sur ma route. Et voilà que je glissai allègrement dessus, et me voilà, m'écrasant lourdement au sol, je réussi à m'amortir un minimum avec les mais mais ma hanche cogna fortement le sol. J'aurai droit un joli bleu. Je levais un pouce en l'air, signe que tout allait bien.

Ça va... Rien de cassé!

En revanche c'était fini pour moi pour ce soir. J'avais juste besoin de retourner sous la douche. J'attrapai Joe par la main pour l'entraîner avec moi une fois de plus. Mais cette fois pas de long bain chaud, une bonne douche serait plus approprié. Je retirai alors mes sous-vêtements et entrait dans la cabine de douche. Je n'avais plus aucune gène à me retrouver nue devant Joe. J'ouvrais le jet à fond, et l'eau chaude vint ruisseler sur ma peau, me débarrassant du plus gros du mélange œuf/farine. Je plantai mon regard dans celui de Joe, puis je fis courir mes doits sur ses épaules jusqu'à enlacer sa nuque.

J'ai encore envie de toi Joe...
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 20:06

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Prétentieux et arrogant de dire qu'elle savait que je l'aimais ? Non, ça n'avait rien d'arrogant selon moi. Puisque c'était un fait. Que nous vivions une belle et incroyable histoire d'amour qui était complètement réelle et vraie. Il n'y avait donc pas à être gêné d'être conscient des sentiments de l'autre. En tout cas, moi je n'étais pas du tout gêné de savoir parfaitement, qu'elle m'aimait. Alors tout va bien mon ange. Et il n'y a pas à être gêné o uquoi que ce soit de ce genre, parce que tu sais très bien que je t'aime. Encore heureux que tu le sais ! Répondis-je avec un sourire taquin. Ca faisait partie intégrante de notre relation ça, le fait de croire dur comme fer en la sincérité des sentiments de l'autre. J'abandonnai ses cheveux, pour venir glisser l'une de mes mains sur sa joue, que je caressais désormais avec délicatesse. Elle craignait de me voir disparaître de nouveau. Et peut-être pour de bon cette fois. Oli, je ne vais pas repartir. Les missions pour moi, c'est terminé. J'ai assez donné ! Assurai-je avec conviction, avant de venir déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Je ne pouvais m'empêcher de l'embrasser, encore et toujours. J'adorais ça. J'aimais la douceur de ses lèvres. Et leur saveur également. Comme j'aimais la grande gamine qu'elle était. Elle me prouva encore une fois ça, quand elle m'appela de la cuisine pour que je la rejoigne. Et qu'elle m'accueillit des oeufs et de la farine, pour me bombarder.

Enfin, arriva le moment où je pu me venger, quand je la bloquai dans un coin de la pièce pour refaire son maquillage. Au moins maintenant, nous étions à égalité. Deux bonhommes de neige gaies comme des pinçons. Oh hey, je te rappelle que t'es loin d'être un petit chaton inoffensif ! Lui répondis-je, totalement hilare. Et pour prouver mes dires, il suffisait de me regarder. Je n'étais pas blanc de la tête aux pieds, sans raison. Elle m'avait attaqué la première ! Et elle parvint même à m'échapper, alors que je baissais ma garde. Je n'aurais pas du faire ça d'ailleurs ! Mais en voulant s'éloigner trop rapidement, elle se cassa évidemment la figure. Et ne me laissa pas le temps de m'inquiéter pour elle, puisqu'elle m'assurait que ça allait, avant de reprendre sa course folle. Elle ne s'arrêtait vraiment jamais ! Mais cette fois ci, ce fut pour rejoindre la salle de bains en ma compagnie. Je me délestai également de mon sous vêtement, avant de la rejoindre dans la cabine de douche où je pris le soin de me frotter et secouer, pour faire partir le plus gros de la farine. Avant de me placer sous le jet d'eau avec elle et me frotter les cheveux. Pouah. C'est dégueulasse ! Grommelai-je alors que je peinais à faire disparaître le mélange de mes cheveux. Enfin, je rebaissai les yeux vers elle et avais l'intention de lui demander si elle ne s'était vraiment pas fait mal en tombant. Mais elle ne m'en laissa pas le temps et parvins à me faire penser à toute autre chose. Un lent sourire étira mes lèvres et je pu qu'enrouler mes bras autour de sa taille, pour la ramener fermement contre moi, soudant ainsi nos deux corps nus l'un contre l'autre. Oh vraiment ? C'est drôle parce que moi, j'aurais plutôt envie de dire : oh mon Dieu Oli, j'ai tout le temps envie de toi. Je sais plus quoi faire ! La taquinai-je.

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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 22:17

J'adorai quand Joe m'appelais son ange, j'adorai être son ange. Il avait raison, je n'avais pas à être gêné de savoir qu'il m'aime. Cette relation fusionnelle ne pouvait être guidée que par un amour fou, une passion telle ne pouvais provenir que du plus pur et incandescent des amours. Je sentais qu'un poids s'enlevais de mes épaules quand Joe m'assura avec la plus grande ferveur qu'il ne repartirait jamais. Je hochai la tête.

Jamais.

La soirée prit ensuite une toute autre tournure et une bataille de nourriture s'improvisa dans la cuisine. C'était très drôle jusqu'à ce que je me casse la figure. Je dois bien avouer que j'avais un peu mal à la hanche, mais rien de plus qu'un beau bleu. Je n'étais pas du genre douillette et je n'aimai pas me plaindre de toute façon. Ont finit tout les deux sous la douche alors que Joe se plaignait du mélange dégueulasse, pour reprendre son terme, qui lui collait aux cheveux. J'adorai quand il était vulgaire ou disait des gros mots. Son "oh putain" étouffé, tout à l'heure, quand il me faisait l'amour, eut le dont de me propulser au septième ciel. Et la, même si ce n'était pas vraiment un juron, ça me... Putain j'étais trop accroc à lui.

Tu ne sais plus quoi faire hein?... Moi je sais! Viens un peu par ici je vais me montrer. Je m'approchai alors de lui encore plus et me hissai sur lui comme un petit chat sauvage avant d'enrouler mes jambes autour de sa taille. Tout fut extrêmement simple étant donnée que nous étions déjà nus et débordants d'envie. Et une fois de plus, il me propulsa au septième ciel. Avec l'eau chaude qui coulait sur nos peaux, les clapotis sous le rythme effréné de Joe en moi. C'était...

Divin.

Je fini après ça de prendre ma douche pour de vrai cette fois, en me frottant avec une crème de douche, et mon shampoing pour bien nettoyer mes cheveux. J'enroulais une énième serviette autour de moi et séchais ensuite mes cheveux une nouvelle fois aussi. Puis j'allais chercher d'autre sous vêtements, cette fois d'un rouge cerise très sombre, car ceux la étaient clairement à jeter. Mais Joe m'en offrirait certainement un nouveau pour remplacer celui et surtout, pouvoir se faire plaisir en choisissant quelque chose qu'il aimerai me voir porter....ou pas! Enfin, pour le moment je voulais me blottir à nouveau dans ses bras, bien au chaud dans mon lit, et discuter avec lui jusqu'à demain matin, quand il m'apporterai le petit déjeuné au lit avec une rose sur le plateau...ou pas. J'étais certaine que ça n'arriverai pas car ça ne ressemblait pas à Joe, et à vrai dire, je m'en fiche. Je n'étais pas une fille particulièrement romantique, loin de la même.
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 22:48

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Il n'y avait vraiment qu'Olivia pour avoir envie de faire une bataille de ce genre, juste après avoir prit un bain. C'était vraiment salissant. Et dangereux par dessus le marché, puisqu'elle se cassa la figure. Dieu merci, plus de peur que de mal, puisqu'elle se releva presque aussitôt, avant de m'entraîner dans la salle de bain pour prendre une vraie douche digne de ce nom. Mais avant de prendre cette sacro sainte douche, elle me fit par de son envie. Et histoire d'être plus claire encore, elle joignit le geste à la parole, en enroulant ses interminables jambes, autour de ma taille. Cette étreinte variant les cadences et mêlant gestes passionnés et gestes tendres, dura plus longtemps que la précédente. L'eau qui coulait sur nos corps liés, accentuaient le bruit de claquement de notre union de plus en plus vive, se joignant à nos gémissements et halètements de plaisir. Et ce fut dans un concert de plaintes de ce genre, que nous nous rejoignîmes dans le plaisir, pour la seconde fois de la soirée. Hm j'ai toujours adoré prendre des douches avec toi ... Soufflai-je d'une voix coquine, alors que je me détachais tant bien que mal d'elle, pour achever de me nettoyer. Cette cabine de douche, comme chaque partie de son appartement me semblait-il, en avait vraiment vu des vertes et des pas mûres ! Et même si on ne pouvait que se retrouver ici à tous les coups, je ne m'en lassais pas le moins du monde. Et j'étais certain de ne jamais pouvoir me lasser ! J'attendis qu'elle ait quitté la cabine de douche, pour me nettoyer à fond les cheveux. Après quoi, ce fut mon tour d'en sortir, de récupérer une serviette et de me sécher. En avisant mon sous vêtement couvert de farine, je grimaçai quelque peu.

Et décidai de le rincer et de le laisser le sécher pour pouvoir le remettre au petit matin. Ce fut donc nu que je rejoignis le lit d'Olivia. En même temps, ce n'était pas comme si je ne dormais jamais nu quand je venais dormir avec elle. De toute façon, il ne faisait pas froid du tout quand j'avais Olivia dans les bras. Jolis ... Je trouve que le rouge te va bien. Fis-je remarquer en laissant mes doigts errer sur le morceau de satin qui recouvrait juste les parties stratégiques de son corps divin. Pour prendre place le plus confortablement possible, je passai un bras sous son crâne et m'étendis sur le côté, pour pouvoir la contempler tout à loisir. Et pour qu'ainsi, ma main libre puisse continuer d'errer sur son adorable minois. Et comme à chaque fois que nous nous retrouvions ainsi, blottis l'un contre l'autre dans son lit, nous discutâmes jusqu'à ne plus en pouvoir et à s'endormir l'un et l'autre. Sommeil qui, dans mon cas, ne dura guère plus de quelques heures. C'était déjà un miracle que je sois parvenu à dormir. Mais c'était un miracle que je ne devais qu'à la jeune femme qui se trouvait actuellement dans mes bras. Je déposai d'ailleurs un délicat baiser sur son front, avant de me retirer tant bien que mal, de son étreinte, pour quitter le lit. Comme promis, ce fut avec un plateau contenant son petit-déjeuner, que je revins dans le lit. Avec café, jus d'orange, fruits et croissants. Et la touche finale : la rose rouge. Je ne plaisantais pas quand je disais qu'avec un sourire, elle pouvait tout avoir de moi. Je déposai sagement le plateau sur la table de nuit, avant de grimper à nouveau sur le lit. Au dessus d'elle, pour venir déposer des dizaines de baisers sur son visage. Ma belle endormie. Réveille toi, que je puisse profiter de toi encore un peu. Et là, promis, je ne parlais pas de sexe.

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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 23:42

Si j'adorai prendre mon pied avec Joe, j'adorai tout autant le voir prendre son pied à son tour. J'aimai prendre mon plaisir juste avant lui, car ainsi je pouvais garder les yeux ouverts et le regarder monter au septième ciel, c'était jouissif. Je me mît à rire quand il avoua, non sans une point d'humour, adorer prendre des douches avec moi. Et j'adorai ça tout autant. Mon sourire à la fois séducteur et satisfait lui fit comprendre aisément que j'étais entièrement d'accord avec lui. Après cette délicieuse douche, quand J'enfilai mes nouveaux sous-vêtements, je me dis que j'aurai du les mettre des le début, car j'adorai quand il me faisait ce genre de compliment. Il aimait donc le rouge, le rouge sur moi, c'était bon à savoir pour l'avenir, car j'aimai faire des efforts pour lui plaire.

Merci mon chéri.

J'adorai l'appeler par des petits surnoms affectifs, et j'adorai quand il m'en donnait aussi. Il ne fallait pas que ça soit abusif non plus ou trop niais du genre "mon doudou" ou "mon sucre d'orge", mais j'adorai mon cœur, mon ange, mon amour, mon chéri, ma princesse... C'était venu naturellement entre nous. Mon visage s'éclairait d'un grand sourire puis d'un regard charmeur quand il vint me rejoindre dans le lit complètement nu. Ça n'était pas la première fois. Parfois, quand nos ébats n'en finissaient plus, et que nous nous retrouvions épuisés dans mon lit, on s'endormait tout les deux nus, ça ne nous avait jamais dérangés. Enfin, la nuit s'acheva en belles discussion, jusqu'à plonger dans un profond sommeil. J'adorai le fait que lorsqu'il dormait dans mes bras il ne faisait pas de cauchemars, et il ne prenait pas de somnifères pour dormir. Il faut dire sur je l'épuisait bien assez à moi toute seule.

Si je m'attendais à ce qu'il me prenne au mot avec cette histoire de petit déjeuné. J'avais dit ça juste comme ça, pour déconner. J'eus droit au plus doux des réveils. Joe parsemait mon visage de baisers aussi doux et léger qu'une plume, me demandant de me réveiller pour qu'il puisse profiter de moi encore un peu. Et c'est en ouvrant les yeux et remarquai le plateau de petit déjeuné encore plus beau que ce que j'avais demandé.

Oh chéri... Mon cœur c'est trop, tu n'aurai pas du, c'est adorable. Tu as même penser à la rose, tu es parfait! Je t'aime.

Je l'embrassai tendrement avant de prendre le plateau sur les genoux.

Prends au moins le temps de manger un bout avec moi s'il te plais. Je trouve que tu as un peu maigri. Est ce que tu manges assez? Je tiens à ce que tu restes en bonne santé.

J'avais aussi une petite surprise pour lui et je crois que c'était le moment idéal pour le lui annoncer. Je me sentais déjà horrible en y pensant.

Joe... Tu sais que le mois prochain, Laurie va passer une semaine dans un centre de rééducation à l'autre bout du pays... Je suis vraiment horrible mais... Je nous ai réservé une semaine au bord de la mer, pour toi, Jessica et moi. J'espère que ça te fait plaisir.

Je me penchai et sortirait nos billets et réservations d'un tiroir de la table de nuit et les présentais à Joe.

J'ai aussi prévu une nourrice pour Jess quand on voudra être seul.
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 0:09

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M'endormir dans les bras de la femme que j'aimais, était bien meilleur que tous les somnifères et calmants du monde. Quand je passais la nuit avec elle, je n'avais vraiment besoin de rien d'autre pour être bien et pour passer une bonne nuit de sommeil. Même si, bien sûr, je ne faisais pas pour autant des nuits de huit ou neuf heures. Je n'étais pas encore parvenu à retrouver un bon cycle de sommeil. Mais ce n'était pas bien grave. Généralement, je parvenais à faire une sieste dans la journée pour compenser un tant soit peu. Et quand ce n'était pas le cas ... Eh bien je m'épuisais jusqu'au moment où je tombais naturellement d'épuisement. Mais avec Olivia, aucun risque que cela arrive. Ce fut donc un sommeil réparateur qui m'accompagna durant quelques heures, avant que je ne me réveille et ne rapporte le petit déjeuner demandé par mademoiselle. Ca ne me dérangeait pas du tout de faire ça. Soit, sans notre petite discussion de la veille, je n'aurais peut-être jamais pensé à le faire. Mais puisqu'elle en avait émit l'envie, même par pure plaisanterie, il n'y avait aucune raison pour que je ne le fasse pas. Bon, bien sûr, ce n'était pas un truc que je comptais faire à tous les coups non plus. Ne serait-ce que parce que j'adorais vraiment les réveils paresseux, et parfois bien crapuleux, que je pouvais avoir avec elle. Mais ce matin là, c'était donc un petit déjeuner gourmand, vu le plateau que j'avais préparé. Chut, chut. Ce sera jamais trop pour toi. Lui soufflai-je d'une voix douce, entre deux baisers déposés sur son visage.

Je pris ensuite de nouveau place dans le lit, à ses côtés, alors qu'elle plaçait le plateau sur ses jambes. Je fis la moue quand elle mentionna mais quelques kilos perdus. Soit, j'avais perdu pas mal pendant ma mission. A mon retour, j'avais pris plus que ce que j'avais perdu. Mais c'était pour ensuite repartir dans le sens inverse et perdre de nouveau. C'est la faute aux ... Nombreux cachets. Ils ont tendance à me couper l'appétit. Soupirai-je doucement en affichant une moue de gamin qui venait d'être prit sur le fait, en train de faire une belle connerie. C'était d'ailleurs un peu ça, il fallait bien le dire. Mais pour lui faire plaisir, je coupai un croissant en deux pour manger un peu. Vraiment un peu. Hm ? Demandai-je distraitement, quand elle reprit la parole en commençant par mon prénom. Et quand elle arriva à la fin de mon discours, j'étais bouche bée, sourcils haussés. Oh... Oh, bordel, c'est vrai ? Lâchai-je finalement, à moitié sonné. Moi qui veillais toujours à ne pas dire d'injures pour éviter que Jessica n'entende ça, j'avais un peu trop tendance à me lâcher quand j'étais seul avec Olivia. En même temps, elle me donnait souvent matière à lâcher des trucs pareils ! C'est incroyable ! Ajoutai-je en prenant le temps d'étudier les papiers qu'elle venait de me tendre. Une semaine ensemble ... Non stop ! Répétais-je, regard toujours rivé sur les réservations. Et avec Jess' par dessus le marché ! Parce que quand j'étais avec Oli, il me manquait ma fille. Et quand j'étais avec ma fille, il me manquait Oli. Alors si je pouvais avoir les deux en même temps ... C'est presque trop beau pour être vrai ...

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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 1:01

Ce mec était juste fait pour moi, il était parfait pour moi, ses qualités me correspondrait tout autant que ses défauts que j'aimai tout autant d'ailleurs. Même nos corps étaient fait l'un pour l'autre, et ça, nous n'avions de cesse de le prouver encore et encore. Et en dehors du sexe, j'adorai lui faire plaisir, le rendre heureux, le voir sourire.

Cette nuit dans ses bras fut formidable. J'adorai ces moments de douceurs ou l'espace de quelques instants, j'avais enfin de vivre une histoires d'amour presque normale. Et se réveil était d'autant plus plaisant, fabuleux. J'étais tellement heureuse en cet instant. Je n'avais pas assez de mot pour le remercier. On commençai à prendre note petit déjeuné ensemble et je le forçait à manger un peu. Puis je lui annonçait ma petite surprise à savoir des vacances en amoureux avec Jessica aussi. Je crois qu'il avait du mal à y croire, il restait bouche belle, j'étais heureuse que ça lui fasse plaisir.

Ça me fait plaisir mon cœur, je suis vraiment heureuse que ça te plaise. Je sais à quel point tu adore ta fille, et moi je l'ai élevé pendant presque un an et je l'aime comme si c'était la mienne. Et puis on aura l'impression d'être une vraie petite famille.

J'embrassai tendrement Joe sur le coin de la bouche alors qu'il décortiquait encore les billets et réservations.

En plus, j'adore te voir t'occuper d'elle. Tu es un père génial, et c'est tellement attendrissant... On est chanceuse, Jessica et moi, d'être aimé à ce point par un homme aussi formidable que toi.

Je terminai mon petit déjeuné et reposai le plateau sur la table avant de me jeter dans ses bras.

Je rêverai que tu restes avec moi toute la journée, mais je pense aussi à Jessica, elle a besoin de son petit papa... Probablement autant que moi. Mais pour moi ça ira, car je sais que l'avenir sera plus beau, et qu'un jour on pourra vivre ensemble.
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 1:36

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Chaque instant partagé avec Olivia, semblait être plus beau que tous les précédents encore. J'ignorais si un jour, j'allais être moins heureux avec elle. Mais j'étais certain que c'était tout bonnement impossible. Pour ça, il faudrait déjà commencer par tomber dans la routine, selon moi. Or, vu nos deux personnalités, je doutais que cela soit possible. La preuve, elle parvenait encore à me surprendre. En ayant organisé une sacré semaine, par exemple. J'avais peine à y croire tant ça semblait vraiment incroyable. Magique. Donc, impossible. Et pourtant, c'était bien réel. Elle l'avait vraiment fait. Et nous allons y aller. Nous allions pouvoir profiter d'une semaine, rien que tous les trois avec ma fille. De quoi me combler de bonheur. Et j'étais certain qu'elle savait que ça allait me faire cet effet totalement dingue ! Tu feras une mère formidable un jour ... Soufflai-je doucement, alors qu'elle mentionnait ma fille avec plus de précision, mentionnant ainsi le fait qu'elle l'avait élevé pendant un an. En effet, elle l'avait fait en mon absence, vu que sa soeur se laissait bien trop aller dans sa déprime, pour s'occuper correctement de sa propre fille. En fin de compte, elle était plus sa mère, que sa véritable mère elle même. Mais c'était là un fait que je ne me sentais pas le courage de dire à voix haute. je n'étais pas certain que ça se fasse. Quand bien même c'était une vérité que personne ne pourrait nier. Laurie elle même, ne pourrait dire le contraire !

Je ricanai un peu quand elle m'assura que j'étais un père génial. Moi un père génial ? N'exagérons pas. J'ai tellement, toujours peur de faire une connerie, que je prends vraiment trop mon temps. Une heure par repas, une demie heure par couche. D'ailleurs, j'use deux couches à chaque fois que je dois la changer, parce que je déchire la première. J'ai rétrécis tous ses vêtements en mettant la machine à laver trop fort la dernière fois. J'ai salé son plat avant de me rappeler qu'il ne le fallait pas, ce midi encore. Bref, rien qu'un très court résumé de toutes les âneries que je fais encore ! Rétorquai-je pourtant, bien conscient que non, je n'étais pas du tout un père génial. Je ne m'en sortais pas si mal que ça, d'accord. Mais ça n'allait vraiment pas plus loin que ça. Je n'étais pas génial ni rien, qu'on se le dise ! Je n'étais même pas meilleur petit ami, que père. Finalement, j'étais un peu un raté. Et c'était peut-être ça, qu'Olivia aimait chez moi ? Aucune idée. Vraiment aucune idée ! De toute façon, je ne pensais plus à tout ça quand elle se trouvait dans mes bras. Comme ce fut le cas dès lors qu'elle eut terminé son repas et déplacé le plateau, pour se jeter dans mes bras. D'ailleurs, est-ce que tu veux passer à la maison, aujourd'hui ou demain, pour la voir ? Je suis sûr qu'elle en serait très heureuse. Et quelque chose me dit que son père aussi ...

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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 12:35

Un mère formidable un jour? Je ne pouvais que l'espérer oui. Je n'ai jamais été particulièrement emballée par l'idée d'avoir des enfants, ni particulièrement retissante non plus. Du moins jusqu'à la grossesse de ma sœur. Elle portait en elle une part de Joe, et je dois bien avouer que ça me rendais très jalouse. Une autre femme portant en elle un être conçu par Joe, ça m'avait fait très mal, même si c'était ma sœur. Je rêvais de porter un jour le fruit de notre amour dans mon ventre et de lui donner la vie. En plus, j'ai été initiée à la maternité des la naissance de ma nièce et je dois bien avouer que j'y avais prit goût. J'adorai m'occuper de Jessica, prendre soin d'elle, jouer avec elle, la câliner. Sa mère ne lui donnait aucun amour, et je lui en donnait plus qu'il n'en faut.

Je l'espère en tout cas...

Même si Joe avait 34 ans, un homme pouvait avoir des enfants tard, et moi j'étais encore jeune. En plus, il avait comme moi garder une âme d'enfant, et même si il avait des enfants en étant plus vieux, ça ne serait pas un problème. Je l'écoutait me dire à quel point il était un père imparfait et ça m'amusa je dois l'avouer, car moi je savais quel genre de père il était. Je ne pouvais pas le laisser croire cela. Je me mis à califourchon sur lui et prenais son visage entre mes mains pour qu'il me regarde bien dans les yeux.

Joe... Tu aimes ta fille comme un fou, tu es dingue d'elle ça crève les yeux. Tu passes ton temps à l'embrasser, lui faire des câlins, tu lui dit que tu l'aime.... Moi, j'ai eu un père parfait sous tout rapport : il savait quoi faire, quand le faire, il n'y avait jamais aucune embûches. C'était un robot papa. Mais il ne m'a jamais prise dans ses bras, il ne m'a jamais consoler quand je pleurai, il ne m'a jamais dit qu'il m'aimai, il ne s'est pas dressé entre ma mère et moi quand elle s'en prenait à moi, jamais, pas une fois, alors que toi tu crèverais pour Jessica. Et crois moi, j'ai été malheureuse, très malheureuse. Tu es le père que j'aurai rêvé d'avoir, un peu maladroit mais débordant d'amour. Tu es un père formidable. Quant au reste et bien, ça viendra naturellement avec le temps, et puis, je suis la moi.

Je le serrai fort dans mes bras. Je ne voulais plus jamais l'entendre dire ce genre de chose ou même les penser.

Et tu es un homme tout aussi extraordinaire. Tu es fort, même si tu as tes faiblesses comme tout le monde. Tu es intelligent, drole, tu as un grand cœur et tu es incroyablement beau. Et je t'aime plus que ce n'est permis. Tu n'es pas parfait, tu es juste ma perfection.
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 13:13

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J'espérais vraiment avoir un jour la possibilité de fonder une famille avec Olivia. Oh je ne pensais pas à une famille nombreuse avec plus de trois enfants non plus. Un ou deux, en plus de Jessica, me suffiraient amplement. Mais j'ignorais ce qu'il en était de ses envies à elle. Et pour le moment, nous n'en discutions pas. Il était beaucoup trop tôt pour avoir la moindre discussion à ce sujet, pour sûr. Le fruit de notre amour ... Soufflai-je d'une voix songeuse, en laissant errer mes doigts sur son ventre totalement plat à l'heure d'aujourd'hui. Oui, je voulais vraiment croire qu'un jour, on pourrait avoir au moins un enfant. Ca ferait de moi l'homme le plus heureux du monde. Je l'étais déjà beaucoup avec Jessica pour fille. Même si je n'étais aucunement amoureux de sa mère. De toute façon, j'avais la sensation qu'Olivia occupait bien plus ce poste, que Laurie elle même. Et c'était déjà le cas, bien avant que je ne revienne dans leur vie, à toutes les trois. Olivia était une mère parfaite pour Jess. Et elle ne pourrait donc que l'être également, avec ses propres enfants. Je voulais voir ça un jour. Je le voulais si fort, que j'étais certain que ça finirait bel et bien par arriver. Et peut-être que d'ici là, je pourrais affirmer que j'étais un excellent père, de mon côté. Parce que pour l'heure, j'avais quand même quelques doutes évidents. Il faut dire que je faisais encore pas mal de bêtises.

Mais face à mes paroles plus déprimées et déprimantes qu'autre chose, Oli se redressa pour venir prendre place, à califourchon, sur moi. Je me retrouvai donc le regard planté dans le sien, tandis qu'elle tentait de me faire entendre raison sur le fait que j'étais vraiment un très bon père. Il est vrai que j'étais complètement gaga de ma fille. Je l'aimais terriblement. C'était fou de voir à quel point. Je passais le plus clair de mon temps à la bisouiller et à la câliner. Je ne m'étais jamais posé la question de avoir si c'était bien ou non. j'en avais juste envie. Je débordais d'amour pour ma fille. Et en un sens, j'agissais exactement pareil avec Oli, quand nous étions seuls et que je pouvais me le permettre. Quand j'aimais, j'étais super tactile. Je ne pouvais m'en empêcher. Tu crois que ça compense mes erreurs ? Lui demandai-je en affichant une petite grimace qui montrait bien que je n'étais pas tout à fait d'accord avec ça. Que j'avais même comme un très gros doute en fait. Intelligent ? Demandai-je en ricanant un peu et en refermant mes bras autour d'elle pour la garder contre moi. Il n'y a que toi qui es témoin de mes faiblesses. Ajoutai-je doucement. Et pour cause, elle était la seule personne devant laquelle je me permettais de faire preuve de la moindre faiblesse. Je ne craignais pas d'être jugée par elle. Et je savais qu'elle ne me prendrait pas en pitié. Qu'elle ne ferait rien d'autre que de vouloir sincèrement m'aider.

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Olivia Evermoore
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 14:46

Quand il passait ses doigts sur mon ventre je ne pus que fermer doucement les yeux sous les frémissements que cela provoquait en moi. J'adorai quand ses doigts frais courraient sur ma peau chaude, sur mon corps mince, parfois trop mince même pour certain, mais tant que ça plaisait à Joe, c'était tout ce qui me convenais. Je ne faisait absolument pas attention à ma ligne, j'adorai les pizzas, les hamburgers, les sodas et les sucreries, et je mangeais comme trois. J'étais chanceuse d'avoir un organisme qui éliminais tout très rapidement. Il me demanda ensuite si je comptais passer voir Jess prochainement. Je hochai positivement la tête.

Oui, je vais passer cette après-midi. Ce matin je vais prendre un café avec un ami, Gabriel, et ensuite il faut que je passe acheter quelques paires de chaussures à Jessica, j'ai remarquer que les siennes commençaient à être un peu petites.

C'était le genre de choses que je remarquai facilement. C'était naturel. Et Jessica avait beau ne pas être ma fille, j'avais développer mon instinct maternel avec elle. Je savais quand elle avait faim, quand elle avait besoin d'être changé, quand elle voulais tel ou tel jouet, quand elle voulait un câlin etc... D'ailleurs en parlant de ça, j'avais quelques tuyaux à donner à Joe pour lui simplifier un peu la vie.

Quand elle refuse de manger, distrait la avec son lapin bunny, ça l'a fait toujours beaucoup rire et après elle mange sans broncher. Pour les couches je te montrerai la technique tout à l'heure, ce n'est pas compliqué une fois qu'on a comprit le truc. J'espère que tu n'oublies pas de lui mettre de la crème et du talc en la changeant. Si elle a les fesses irritées tu auras à faire à moi.

J'espérais tout de même que mes paroles lui avaient remonté un peu le moral et remonter son estime de lui même en tant que père. Comme je lui avait déjà dit, j'aurai tout donné pour avoir un père qui m'aime comme lui aimait Jessica.

Oui ça compense tes erreurs insignifiantes, et oui tu es un homme intelligent. Tu n'es pas un intello ou un premier de la classe, mais tu es intelligent, arrête de douter de toi comme ça. Quand a tes faiblesses, je les comblerais par ma force comme toi tu combles les miennes.

J'essayai sans cesse de le rassurer, et de tout positiver, pour Joe uniquement. Je savais que moralement, même si il allait de mieux en mieux, ce n'était pas encore gagné, et ont ne pouvait pas encore dire qu'il aille bien, malgré que l'ont se soit retrouvé. Cette situation était atroce il faut dire. Rentrer de deux ans d'horreur complètement brisé, retrouver qu'il a eut une fille de son ex qu'il n'aime plus, être amoureux de la sœur de cette même ex, devoir assumer une paternité brutalement, non ça ne pouvais pas être digéré comme ça. Mais je serai la, et je le réconforterai jusqu'à ce qu'il soit de nouveau bien dans sa tête et dans son cœur.
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MessageSujet: Re: You're like a drug that's killing me. Oli & Joe   You're like a drug that's killing me. Oli & Joe - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 15:40

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Olivia s'occupait vraiment plus de ma fille, que sa mère elle même. Ca se confirmait chaque jour un peu plus. Et là encore elle était en train de le prouver. Parce qu'elle avait remarqué que Jessica n'avait plus beaucoup de chaussures qui lui allaient. Ne t'emballe pas à acheter plusieurs paires. Dans deux mois, il lui en faudra d'une taille supérieure. Lui rappelai-je sur un ton amusé. Parce que oui, malheureusement, Jessica était à un âge où elle changeait vraiment très vite. Beaucoup trop à mon goût. J'adorais avoir un bébé à la maison. Mais bientôt, ce serait un bambin. Elle commençait déjà à se tenir debout avec un peu d'appuie. Elle n'allait certainement plus tarder à marcher. Et j'ignorais si je voulais y être ou pas. Une fois qu'elle marcherait, elle allait se mettre à gambader de partout et tout ce qui s'ensuit. Finalement, Olivia gérait même beaucoup mieux avec Jessica, que moi même. Peu importe ce qu'elle était en train de me dire maintenant pour me rassurer, c'était un fait. Elle remarquait beaucoup plus de choses que moi était bien moins maladroite avec elle. D'ailleurs, ce fut bien elle qui, encore, me donna quelques conseils pour que je puisse m'occuper plus correctement encore, de ma fille. Des tas de petites astuces qu'elle avait apprit d'elle même et sans la moindre aide extérieure, au cours de cette année écoulée où elle s'était occupée, presque toute seule, d'elle. Enfin pas presque en vérité. Vraiment seule. Puisque Laurie était plus absente qu'autre chose.

Promis, tout ce qui est hygiène, je fais vraiment très, très attention ! Lui promis-je avec un sérieux à toutes épreuves. Pour sûr que je faisais attention. Je ne voulais pas qu'elle se retrouve avec des tas de boutons ou des plaques, parce que je n'aurais pas fais attention à certains détails. Par contre, je veux bien avoir à faire à toi ... Ajoutai-je d'une voix soudainement beaucoup plus coquine. Ce n'était évidemment que pour la taquiner. Comme il n'était pas rare que je le fasse. Et elle me rendait parfaitement la pareille la plupart du temps. J'adorais vraiment ce côté là de notre relation. Encore une fois, elle ne se fit pas prier pour tarir d'éloges à mon sujet. Ce qui fit naître un petit sourire sur mes lèvres. Heureusement que je t'ai ... Je ne sais vraiment pas ce que je serais devenu, sans toi dans ma vie ... Soufflai-je doucement, en l'observant avec amour et tendresse. Taquin, je roulai sur le lit pour reprendre le dessus sur elle. A croire qu'on passait notre temps à ça. Se battre pour être celui qui se retrouverait à nouveau dessus. Il faut que j'y aille. Finis-je par soupirer à contre coeur, en déposant de délicats baisers sur ses lèvres. Très délicats. A peine perceptibles. Légers comme les ailes d'un papillon qui ne faisaient que la frôler. Je compte sur toi pour venir alors... Je vais t'attendre ... et je vais prévenir Jessica. Tu ne pourras pas te défiler comme ça...

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