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 Les ennuis continuent. (PV Dylan)

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Declan M. Hamilton
Declan M. Hamilton
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MessageSujet: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyDim 21 Déc - 18:33

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
La vie de Declan avait changé depuis la mort de la mère de Dylan. Car ce jour-là il sait lancer en avouant ses sentiments à sa meilleure amie, ce n'était peut-être pas le meilleur jour vu qu'elle m'annoncer que sa mère était décédée d'une overdose et surtout à cause de son père. Mais au moins en avouant mes sentiments j'ai mis un peu de bonheur dans cette noirceur, Dylan ne m'avait pas repousser à mon plus grand bonheur car je l'aimais depuis longtemps mais je n'arrivais jamais à lui annoncer mes sentiments et surement un peu de honte de tomber amoureux de ma meilleure amie depuis que nous sommes tout petit puis peur de sa réaction. Mais finalement tout c'était bien passer comme je le voulais. Nous formons par la suite un couple où je suis fou amoureux d'elle et la protège comme jamais même un peu de trop vu qu'en voulant l'aider à retrouver ceux qui ont fait ça à sa mère et aider aussi à mettre son père en prison, j'ai mis les pieds où il ne fallait pas et je me retrouve avec des sales types qui sont des dealers qui veulent ma peau. En tout cas je n'ose en parler à personne et surtout pas à Dylan elle a assez d'ennuis comme cela entre sa mère décédée et récemment sa sœur jumelle, je ne voulais pas lui en rajouter en disant que le prochain cadavre peut être le mien. Je vais tenter de me débrouiller seul mais fallait quand même que je continue de l'aider. Je trouvais Dylan plus distante qu'avant mais je ne savais pas pourquoi, mais je me dis que de perdre sa sœur jumelle doit jouer dans la balance, il parait que les jumeaux sont fort fusionnels c'est comme si une partie d'elle était partie avec Alex. Donc je ne dis rien pour le moment...

Aujourd'hui était une journée banale, j'avais énormément de travail et les fêtes de fin d'année qui approchent n'arrange rien pour les petites racailles qui volent dans les magasins etc, je n'avais pas le temps de m'ennuyais une seconde. Tellement de travail que je reste assez tard dans mon bureau à travailler sur les dossiers et les audiences que j'ai demain au tribunal. Mais quand je vois l'heure, j'étais étonné je n'avais pas vu la soirée passer et je n'avais même pas mangé. Je finis par fermer tous mes dossiers et les prendre chez moi, j'aurais le temps de les lire demain matin avant de partir. J'enfile mon manteau et je mets les dossiers dans ma sacoche et je pars en fermant tout à clé. Je me dirige ensuite vers ma voiture, je dépose ma sacoche sur le capot et je cherche mes clés de voiture dans les poches de mon manteau. Mais tout d'un coup j'entends deux voitures arriver à toute allure et freiner brutalement devant ma voiture. Je regarde d'un air étonné en me disant qu'ils sont complètement malade. Je remarque qu'ils y avaient 3 hommes dans chacune des deux voitures. J'aperçois donc six hommes descendre et arriver vers moi, j'avais peur ils avaient l'air bien battit et en regardant autour de moi j'étais réellement seul face à six hommes alors je décide de ne pas bouger car de toute façon je n'aurais pas le dessus. Un homme m'attrape par le col et me plaque sur le capot de ma voiture en me regardant d'un air mécontent et deux autres a ses côtés et les trois autres surveillent les alentours.

« Hamilton ! Tu t'es foutu de nous en te faisant passer pour un drogué et maintenant tu continues de chercher des choses qui ne te regardent pas. Tu joues avec le feu mais apparemment tu aimes le danger. Mais pour que cela soit clair dans ta petite tête de fils à papa, on va être gentil cette fois, mais on te le dira plus une troisième fois. Alors prend cela en compte sinon ça va très mal se passer si tu nous fais déplacer de nouveau.»

Je ne bouger pas et ne disait rien, le type me lâche j'étais soulagée je croyais y passer. Je me redresse quand un de ses deux gardes me fout une droite en plein visage, celle-là je ne l'avais pas vu venir. Je mets mes mains où il m'a tapé mais je comprends qu'être gentil ce n'était pas me laisser partir avec une simple discutions. Je vois qu'il m'attrape et me lance par terre, je vois me rapprocher du sol rapidement et je n'avais même pas le temps de réaliser ni de me relever que le second me fout quelques gros coups de pied dans le ventre et un dans la figure. J'étais plié sur moi-même, les yeux fermer comme pour rien voir de ce qui aller suivre, mais il n'y avait plus de coups alors j'ouvre les yeux et les vois remonter tous dans leur voiture me laissant écroulée par terre. Je regarde les voitures s'éloigner, je tente de me relever doucement j'avais un mal de chien au ventre mais rien de casser. Je saignais de mon nez et un peu de l'arcade sourcilière. J'attrape mes clés et prends ma sacoche et monte dans ma voiture que je verrouille à clé, j'allume la petite lumière et me regarde dans le miroir de mon pare-soleil. Je prends un paquet de mouchoirs et je tente d'arrêter le saignement de mon nez et nettoie un peu mon arcade... Je n'étais pas rassuré du tout alors je me dépêche de clôturer ma ceinture et de démarrer pour rentrer. Sur la route je pensais à Dylan et j'avais peur pour elle si ses types s'aperçoivent qu'elle cherche aussi ils vont s'en prendre à elle, malgré qu'elle soit flic je ne suis pas rassuré elle sait se défendre mais je lui ai promis de la défendre. Mais je ne peux pas lui en parler alors je ne savais pas comment faire, j'étais dans l'impasse. Une fois arrivée au domicile, je descends et ferme la voiture à clé et me dépêche de rentrer, je retire mon manteau et j'allai directement dans la salle de bains me soigner et retiré tous se sang. Dylan n'était pas encore rentré et ça m'arrange si elle me voit comme cela qu'est-ce que je vais lui dire, il faut que je trouve car ça va se voir et elle est flic il faut quelque chose qui tient la route. Je prends du coton et de quoi désinfecter et je nettoie tout en grimaçant car cela piquer et je réfléchis en même temps à une excuse qui tient la route...

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D.Dylan-Skÿe Wilson
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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyDim 21 Déc - 22:40

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

la tête tout contre mon bureau, je sens une main se poser sur mon épaule. je me redresse et regarde mon co-équipier. ça fait bientôt quarante huit heure que je n'ai pas dormir. je n'ai pas trouvé le sommeil et je ne suis même pas rentrer à la maison. je me suis contenté de dire à Declan que je passais la nuit au poste pour travailler sur mon affaire. le capitaine ne veut jamais qu'on passe plus d'une nuit sans dormir. si je passe une deuxième nuit ici, je vais me faire taper sur les doigts. je passe ma main dans mes cheveux pour les remettre correctement. je me frotte un peu les yeux en essayant de ne pas faire dégouliner mon maquillage de partout. j'aurais l'air encore plus d'un zombie. « tu devrais rentrer Dylan et dormir. tu as une tête de mort vivant. tu as besoin de repos. prend ta journée de demain. l'affaire sera encore là à ton retour. elle ne se résoudra pas en une journée. » j'ai beau avoir besoin de peu de sommeil. je crois que là, j'en ai vraiment besoin et il l'a parfaitement compris. mort vivant est un grand mot. quand je me suis passé de l'eau, il y a une heure, j'ai pris peur en me regardant dans le miroir. je ne ressemble pas à grand chose. déjà que je ne suis pas du genre à être très féminine. seulement, je ne veux pas lâcher cette affaire. je sais qu'elle ne va pas se résoudre en un jour. cependant, je ne crois pas que ça soit bon que je la mette de côté pendant une journée. je pourrais manquer quelque chose. c'est une grosse affaire. c''est une affaire de drogues. c'est le genre d'affaires qui pourra me donner des informations sur le business de mon père mais aussi le genre d'affaire qui a fait perdre la vie à ma sœur. je sais bien qu'il peut me couvrir pendant une journée. je l'ai fait pour lui et il le fera pour moi. le problème, c'est que je suis une accro du travail. que je perds toute notion de temps et d'horaire quand je suis sur une affaire. j'ai l'impression d'en résolvant des affaires, j'essaye de faire en sorte que je peux être capable d'être à la hauteur. je pense que ça me permettra de faire le deuil d'Alex. pourtant, chaque fois que je passe des menottes, ça ne me fait rien. ça me permet pas d'aller mieux. je ressens toujours cette douleur, cette colère. « je peux pas te laisser gérer tout ça, j'ai trop délicat. » si nous sommes deux, c'est que seul, c'est trop difficile. le danger est trop grand. le danger est trop important. il pourrait perdre la vie alors que je ne suis pas là. je ne peux pas perdre quelqu'un d'autre et qu'importe qui ça peut être. un nouveau mort dans ma vie et la pente sera impossible à remonter, trop pentu pour que j'arrive au sommet. je veux faire en sorte que tout le monde respire, tout le monde aille bien et ça pendant de longues années. je suis prête à sacrifier mon bonheur, pour voir le bonheur des autres. « arrête Dylan. j'ai pas envie que tu perdes la vie. tu as pas le choix. tu rentres ou je vais voir le chef pour qu'il te force à prendre des vacances. » « c'est bon....» dis-je en laissant mes bras tomber le long de mon corps. je préférais m'absenter du poste pendant une journée alors que d'avoir une semaine de repos forcé. je peux pas être loin du travail. je ne peux pas être en vacances. c'est ce que je suis. je suis flic et rien d'autre. c'est comme ça que j'arrive à tenir debout, à tenir droite. ça me permet de ne pas sombrer encore plus. de ne pas perdre la tête. j'attrape mes affaires et je quitte le poste en n'ayant pas vraiment envie de le faire. j'ai trop peur d'affronter Declan. j'ai trop peur d'affronter son regard. de l'entendre me poser des questions, de me demander de me confier à lui. je suis incapable d'en parler. je suis incapable de dire ce que je ressens, pourquoi je suis en colère. même les larmes ne veulent pas sortir. je devrais pouvoir me confier à lui. seulement, je n'y arrive plus depuis la mort d'Alex. j'ai l'impression que personne ne peut me comprendre. que personne n'est capable de supporter ma douleur et de la comprendre. je me renferme un peu derrière un mur. je garde encore plus mes émotions et mes sentiments. déjà que je n'étais pas très douée pour ça. je deviens une pierre de plus en plus. je gare ma voiture habituelle puis je rentre à la maison. je touche mon arme pour vérifier qu'elle est bien là. elle ne me quitte jamais. je la garde près de moi même quand je n suis pas au travail. être sous couverture est dangereux. quelqu'un pourrait découvrir l'arnaque et savoir où j'habite. je me dois de protéger Declan à tout moment. je pousse la porte. Declan est déjà à la maison, en même temps, au vu de l'heure, c'est un peu normal. j'aurais dû rentrer depuis au moins trois bonnes heures. je retire ma veste que je lance sur le canapé. je retire mes chaussures. une bonne douche me fera du bien. « Declan. » criais-je pour lui dire que je suis rentré. je passe par la cuisine pour prendre une bière dans le frigo. je fais tout le rez de chaussée, personne. je monte à l'étage. Declan doit déjà être au lit. je pousse la porte de notre chambre. le lit n'est pas défait. je n'aime pas ça. je pose ma bière sur la commode et je sors mon arme de l'arrière de mon pantalon. je le pointe trop devant prête à tirer si je tombe nez à nez avec un inconnu. je le cherche encore et encore. le dernier endroit o je ne suis pas allé : la salle de bain. j'entre tout doucement. je baisse mon arme à l'instant où je me rends comte que ce n'est que Declan. « qu'est-ce que tu fais là ? » ouf ! j'ai eu peur alors qu'il n'y avait rien du tout. je m'aperçois que Declan est entrain de soigner des blessures. de vilaines blessures qui pourraient être le genre de blessures que je peux avoir. j'ai connu ses blessures, j'en garde des cicatrices. cependant, jamais Declan n'est rentré comme ça. ce n'est pas dans ses habitudes. je m'approche de lui. « tu saignes ! laisse-moi faire. » je ne peux pas le laisser se soigner tout seul. je me dois de l'aider. j'attrape le coton et le désinfectant qu'il a entre les mains. je me mets en face de lui et c'est avec délicatesse que je continue à nettoyer les plaies. j'ai beau être une brute, je peux aussi être délicate et faire attention. je sais que c'est essentiel d'être délicate et ne pas appuyer trop fort. Declan va surement avoir mal mais je suis là. je pose mon autre main sur la sienne en la serrant légèrement pour lui montrer que je suis là. que pour une fois, ce n'est pas lui qui nettoie mes blessures mais le contraire. « je pensais que les avocats n'avaient pas ce genre de blessures. qu'est-ce que tu as fait pour finir dans cet état ? » c'est une manière pour savoir comment il a eu ses blessures. j'ai besoin de savoir. je n'aime pas le savoir en danger. surtout que je peux le protéger, je peux faire en sorte qu'il y est des policiers qui veillent sur lui. être avocat peut comporter des risques. protéger un coupable, faire en sorte de trouver des preuves qui réduiraient en miettes des truands. les hommes mauvais sont de partout et ça ne leur ferait verser aucune larme s'ils devaient se débarrasser d'un avocat.   
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyLun 22 Déc - 21:33

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
La nuit dernière j'avais passé la soirée et nuit tout seul vu que Dylan bosser de nuit et j'aurais aimé que ça soit ce soir qu'elle travaille vu mes blessures au moins elle ne m'aurait pas vu dans cet état mais pas de chance elle rentre ce soir assez tard et moi aussi d'ailleurs si seulement j'aurais terminé mon travail avant je ne me serais peut-être pas fait tabasser sur le parking. Mais bon je voulais aider Dylan dans ses recherches et je l'aimais alors il était normal de l'aider et de la soutenir même si elle reste assez distante et froide, elle n'était pas du genre a ce confié à moi pourtant j'aimerais savoir ce qu'elle pense et si elle se confie ça la soulagerait mais non Dylan ne parle jamais de tout ce qu'elle ressent depuis la mort d'Alex. Je sais qu'elle n'est pas une femme faible mais dès fois elle peut craquer je comprendrais totalement et je la soutiendrais. Elle m'avait parlé à l'enterrement qu'elle voulait partir en vacances sur le coup je n'étais pas chaud car avec mon boulot je ne pouvais pas partir sur un coup de tête, mais ce soir avec ceux que ces types m'ont fait je me dis que partir loin d'ici pendant une semaine voir deux ça ferrait du bien et à Dylan aussi elle avait besoin de se détendre et ne pas penser à son boulot tous les jours, je sais que pour elle son boulot est très important et qu'elle est accro à son travail...

J'étais en train de me soigner et mettre un peu de sang partout et des cotons remplis de sang dans l'évier. Mais ce n'était pas facile ça piquer énormément. Mais il le faut et le principal est que ce n'était pas très profond et que je n'avais pas besoin d'aller à l'hôpital pour me faire recoudre ce qui était déjà parfait et aucune côte cassés et ça j'étais heureux car ça fait un mal de chien sinon. J'allais avoir de sacré bleu et je ne savais pas si demain je devais bosser dans cet état, je pouvais travailler mais tout le monde va me demander ce que j'ai fait etc et je n'ai pas envie de répondre à tout ce genre de question toute la journée... Je n'avais même pas entendu Dylan rentrer tellement j'étais concentré dans ce que je faisais pour me soigner le mieux possible. Quand j'aperçois la porte de salle de bains s'ouvrir je regarde dans le miroir et vois Dylan qui était en train de baisser son pistolet, je suis étonné sur le coup et j'ai eu un peu peur car pourquoi je me demande pourquoi elle avait son pistolet dans les mains ? Je me retourne et la regarde d'un air inquiet.

« Pourquoi tu as ton arme en main ? Que ce passe t-il ? Il y a quelqu'un dans la maison ?»

Elle me fait peur avec son arme, je sais que depuis quelque temps elle ne quitte plus son flingue mais là elle l'avait en main et ce n'était pas normal. Mais quand j'entends sa question « qu'est-ce que tu fais là ? » Je fronce les sourcils en oubliant ce que j'avais et que ça me faisait bien mal et je grogne un peu, il fallait plus que je bouge mon sourcil droit. Je réfléchis à sa question et me demande pourquoi cette question, j'étais chez nous du moins chez elle ou elle habiter avec Alex. Mais depuis que je suis avec Dylan, j'avais un double des clés et vivais ici avec elle et je squatte sa maison.

« Je me soigne pour cela que je suis dans la salle de bains vu l'heure, après j'espère que ta question n'est pas qu'est-ce que je fais ici dans la maison ? »

Je la regarde et je la vois s'approcher en me disant « tu saignes ! Laisse-moi faire. » Voilà elle l'avait vu et je savais que les questions aller suivre et je ne savais toujours pas quoi dire à Dylan, mais une chose est sûre je vais lui mentir même si je n'aime pas mentir à la femme que j'aime. Je la laisse faire et me soigner, elle était douce et elle pose sa main sur la mienne, j'enlace mes doigts dans les siens. Quand elle me soigne, je reculais un petit peu ma tête comme un enfant car cela piquait. Dylan me pose la question fatidique « je pensais que les avocats n'avaient pas ce genre de blessures. Qu'est-ce que tu as fait pour finir dans cet état ? » Je la regarde et soupire légèrement et dit ma première idée qui me venait.

« Tu sais les avocats ne sont pas toujours aimés et certains se vengent à leur façon. Tu sais c'est quelqu'un qui sait venger, j'ai chercher pour aider mon client a trouver des preuves de son innocence mais j'ai chercher où il ne fallait pas et à ma sorti de travail on ma tabasser pour reprendre mes preuves que j'avais trouvés.»

J'avais presque dit la vérité sauf que je parle de clients et non ce que je cherche en dehors de mon métier pour aider Dylan. Comme ça au moins j'espère que ça allait passer et qu'elle me croit car c'est presque ce qu'il s'était passé et hors de question que je porte plainte mais avec une flic j'ai peur qu'elle veuille à tout prix que je le fasse.

« Le pire c'est que j'avais la preuve que mon client était innocent et que maintenant je n'ai plus rien, il risque d'aller en prison alors qu'il n'a rien fait et ça je déteste de mettre  des innocents en prison à cause de ses sales types je suis sûr qu'ils y sont pour quelques choses.»

J'avais dit cela pour vraiment qu'elle me croit et que ça parait réelle puis que je fasse voir que je m'inquiète aussi pour mon client qui n'exister pas. Mais là je saturais de toute cette histoire et j'avais besoin de repos et de me détendre puis surtout changer d'air. Je la regarde droit dans les yeux et la tiens par la taille.

« Tu te souviens que tu m'avais parlé de partir en vacance ? Et bien finalement je suis d'accord ça ne te dit pas de partir quelque temps loin de tout, être rien que toi et moi à profiter d'être en amoureux après tout on profite plus trop toi et moi depuis quelque temps et ça me manque, puis j'ai besoin d'un autre air que celui de Los Angeles et vu ta tête de zombie je pense que des vacances te ferraient le plus grand bien. »

C'est vrai que Dylan avait une sale tête, elle n'avait pas dormi et ça se voit et elle a bossé plus de vingt-quatre heures d'affilé voir limite quarante-huit heures et en temps qu'avocat je sais que ce n'est pas autorisé, elle à droit a du repos. Et franchement là elle a vraiment besoin vu ses petits yeux et les cernes qu'elle avait en dessous...

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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyMar 23 Déc - 22:38

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

« pourquoi tu as ton arme en main ? Que se passe-t-il ? Il y a quelqu'un dans la maison ? » depuis la mort d'Alex, j'ai fait naître en moi une certaine peur. une peur de voir débarquer des tordus dans ma vie. de voir débarquer des truands à chaque endroit où je suis. c'est comme un poison qui s'empare lentement de vous et qui vous détruit à petit feu. personne ne peut rentrer dans la maison à part Declan qui a les clés. personne ne peut. si c'était quelqu'un d'autre, la porte aurait été forcé, une vitre aurait été cassée. rien. je me mets des choses en tête, je vois un danger où il n'y en a pas. Declan a bien remarqué que j'avais mon arme en main. je n'avais pas été assez vite pour la ranger à sa place. à sa place, c'est un grand mot. elle devrait être au poste dans mon casier. ça c'était sa place. aucune arme de service ne doit être avec nous quand on ne travaille plus. et pourtant, je ne respecte pas cette règle. je me sens mieux protéger, je me sens moi. quand elle est pas près de moi, j'ai l'impression d'être nue, j'ai l'impression d'avoir un truc qui me manque. en fin de compte, mon travail me suit partout. je ne le laisse jamais derrière moi. avant je rentrais et le travail était le souvenir d'une journée. ma vie privée et ma vie professionnelle étaient bien séparés. aujourd'hui, je suis la Dylan flic vingt-quatre heure sur vingt-quatre. « non non, tout va bien. j'ai juste cru. laisse tomber, c'est pas important du tout. » je n'allais pas lui dire que je croyais que c'était un inconnu dans la maison. que j'avais oublié que Declan était ici. que ça faisait un an qu'il avait amené toutes ses affaires pour emménager totalement avec Alex et moi. parfois je me dis que ça serait mieux si je me retrouvais seule. je ne suis pas de bonne compagnie. je ne suis pas la petite amie parfaite. j'aimerais savoir ce qui pousse Declan à rester avec moi. je ne suis pas la plus féminine qui soit, je fais un boulot qui me prend du temps, je n'évoque jamais ce que je ressens. je ne lui ai dit 'je t'aime' que deux fois. j'ai une famille très compliquée. lui il est là me supporter pendant de nombreuses années. il est toujours là, toujours présent à me prendre dans ses bras, à être patient. il m'a toujours un peu près connu de cette manière. bien que j'étais plus joyeuse, plus souriante et avec un peu plus de joie de vivre. j'arrivais à mettre de côté mon passé douloureux. maintenant je n'y arrive plus. j'ai l'impression de n'avoir qu'un futur qui finira dans le sang et dans la douleur. « je me soigne pour cela que je suis dans la salle de bain vu l'heure, après j'espère que ta question n'est pas qu'est-ce que je fais ici dans la maison ? » « je voulais savoir pourquoi tu étais dans la salle de bain si tard. » d'habitude quand je rentre, il est déjà dans le lit. je vais prendre une douche , j'enfile un t-shirt puis je me glisse dans notre lit. je me cale contre lui en encerclant mes bras autours de lui, et je cale ma poitrine contre son dos. ça n'a rien d'habituel maintenant. je n'ai pas l'habitude de voir Declan dans un tel état. c'est difficile de le voir ainsi. c'est difficile de savoir qu'il a pû souffrir. que des gens malhonnêtes s'en sont pris à lui aussi machiavéliquement. je peux m'empêcher d'être celle qui s'occupe de lui. je vois que ça le fait souffrir. j'essaye de le faire plus doucement en le faisant le moins souffrir. je fais attention seulement je veux lui montrer que je déteste le voir dans cet état. je m'occupe de la dernière blessure. la plus profonde. je la nettoie en reprenant de la délicatesse. je jette le coton et dépose une compresse dessus. c'est possible quelle saigne de nouveau. « tu sais les avocats ne sont pas toujours aimés et certains se vengent à leur façon. tu sais c'est quelqu'un qui sait venger, j'ai chercher pour aider mon client, à trouver des preuves de son innocence mais j'ai cherché où il ne fallait pas et à ma sortie de travail on m'a tabassé pour reprendre mes preuves que j'avais trouvés. » je m'attendais à entendre ça. il fallait bien que ça arrive un jour. c'était la première fois qu'on s'en prenait à lui pour récupérer des preuves. j'aurais voulu être avec lui afin d'essayer de faire fuir ces truands. je vais les attraper et leur fait payer ce qu'ils ont fait à mon petit-ami. on ne peut pas s'en prendre à une personne que j'aime sans avoir des représailles. c'est bien une chose que je ne supporte pas. Alex le servait pertinemment. combien de fois, j'ai cassé la figure à ses exs parce qu'ils l'avaient largué comme un pauvre mouchoir et qu'elle finisse en pleurs dans la salle de bain. elle n'aime pas me voir jouer au rôle de frère, que je sorte les poings. seulement, on n'avait plus personne pour le faire. on n'avait plus personne pour prendre soin de nous. on devait le faire entre nous. on devait se protéger mutuellement bien qu'Alex était la pacifiste et moi la bagarreuse. elle était l'ange, j'étais le démon. je fonçais dans le tas, elle réfléchissait. deux opposés qui s'emboite pour en faire qu'une. elle n'est plus là pour me raisonner, pour remettre dans le bon chemin, pour poser ses mains sur mes épaules et me secouer pour que j'arrête. elle n'est plus mon rocher auquel je peux me rattacher, qui me pousse à sortir la tête de l'eau. le monde n'a plus la même couleur et je n'ai plus rien qui me retient. c'est faux. Declan est là. je dois rester en vie pour lui. je dois combattre pour lui. je n'ai pas le droit de le laisser seul, ça serait égoïste. pourtant je n'arrive pas à me raisonner. je fonce sans cesse dans le tas, sans prendre conscience des conséquences et surtout du fait que je pourrais succomber. « le pire c'est que j'avais la preuve que mon client était innocent et que maintenant je n'ai plus rien, il risque d'aller en prison alors qu'il n'a rien fait et ça je déteste de mettre des innocents en prison à cause de ses sales types je suis sûr qu'ils y sont pour quelque chose » je suis comme lui. je n'aime pas voir des innocents en prison et des truands qui courent dans la rue. je ne supporte pas l'idée que les bons souffrent des méchants. « tu es un excellent avocat, tu vas trouvé une autre preuve. et ton client sera innocent. je ne doute pas de toi. t'inquiète pas pour ces sales types. ils vont avoir un sale quart d'heure quand je vais les retrouver. tu as vu à quoi il ressemblait ? un signe particulier qui pourrait m'aider à les retrouver ? » je prends mon attitude de flic. je secoue à la tête. non je suis à la maison. je dois mettre la Dylan flic de côté. je dois être la Dylan petite amie. je pose une main sur son torse nu en le regardant dans les yeux pour en quelque sorte m'excuser d'être ce que je suis. d'être aussi mauvaise comme petite amie. « tu te souviens que tu m'avais parlé de partir en vacances ? et bien finalement je suis d'accords. ça ne te dit pas de partir quelque temps loin de tout, être rien que toi et moi à profiter d'être en amoureux. après tout on profite lus trop toi et moi depuis quelque temps et ça me manque, puis j'ai besoin d'un autre que celui de Sunset Dream et vu ta tête de zombie je pense que des vacances te ferraient le plus grand bien. » à l'enterrement d'Alex, je lui avais dit vouloir des vacances. je voulais en quelque sorte fuir Sunset Dream. fuir cette vie que je ne supporte plus, fuir les conneries à répétition que je fais. je voulais m'éloigner de cette ville qui fait naître la douleur. chaque lieu qui me fait penser à ma sœur, à des souvenirs que j'ai eu avec elle. je voulais m'éloigner pour essayer de faire mon deuil. fuir pour éviter de devenir comme mon père et prendre ce chemin que je n'ai jamais voulu prendre. je ne veux pas devenir cruelle au point de faire le mal. de devenir tout ce qu'il a toujours voulu. être à ses côtés dans sa quête de l'étendu de son domaine dans les choses illégales. « merci pour le compliment. » dis-je en plaisantant. je n'allais pas dire l'inverse. je me rends bien compte de ma tête chaque fois que je me regarde dans un miroir. « je croyais que tu pouvais pas, tu avais trop de travail. qu'est-ce qui t'a fait changer d'avis ?» j'approche mon corps un peu plus près du sien. mon visage est tout près du sien. ça fait tellement longtemps qu'on a pas eu de moment rien que tous les deux. je ne peux même pas compter les jours où on n'a pas fait l'amour. on a besoin de se retrouver seul, on a besoin de s'aimer, on a besoin d'intimité. on a besoin de s'envoyer en l'air et de finir au septième ciel.   
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyDim 28 Déc - 16:26

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
Je voyais bien que depuis la mort d'Alex, Dylan ne quitter plus son pistolet avant elle ne rentrer pas avec puis elle n'avait plus les mêmes délires, j'avais l'impression qu'elle rester triste à longueur de journée. Je sais bien que cela doit être dur pour Dyla, elle a déjà perdu sa mère, maintenant sa sœur et elle se retrouve réellement toute seule sans famille proche car son père je n'en parle même pas vu qu'elle veut le mettre derrière les barreaux. J'étais là pour elle mais je ne suis pas de sa famille et je me doute que les femmes ont besoin de se confier sur pleins de choses mais qu'on ne raconte pas à son petit ami. Mais moi je veux la protéger même si là tout de suite ça ne se voit pas vu que je me suis pris une volée, mais six contre un ce n'est pas équitable et j'avais rien pour me défendre. J'avais connu la Dylan vie privée lorsque nous étions meilleurs amis elle était différente il y a quelques années mais tout à changer mais je l'aime telle qu'elle est aujourd'hui aussi, mais je veux la soutenir et j'aimerais qu'elle se confie même si elle craque dans mes bras, mais je ne savais pas comment mis prendre. Dylan me donne la raison qu'elle avait son arme à la main « non-non, tout va bien. J'ai juste cru. Laisse tomber, ce n'est pas important du tout. » Je fronce les sourcils et réfléchis, elle n'a pas une arme à la main pour faire beau ou pour me faire peur. « Si tout allait bien tu n'aurais pas ton arme dans les mains près à tirer. Tu as cru qu'il avait un cambrioleur ou autre. T'es sur une affaire compliquée j'imagine comme toujours. » Je la regarde elle ne voulait pas se confier sur le fait du pourquoi elle à son arme. Mais ça ne me rassure pas pour autant, j'ai toujours peur pour elle chaque jour j'ai peur qu'on m'annonce une mauvaise nouvelle. Dylan est un bon flic ça je n'en doute pas mais une balle perdue peut-être si rapide surtout que Dylan est du genre à foncer droit devant dans le tas elle ne cherche pas à comprendre des fois et c'est ce qui m'inquiète le plus.

« Fait attention à toi Dylan, je ne veux pas te perdre alors si t'es en danger je préfère le savoir et te protéger, je sais que ton métier passe avant tout et peut-être même avant moi mais fais attention tous ceux que tu traques ne sont pas des enfants de cœur.»

J'avais surement plus peur qu'elle mais bon il y a déjà eu des morts dont sa sœur et ça doit rendre Dylan encore plus hors d'elle. Et faut vraiment que je la surveille et protège encore plus quand temps normal mais avec mon travail je n'ai pas le temps même si ça m'arrive de la voir quand je vais au commissariat voir un client qui a besoin de son avocat. Puis avec sa sœur qui est décédée j'ai peur qu'elle sombre et se foute en l'air, elle est seule et ça ne me rassure pas, pour cela il faut que je lui avoue mes sentiments plus souvent même si Dylan ne le fait jamais mais depuis le temps je suis habitué. Quand elle m'annonce qu'elle voulait savoir ce que je faisais si tard dans la salle de bains, je souris c'est vrai il était tard et d'habitude je suis couché. Mais là je ne pouvais pas me coucher, il fallait que je me nettoie et jétais énerver après ses types qui m'ont taper mais je ne pouvais rien faire et ça m'agace encore plus avec tous ce qu'ils font ils vont s'en sortir et rester libre alors qu'ils sont des danger. Je laisse Dylan s'occuper de moi ce qui me fait étrange car d'habitude c'est moi qui la soigne et je déteste la voir blesser même un minimum, rien que le fait qu'on la fasse souffrir ne fait mal aussi même si Dylan elle sait se défendre. Elle me complimente ensuite mais si elle savait que je mentais elle n'aimerais pas mais malgré la peur au ventre je continuerais d'aimais Dylan, je ne sais pas encore comment, mais je trouverais. « Tu es un excellent avocat, tu vas trouver une autre preuve. Et ton client sera innocent. Je ne doute pas de toi. T'inquiète pas pour ces sales types. Ils vont avoir un sale quart d'heure quand je vais les retrouver. Tu as vu à quoi il ressemblait ? Un signe particulier qui pourrait m'aider à les retrouver ? » Quand j'entends qu'elle veut les retrouver, je la regarde d'un air inquiet, mon dieu non surtout pas ça, il ne fallait pas qu'elle s'en mêle.

« J'ai déjà eu du mal à avoir celle-là et comme un con je n'ai pas fait de photocopies. Là j'ai peur de ne pas réussir je devrais peut-être donner le dossier à un confrère parce que là j'ai plus d'envie, si je cherche et on me casse la gueule de nouveau tu vas finir par me voir à la morgue ou l'hôpital. Mais en même temps je ne peux pas laisser mon client en plan. La nuit porte conseil je vais bien voir si je trouve une solution. Non c'est bon Dylan ne tant ne mêle pas ça va aller. Lieutenant de police Skÿe sort de ce corps. Non je n'ai rien vu, le temps que je capte j'étais par terre en train de me faire taper et je ne les regardais pas j'essayais de me protéger le plus possible des coups de pied que j'ai reçus et quand ils sont partis j'avais trop mal pour regarder. Je ne peux pas t'aider, mais laisse tomber ses sales types d'accord ? »

J'avais menti je les avais bien vus mais je ne pouvais pas le dire sinon elle va se mettre en danger surtout que ce ne sont pas des types fréquentables et ce ne sont pas ceux qu'elles pensent ils son encore plus dangereux. Surement qu'ils bossent avec le père de Dylan j'en sais rien. Mais protéger Dylan c'est dur tellement elle fonce et si on touche à des personnes chères elle attaque directement sans prévenir. Pour cela que je veux partir loin elle est moi pour s'éloigner de tous cela à force on se met trop en danger et s'absentait quelque temps peut-être bons pour reprendre à notre retour et avoir les esprits en pleine forme. J'avais dit qu'elle ressemble à un zombie ce soir ce qui est bien vrai, elle a pas dormi depuis presque 24 heures alors elle doit être à bout de forces.

« De rien, mais tu restes un zombie très sexy. Non mais t'es humain et non un robot faudrait peut-être que ton commissaire le sache, car lui il fait ses petites heures tranquilles et ne risque peut-être pas sa vie. Mais c'est dans cet état que tu es le plus en danger tu n'as plus le même réflexe et pas la même rapidité. Si tu veux je peux aller voir ton patron et lui dire ma façon de pensée.»

Pour Dylan j'étais prêt à tout et ce patron ne me fait pas peur, commissaire ou non je m'en fous, je le vois des fois quand on travaille sur la même enquête mais il est souvent dans son bureau quand je le vois.

« J'ai toujours beaucoup de travail, mais je m'en fous je donne tout à des confrères et mes congés j'en ai bien besoin et j'ai droit de les avoirs. J'ai changé d'avis car j'en ai marre du taf en ce moment et j'ai envie de profiter de toi qu'on se retrouve en tête à tête loin d'ici et qu'on profite de la vie et de nous. Je t'emmène où tu désires et le plus vite possible sera le mieux. Je veux te faire plaisir et te rendre heureuse»

Cela faisait longtemps que nous n'avons pas profité d'un moment en amour, intime aussi, mais je ne force pas Dylan et avec son boulot je comprends que des fois elle est fatiguée ou parfois c'est moi je dors quand elle rentre, ça m'arrive de vouloir l'attendre mais je ne finis souvent pas m'endormir à force d'attendre. Elle s'approche de mon corps et nos visages sont près l'un de l'autre, l'envie de l'embrasser était trop forte quand elle est à mes côtés, alors je finis par l'embrasser en la tenant par la taille et l'approchant encore plus de moi pour que nos corps se touchent...

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D.Dylan-Skÿe Wilson
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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyMer 31 Déc - 15:13

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

« si tout allait bien tu n'aurais pas ton arme dans les mains près à tirer. tu as cru qu'il avait un cambrioleur ou autre. t'es sur une affaire compliquée j'imagine comme toujours. » avant je parlais constamment à Declan. je lui disais tout. je lui parlais des problèmes qui se passaient dans la famille Wilson. il savait les doutes que j'avais à propos de mon père. il savait que j'avais vu des armes sur la table de cuisine. il savait que je l'avais retrouvé plusieurs fois dans la cuisine à enlever du sang de ses mains. il avait été là pour me soutenir quand je m'occupais de maman. il m'avait même aidé plusieurs fois à aller acheter de l'alcool pour elle. ayant deux ans de plus que moi et paraissant être plus âgé, il arrivait à chaque fois à sortir avec une bouteille. puis j'allais me réfugier chez lui. je me glissais hors de mon lit et je venais lancer des cailloux à la porte de sa chambre. on dormait dans le même lit puis je rentrais chez moi avant qu'Alex se lève. quand j'étais là-bas, je n'entendais pas mon père crier sur maman. je ne l'entendais pas l'insulter, la frapper ou bien la piquer avec cette saleté de drogues. j'étais dans un milieu plus sein et meilleur pour une enfant. je crois que si je n'avais eu cette vie, je ne sauras pas la Dylan que je suis. je crois que je n'aurais pas créer cette carapace autours de moi. je ne saurais pas aussi froide, aussi garçon manqué, aussi distante. j'ai tellement vécu de drames que je vois toujours le pire. chaque bruit, chaque lumière, devient suspect. je vois le mal de partout et en même temps j'ai grandit au sein du mal. je ne connais que la douleur. mon destin est fait de larmes, de sang et de mort. « tu veux savoir. oui je suis encore sur une affaire compliquée et oui j'ai cru qu'il avait réussi à trouver la maison. j'ai peur que ça se reproduise, j'ai peur de te perdre comme j'ai perdu A... » je ne pouvais pas prononcer son prénom. je n'y arrivais toujours pas. c'était trop difficile de parler d'elle, d'évoquer des souvenirs. en essayant de prononcer, son prénom se sent cette boule au fond de moi et je sens la tristesse s'emparait de moi. les larmes pourraient couler sur mes joues. seulement, je les combat parce que j'ai promis que je ne pleurerais pas. j'ai promis que je serais forte. je n'ai pas le droit de me laisser aller. je n'ai pas le droit d'être faible à cet instant. j'ai toujours été la plus forte et je dois l'être encore. « fait attention à toi Dylan, je ne veux pas te perdre alors si t'es en danger je préfère le savoir et te protéger, je sais que ton métier passe avant tout et peut-être même avant moi mais fais attention tous ceux que tu traques ne sont pas des enfants de cœur. » je ne peux pas dire que je suis invincible seulement je pense être capable de surmonter pas mal de choses. quand on voit mon corps. on voit les cicatrices. on voit les blessures que j'ai eu durant plusieurs missions. une balle dans l'épaule. une balle frôlant mon crâne. un coup de poignard sur le côté du ventre. il y en a encore comme mon poignet cassé ou la cicatrice dans mon dos. Declan serait incapable de me protéger face à ses ordures. ils n'ont pas peur de faire du mal que ça soit à une femme ou à un enfant. ces truands savent reconnaitre les faiblesses et savent s'en servir. quand je suis en mission, je ne tiens à personne. je fais en sorte que ça soit le cas bien que ça soit faux. il ne faut pas penser aux gens qu'on aime, aux gens qu'on ne voudrait pas perdre. il faut s'isoler. il faut vivre dans un univers où est seule. je pourrais m'éloigner de Declan. je pourrais faire en sorte qu'il me déteste. seulement, je ne peux pas le perdre. je tiens à lui, je l'aime et si je le laissais partir, je ne tiendrais pas le coup. « je fais attention. je ne crains rien. ne crois pas que tu passes après. ce n'est pas vrai. j'ai besoin de mon métier, surtout en ce moment. j'ai besoin de me sentir utile à quelque chose. j'ai besoin de sentir que je suis en vie. j'ai besoin de continuer le combat et que sa mort ne soit pas en vain. j'ai perdu trop d'êtres chers à cause de ses ordures. ils ne gagneront pas, jamais. » ce n'était pas vrai. la plupart du temps, je ne fais pas attention. je fonce dans le tas sans me préoccuper de ce que je pourrais subir. des blessures ou même de ma mort. je ne réfléchis jamais avant d'y aller. je ne vois que mon but. je ne vois pas les désastres que ça pourrait provoquer pour les gens qui tiennent à moi. si je devais choisir entre mourir ou perdre Declan. je choisirais la première option. tout d'abords, c'est plus simple et deuxième j'en souffrirais beaucoup moins. quand on est plus de ce monde, les choses sont plus simples que de devoir affronter la mort de quelqu'un. de tout façon, il arrivera ce jour où je perdrais la vie. je sais que c'est de cette façon que je quitterais la terre. de toute manière, je ne vois pas d'autres solutions. je ne serais pas de celles qui vivent jusqu'à vingt dix ans avec sa canne et une dizaine de petits-enfants. « j'ai déjà eu du mal à avoir celle-là et comme un con je n'ai pas fait des photocopies. là j'ai peur de ne pas réussir, je devrais peut-être donner le dossier à un confrère parce que là j'ai plus envie, si je cherche et on me casse la gueule à nouveau tu vas finir par me voir à la morgue ou à l'hopital. mais en même temps je ne peux pas laisser mon client en plan. la nuit porte conseil je vais bien voir si je trouve une solution. non c'est bon Dylan ne tant mêle pas, ça va aller. lieutenant de police Skÿe sort de ce corps. non je n'ai rien vu, le temps que je capte j'étais par terre en train de me faire taper et je ne les regardais pas, j'essayais de me protéger le plus possible des coups de pieds que j'ai reçu et quand ils sont partit j'avais trop mal pour regarder. je ne peux pas t'aider, mais laisse tomber ses sales types d'accords ? » je ne peux pas laisser Declan prendre des coups alors que je pourrais parfaitement arrêter ses types. il me suffirait d'un petit indice un tatouage ou un signe distinct. rien que ça m'aurait permis de chercher dans la base et de retrouver ses tordus. seulement il n'a rien vu ou bien il fait semblant de ne pas s'en rappeler. il a cette tendance à me protéger. c'est de cette manière que je sais qu'il tient à moi. je n'aime pas imaginer la scène. je n'aime pas me dire qu'ils se sont pris à plusieurs. ce sont des faibles de se mettre sur une seule personne. il veut que je laisse tomber. seulement, je n'ai pas mon genre. aucune chance que je laisse finir dans cet état encore une fois. je connais ce genre de types. dès qu'ils vous ont, ils ne vous lâchent plus. « je t'interdis de finir à la morgue. je laisse tomber mais si tu me laisses mettre quelqu'un sur le coup pour te suivre, te protéger et que ça n'arrive plus. je serais plus tranquille comme ça. » quand on ne peut pas avoir quelque chose, il faut essayer de négocier. de trouver un compromis afin que les deux côtés soient d'accords. Declan est tête de bourrique. j'avais que cette solution pour réussir à faire en sorte qu'il soit un peu protégé par quelqu'un. je sais que ce n'est pas l'idéal. que le connaissant, il serait capable de perdre la personne qui le suivrait. « de rien mais tu restes un zombie très sexy. non mais t'es humain et non un robot, faudrait peut-être que ton commissaire le sache, car lui il fait ses petites heures tranquilles et ne risque peut-être pas sa vie. mais c'est dans cet état que tu es le plus en danger tu n'as plus le même reflexe et pas la même rapidité. si tu veux je peux aller voir ton patron et lui dire ma façon de pensée. » je ne veux surtout pas que Declan se retrouve en face de mon commissaire. ça serait stupide et ça mettrait encore plus de bordel dans nos vies. on n'a pas besoin de ça. Declan n'a pas besoin de savoir ce qui se passe au poste. s'il y a bien une chose qui est importante, c'est que le capitaine Jacksons est loin d'être le genre de personnes qui reste derrière un bureau, à rien faire. il est toujours entrain de nous suivre, de partir en mission avec nous. et puis, il a mis la règle des trente six heures. pas le droit d'être au poste plus de trente-six heures sans avoir dormis au moins dix heures. heureusement que mon co-équipier a été là pour me pousser à partir sinon je me serais fait taper sur les doigts. « non non ça va. il le sait très bien et c'est même pour cette raison que je suis ici. si je n'avais pas affaire à lui, je serais encore au poste. il est loin de rester derrière un bureau. il a été le premier à venir quand il fallait retrouver le meurtrier même s'il a une part de responsabilité dans sa mort. » « j'ai toujours beaucoup de travail, mais je m'en fous, je donne tout à des confrères et mes congés j'en ai bien besoin et j'ai droit de les avoir. j'ai changé d'avis car j'en ai marre du taf en ce moment et j'ai envie de profiter de toi qu'on se retrouve en tête à tête loin d'ici et qu'on profite de la vie et de nous. je t'emmène où tu désires et le plus vite possible sera le mieux. je veux te faire plaisir et te rendre heureuse.» nous n'avons pas des métiers qui nous donnent beaucoup de temps. même nos week-ends sont rythmés par le boulot. les urgences. les missions. et depuis la mort de ma sœur, c'est encore pire. j'ai peur de n'être pas à la hauteur. j'ai peur de devoir parler, de devoir évoquer des souvenirs et des sentiments. je suis très mauvaise pour ça. je n'aime pas ça en plus. « je ne sais pas si je suis prête à partir. je crois que j'ai dis ça sur un coup de tête. on était à l'enterrement, j'étais malheureuse et je pensais que fuir était la meilleure solution. »   
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyDim 4 Jan - 23:58

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
Je connais Dylan depuis toujours, je la connais par cœur, depuis qu'elle est petite alors je connais tous d'elle, tout sur sa famille et je dois avouer qu'elle n'a pas eu une enfance facile et je voulais l'aider étant plus jeune, lui montrer que j'étais là pour elle en temps que meilleur amis, j'allais chercher des bouteilles d'alcool à sa mère même si je sais que je n'aurais peut-être pas du mais je le faisais sans me prendre la tête et sa mère en avait surement bien besoin vu ce qu'elle vivait avec son mari. J'arrivais toujours à sortir avec une bouteille je ne sais pas comment je faisais mais j'y arrivais et je mentais souvent sur mon âge puis je parais plus que mon âge alors ça passer tout seul. Puis le soir et la nuit elle venait dormir chez moi sans que mes parents le sachent, elle dormait avec moi entre amis et je savais qu'au moins elle pouvait bien dormir et être moins stresser. Dylan ne connaît pas vraiment le bonheur et la joie de vivre avec sa famille. « tu veux savoir. Oui je suis encore sur une affaire compliquée et oui j'ai cru qu'il avait réussi à trouver la maison. j'ai peur que ça se reproduise, j'ai peur de te perdre comme j'ai perdu A... » Je comprends mieux pourquoi Dylan était rentré avec son arme à la main, limite pointée sur moi, façon elle ne quitte plus son arme même pour dormir il est sous l'oreiller. Ce que je n'aime pas c'est qu'elle vit en permanence dans la peur et le stress, j'aimerais qu'elle soit un petit peu détendu et penser à autre chose que son boulot et attraper les ordures qui ont tué sa sœur et sa mère. Je voulais qu'elle pense un peu à elle mais avec Dylan ce n'est pas facile.

« Je me doute t'es souvent sur des affaires compliquées ces preuves que tu es un bon flic durant tes missions. Ne tant fait pas ils ne vont pas retrouver la maison et je ferme toujours à clé derrière moi. Je ferrais tout mon possible pour que tu ne me perdes pas.»

Je voyais bien que prononcé ou cité le prénom d'Alex était encore impossible pour elle et le pire c'est que je ne sais pas ce qu'elle pense, que je ne l'ai pas vu pleurer, elle peut s'effondrait devant moi et cela serait entièrement normal elle a perdu sa soeur jumelle puis je serais toujours la pour la réconforter et surtout que parler la soulagerais mais je ne veux pas la forcer, quand elle sera prêt elle en parlera car ici là blessure est encore trop profonde. Je sais que les types qu'elle cherche ne sont pas des anges je l'ai vite compris ce soir puis il ne faut pas les énerver mais je veux quand même la protéger du mieux que je peux et si je dois mourir pour la protéger je le ferai. Même si je préfère éviter de mourir car plus personne ne pourra surveiller Dylan et je ne veux pas la laisser tomber. « je fais attention. je ne crains rien. ne crois pas que tu passes après. ce n'est pas vrai. j'ai besoin de mon métier, surtout en ce moment. j'ai besoin de me sentir utile à quelque chose. j'ai besoin de sentir que je suis en vie. j'ai besoin de continuer le combat et que sa mort ne soit pas en vain. j'ai perdu trop d'êtres chers à cause de ses ordures. ils ne gagneront pas, jamais. » Dylan qui fait attention, mouais j'y croyais qu'à moitié, au fond de moi j'espéré qu'elle fasse un minimum attention à elle, je ne veux pas la perdre ça serait vraiment trop déjà sa mère, sa sœur ça devait stopper les décès dans sa famille. Malgré qu'elle est flic et ne fait pas un métier facile elle ne mérite pas de mourir mais de vivre et elle à droit à un peu de bonheur. Quand Dylan part en mission je n'aimais pas du tout, j'avais encore plus peur pour elle et je ne peux pas l'appeler, ni envoyé de message je dois faire comme si c'était une inconnue mais c'est pour son bien puis pour ne pas qu'on découvre sa vraie identité. Pour moi aussi ou des personnes qu'elle apprécie car des fois des types tellement tordus peuvent sans prendre à ses proches pour la faire souffrir elle et l'atteindre.

« Tu ne crains rien avec ton boulot j'ai de gros doutes, tu risques ta vie tous les jours je te connais tu es remonté à bloc alors tu dois foncé dans le tas sans pensée aux conséquences et je te rappelle que si tu te fais tué qui va le mettre en taule ? Tu fais ça pour ta sœur alors ne te fais pas tuer. Puis je ne pourrais pas vivre sans toi c'est impossible, là c'est moi qui se vengerais et je les tuerais direct sans réfléchir... Je sais que tu as besoin de ton métier, te sentir utile ne t'es pas le genre de femme à rester assise à rien faire. Avec moi t'es pas en vie ? Mais j'ai confiance en toi ce combat tu vas le gagner et ils iront en prison. Et moi à cause de ses ordures je ne veux pas te perdre. Cela fait plaisir à entendre que je ne passe pas après ton boulot, même si parfois j'aimerais passer plus de moments ensemble.»

Nos métiers ne sont pas évidents, nous travaillons beaucoup surtout Dylan mais j'ai l'impression que c'était encore plus depuis qu'Alex n'était plus là et pour cela que je la veux faire partir en vacances car à force elle va être épuisée et je ne veux pas qu'elle fasse d'erreur et se fasse tuer. Pour cela aussi que je l'aide à trouver des preuves pour arrêter son père mais ce soir ça m'a retombé dessus donc il faudra que je sois plus prudent. Mais ses ordures sont si malins à faire aucune faute, laisser aucune trace derrière eux... Mais Dylan voulait retrouver ceux qui m'ont fait cela et je ne voulais surtout pas surtout que je lui mens sur les personnes qui m'ont tabassé. Je savais qu'ils y étaient mais je ne dirais rien pour pas que justement elle fonce droit vers eux, sinon c'est moi qui vais la retrouver blesser et que ce soit une femme ne leur fait pa peur et auront aucun remords de taper une fille. « je t'interdis de finir à la morgue. je laisse tomber mais si tu me laisses mettre quelqu'un sur le coup pour te suivre, te protéger et que ça n'arrive plus. je serais plus tranquille comme ça. » Voilà qu'elle veut mettre quelqu'un sur le coup et surtout me protéger, un mec qui va me suivre comme un garde du corps, je n'aimais pas que quelqu'un me suit à chaque fait et geste, ça va m'énerver et oui je risque de le perdre pour avoir la paix. Mais en même temps si elle est plus tranquille, j'avais envie de dire d'accord, qu'est-ce que je ne ferrais pas pour elle mais bon ce n'était pas de joie et le mec risque de rentrer en disant " Je l'ai perdu, il s'est barré". Enfin Dylan m'appellera ou au soir me dira que je suis nul d'avoir fait ça s'il m'était arrivé quelques choses mais j'aime avoir de la liberté et que quelqu'un te regarde et te suit c'est difficile surtout qu'étant avocat des fois je dois être seul avec mon client, je suis tenu par le secret professionnel.

« Rassure-toi je n'ai pas envie de terminer à la morgue, le plus tard sera le mieux. Puis je veux te surveiller et profiter encore de la femme que j'aime. T'es sérieuse tu vas me mettre un toutou qui va me suivre à chaque fois même quand je vais aux toilettes. Tu sais je me suis fait taper qu'une fois ce soir ça ne va pas arriver à chaque fois. Puis au tribunal avec lui qui me suit je vais avoir l'air bien tout le monde va voir que j'ai un problème s'il me suit comme un garde du corps. Si tu es plus tranquille moi je veux bien si ça te fais plaisir mais au bout de deux jours je vais le semer ton mec. Sauf si toi tu me suis là je ne dis pas non, tu pourras me suivre vraiment partout.»

J'avais était franc autant lui dire qu'un moment donner j'en aurais marre et je vais le semer en partant par une autre porte. Bien évidemment je savais que ça ne peut pas être Dylan mais c'était pour rire et faire comprendre que j'aimerais beaucoup et ça permettrait qu'on passe du temps ensemble. Et elle bosserait moins comme une folle, mais bon il faut que j'arrête de rêver. « non non ça va. il le sait très bien et c'est même pour cette raison que je suis ici. si je n'avais pas affaire à lui, je serais encore au poste. il est loin de rester derrière un bureau. il a été le premier à venir quand il fallait retrouver le meurtrier même s'il a une part de responsabilité dans sa mort. » Tant mieux si son commissaire lui a dit de rentrer ça m'évitera d'aller le voir que ça soit un peu ridicule que le copain va voir le commissaire car sa conjointe bosse trop, elle était assez grande pour se plaindre surtout la connaissant elle sait très bien faire. Mais bon quand on aime on est prêt à tout surtout que moi son commissaire je m'en fiche, qu'il soit content ou non.

« Ah donc en faite faut que je le remercie sinon tu ne serais pas encore rentré et j'aurais encore passé ma nuit seule. Cela c'est bien un commissaire qui participe comme ses hommes il risque aussi sa vie. Car les commissaires à rester derrière leur bureau a crier ça m'énerve tellement. Comment ça il a une part de responsabilité dans la mort de ta sœur ? Et tu ne lui en veux pas à lui ?»

Je la regarde d'un air interrogateur, je savais qu'Alex était morte au travail durant une mission mais que son boss est en partie responsable je ne savais pas vu que Dylan ne parlait pas de tout cela et surtout pas de la mort de sa sœur ou sa sœur tout court. Je ne devais pas être au courant de tout, avant elle se confier mais maintenant non enfin je suis passé du meilleur ami a qui on peut tout confié à petits amis et là on ne confie pas toujours tout. Mais là je ne sais pas si elle voudra parler de sa sœur et de sa mort enfin je veux surtout savoir pourquoi son commissaire est en parti responsable.« je ne sais pas si je suis prête à partir. je crois que j'ai dis ça sur un coup de tête. on était à l'enterrement, j'étais malheureuse et je pensais que fuir était la meilleure solution. » Et bien j'aurais dû accepter cette proposition quand elle me l'a proposé car là elle n'a pas l'air très partant pour des vacances et pourtant j'ai envie qu'elle en prenne elle a vraiment besoin mais je vais galère pour qu'elle accepte mais moi j'allais prendre des vacances et seul c'est moyen alors faut que je trouve les arguments.

« Partir en vacances ce n'est pas fuir Dylan. Puis tu peux lâcher ton boulot au moins une semaine si tu ne veux pas partir trop longtemps. Puis si moi je pars en vacance je ne vais pas y aller tout seul j'ai envie de les passer avec toi mes vacances. Tu sais je suis certains qu'Alex aurait étaient là elle t'aurait poussé à prendre des vacances aussi. Puis sérieux ça nous ferrait du bien à nous deux, a notre couple car ça fait combien de temps qu'on n'a pas fait l'amour ? Qu'on a passé un week-end ensemble voir même une simple soirée en amoureux ?»

Parler de sa sœur je ne sais pas si c'était une bonne idée mais c'était dit et au fond c'était possible car elle n'aurait pas apprécié la voir avec sa tête de zombie à l'heure actuelle.


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D.Dylan-Skÿe Wilson
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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyVen 9 Jan - 19:05

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

« je me doute t'es souvent sur des affaires compliquées ça prouve que tu es un bon flic durant tes missions. ne tant fait pas ils ne vont pas retrouver la maison et je ferme toujours à clé derrière moi. je ferais tout mon possible pour que tu ne perdes pas. » il essaye de me prouver qu'on peut être confiant. chose qui n'est pas sûr du tout. ce n'est pas une porte fermé qui fera renoncer à ces ordures de devenir. j'ai toujours fait attention. avant de rentrer à la maison, je fais des grands tours. je m'arrête à des endroits. je ne rentre jamais directement pour faire en sorte qu'ils ne savent. seulement, on est jamais trop prévoyant. une erreur de ma part. un mot et je pourrais devenir la prochaine cible à abattre. on ne joue pas avec les criminels que je côtoie. quand je me glisse dans leurs rangs pour une affaire, je vois toute l'horreur. je vois la cruauté et le sang qui laisse couler pour parfois aucune raison. ils n'ont pas de moral, ils ont leurs propres règles qui ne vont pas avec celles normales. ils font comme ils le veulent sans avoir peur de la police. notre nom n'est qu'une pierre sur leur chemin qui les dérange et qu'ils peuvent faire disparaitre. il y a eu cette fois où j'ai dû faire semblant de tuer une personne. c'est un choc même quand on se dit que la personne qu'on abat n'es pas vraiment morte. j'ai perdu l'appétit pendant deux jours. j'ai tenu la tête droite parce que j'étais en mission et que je n'avais pas le droit de flancher. je ne peux pas tuer un innocent. je ne peux pas tuer une personne à bout portant sans éprouver quelque chose. « tu ne peux pas être aussi sûre. ce n'est pas une porte verrouillée qui fait peur aux criminels. j'en ai vu certains tués des personnes sans aucune raison à bout portant. je les ai vu en faire souffrir et voir un sourire sur leurs visages quand la personne souffrait et les supplier. ils n'ont aucune pitié et encore moins pour un flic infiltré. » prononcer le prénom d'Alex, c'est comme prononcer un mot interdit. je ne peux pas encore. je ne peux pas comme je ne peux pas vider sa chambre ou son casier au commissariat. je n'en ai pas le courage. c'est trop difficile. chaque fois que j'essaye d'ouvrir un carton et commencer à ranger, mon cœur se serre et j'ai dû mal à respirer. je me sens prendre pieds et je suis au bord des larmes.je sais qu'il faudra que je vide le casier dans peu de temps. une autre personne viendra remplacer Alex et je ne serais pas sans partenaire pour toujours. je ne veux personne. je ne veux qu'elle. quand votre partenaire est votre sœur, vous avez cette complentarité. il me suffisait de la regarder pour savoir ce qu'elle voulait faire et inversement. on avait nos codes, nos habitudes. on avait la même façon de faire les choses. et même si parfois on se disputait, ça ne durait pas longtemps. on ne pouvait pas se faire la gueule plus de deux heures. on finissait toujours par se prendre dans les bras. je ne crois pas que je pourrais trouver quelqu'un avec qui je puisse m'entendre aussi bien. quelqu'un qui puisse me tenir tête et qui n'est pas peur de me dire les choses. et surtout je ne veux plus de partenaire pour ne pas avoir à le perdre. toute seule, je n'ai pas besoin de veiller quelqu'un. je m'attache pas. il ne voudra jamais et je le sais parfaitement. on doit travailler en équipe, par deux. « tu ne crains rien avec ton boulot j'ai de gros doutes, tu risques ta vie tous les jours je te connais tu es remonté à bloc alors tu dois foncé dans le tas sans penser aux conséquences et je te rappelle que si tu te fais tué qui va le mettre en taule ? tu fais ça pour ta sœur alors ne te fais pas tuer. puis je ne pourrais pas vivre sans toi, c'est impossible, là c'est moi qui se vengerais et je les tuerais direct sans réfléchir.... je sais que tu as besoin de ton métier, te sentir utile. tu n'es pas le genre de femmes à rester assise à rien faire. avec moi t'es pas en vie ? mais j'ai confiance en toi. ce moment tu vas le gagner et ils iront en prison. et moi à cause de ses ordures je ne veux pas te perdre. cela fait plaisir à entendre que je ne passe pas après ton boulot, même si parfois j'aimerais passer plus de moments ensemble. » j'avais mentit en disant que je ne craignais rien. ma vie est en danger tous les jours. surtout quand on fait les choses comme moi. je ne peux pas lui dire que je risque de perdre la vie un jour ou l'autre. en même temps, il en est conscience. il est le premier prévenu quand il m'arrive quelque chose désormais. la dernière fois, il a dû venir me chercher à l'hôpital après une attaque. j'avais pris une balle dans l'épaule. je pouvais pas rentrer toute seule chez moi. je revois encore le visage de Declan en rentrant dans la chambre d'hôpital. il n'y a pas de mots pour qualifier l'état dans lequel il devait être. en même temps, c'est normal. « personne.... personne ne continuera le combat contre lui. c'est vrai. mais je ne peux pas rester les bras croisés. promets moi une chose. si je succombes, je ne veux pas que tu me venges. je veux que tu refasses ta vie. tu n'as pas à faire mon combat. tu mérites d'avoir une vie bien meilleure que celle que j'ai eu. je ne suis pas un exemple. ne compare c'est deux choses. ça n'a rien avoir avec toi. c'est différent. » je suis la dernière. je suis la dernière à savoir qui il est vraiment. je suis la dernière qui se bat contre la cruauté qu'il est. mon paternel est malin. il sait profiter des situations pour que les preuves ne fassent jamais en sorte qu'on sache que c'est lui. cependant moi je connais sa manière de faire; je sais de quoi il est capable. je suis capable de reconnaitre ses crimes. pour rien au monde, je ne voudrais qu'il continue le combat, mon combat. ce n'est pas à lui de le faire. il est pris dedans parce qu'il est avec moi. mais si je venais à mourir je veux qu'il s'éloigne de tout ça, qu'il refasse sa vie. qu'il soit heureux et fonde une famille. qu'il est ce qu'il mérite. parce qu'il le mérite. « rassure-toi, je n'ai pas envie de terminer à la morgue, le plus tard sera le mieux. puis je veux te surveiller et profiter encore de la femme que j'aime. t'es sérieuse tu vas me mettre un toutou qui va me suivre à chaque fois même quand je vais aux toilettes. tu sais je me suis fait taper qu'une fois ce soir ça ne va pas arriver à chaque fois. puis au tribunal avec lui qui me suit je vais avoir l'air bien, tout le monde va voir que j'ai un problème s'il me suit comme un garde du corps. si tu es plus tranquille moi je veux bien si ça te fais plaisir mais au bout de deux jours je vais le semer ton mec. sauf si toi tu me suis là je ne dis pas non, tu pourrais me suivre vraiment partout. » « comme s'il allait te suivre avec des lunettes noirs. si je mets quelqu'un, tu ne le verras même. je te signale qu'on est très doué quand il s'agit de se planquer et de suivre quelqu'un. je vois que ça te plait pas. c'est pas grave. je ne vais pas te forcer. en même temps, ça me plairait pas vraiment si j'étais toi. je peux pas être constamment avec toi, Declan. » je connais des flics qui sont des plus discrets. des types qu'on apercevrait même pas dans une rue déserte. ils savent disparaitre pour suivre un truand, pour suivre une personne en danger. je ne peux pas le forcer en sachant que je ne voudrais pas qu'on me foute quelqu'un sur le dos. « ah donc en faite faut que je le remercie sinon tu ne serais pas encore rentré et j'aurais encore passé ma nuit seule. cela c'est bien un commissaire qui participe comme ses hommes, il risque aussi sa vie. car les commissaires à rester derrière leur bureau à crier ça m'énerve tellement. comment ça il a une part de responsabilité dans la mort de ta sœur ? et tu ne lui en veux pas à lui ? » ça fait bizarre de l'entendre dire ça parce que je ne crois pas qu'il le remercierait, s'il savait ce qui s'était passé la nuit où on était en mission pour retrouver le meurtrier d'Alex. je crois même que les choses finiraient très mal entre eux. Declan ne sait rien et j'ai trop peur de lui dire. je ne sais pas comment il est capable de réagir. je ne sais pas comment il pourrait le prendre. j'ai fait une connerie que je n'assume pas. une grosse connerie qui n'aurait jamais dû arriver. j'ai été faible. j'étais en colère, j'étais triste, j'avais besoin de réconfort et je me suis laissé aller dans les bras d'un autre. un autre que j'évite désormais comme la peste. « il n'aurait jamais dû laisser, A... il n'aurait jamais dû la laisser continuer la mission en sachant que j'étais dangereux. je ne peux pas lui en vouloir car je suis encore plus responsable que lui. j'ai été celle qui n' pas été à la hauteur. ils ont découvert que j'étais flic. j'ai fait une connerie. j'aurais dû être avec elle, j'aurais dû être à sa place. c'était moi qui aurait dû être tuée. » j'ai toujours dit que j'étais la responsable. la vieille, j'ai été celle qui a réduit ma couverture. Alex étant ma sœur jumelle, il savait parfaitement qu'elle n'était pas ce qu'elle prétendait. ils ont découvert que j'étais flic parce que j'ai eu ce moment de faiblesse en prenant la mauvaise arme. si je n'avais pas eu mon arme de service au lieu de l'arme de mission, tout ne serait pas arriver. j'ai tuée ma sœur. et c'est ce qui rend mon deuil encore plus difficile. je suis coupable. « partir en vacances ce n'est pas fuir Dylan. puis tu peux lâcher ton boulot au moins une semaine si tu ne veux pas partir trop longtemps. puis si moi je pars en vacances je ne vais pas y aller tout seul. j'ai envie de les passer avec toi mes vacances. tu sais je suis certains qu'Alex aurait été là, elle t'aurait poussé à prendre des vacances aussi. puis sérieux ça nous ferait du bien à nous deux, à notre couple car ça fait combien de temps qu'on n'a pas fait l'amour ? qu'on a pas passé un week-end ensemble voir même une simple soirée en amoureux ? » l'entendre me dire qu'Alex aurait été de son avis est une chose qui me bouleverse. parce que c'est vrai. elle m'aurait poussé à partir, à m'éloigner un peu du commissariat pour savourer les bienfaits de la vie. c'est fou comme elle avait cette tendance à se mettre toujours du côté de Declan. tous les deux, ils savaient collaborer pour avoir ce qu'ils voulaient. . « ne parle pas d'elle. » dis-je en serrant les poings. une manière de ne pas fondre en larmes. je sortais de la salle de bain pour aller dans la cuisine. j'ouvrais le frigo et j'en sortais une bière dont je buvais une longue gorgée.  
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Declan M. Hamilton
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyVen 9 Jan - 22:20

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
T«u ne peux pas être aussi sûre. ce n'est pas une porte verrouillée qui fait peur aux criminels. j'en ai vu certains tués des personnes sans aucune raison à bout portant. je les ai vu en faire souffrir et voir un sourire sur leurs visages quand la personne souffrait et les supplier. ils n'ont aucune pitié et encore moins pour un flic infiltré. » Elle avait raison je ne peux pas être aussi sûre après tout ils sont très malins et s'ils veulent me tuer ils le feront, ou même Dylan, rien ne les arrêtent. Des jour j'aimeraient que Dylan fait un métier moins dangereux que je ne m'inquiète moins pour elle quand elle est en mission. Je me doute qu'elle doive en voir de toutes les couleurs et je la trouve tellement courageuse elle fait réellement son métier comme il le faut. Mais souvent je ne sais rien de ses missions même quand elle revient je suis au courant de rien. Je ne sais pas si elle a souffert, si elle a vu des choses horribles car voir quelqu'un mourir même étant flic ça doit être terrible.

« Ok ce n'est pas une porte verrouillée qui vont les arrêtés, mais bons ils ne savent pas que je suis ton petit ami, ils ne savent pas que tu vis ici s'ils veulent te tuer, alors il ne faut pas s'inquiéter même si je suis d'accord qu'il faut faire attention ils peuvent se renseigner et tout savoir. On ne va pas déménager tous les six mois où je ne vais pas partir et dormir ailleurs. On ne se voit déjà pas beaucoup alors si on ne vit plus ensemble on ne va plus se voir du tout. Ce sont de vrai barbare ce type ce qui ne me rassure jamais quand tu pars en mission.»

Je ne voulais pas quitter l'appartement et la laisser seul non je veux rester ici et l'aider, la soutenir si besoin même si face à des types pareils je ne fais pas le poids et ils iront vite pour m'éliminer sous les yeux de Dylan pour la faire bien souffrir. Mais je ne partirais jamais même si elle le voulait je n'arriverais pas à partir même si je me suis incrusté chez Alex et Dylan, avant il y avait Alex je savais que Dylan n'était pas toute seul mais maintenant ce n'est plus le cas alors je dois être présent et la protégée, la soutenir etc Alex le voudrait. Je sais que c'est difficile pour Dylan de vivre sans Alex de ne plus la voir à longueur de journée, je sais qu'à eux deux ils faisaient une bonne équipe de travail. Mais maintenant que Dylan est seule je m'inquiète encore plus car il y a encore plus de risques tous seuls et j'espère qu'elle aura vite un coéquipier même si plus rien ne sera comme avant pour Dylan personne ne peux remplacer sa sœur jumelle, personne peux la comprendre comme Alex et personne peux la raisonner comme le faisait sa sœur. Je souhaite du courage à son futur coéquipier.  « personne.... personne ne continuera le combat contre lui. c'est vrai. mais je ne peux pas rester les bras croisés. promets moi une chose. si je succombes, je ne veux pas que tu me venges. je veux que tu refasses ta vie. tu n'as pas à faire mon combat. tu mérites d'avoir une vie bien meilleure que celle que j'ai eu. je ne suis pas un exemple. ne compare c'est deux choses. ça n'a rien avoir avec toi. c'est différent. » Quand elle me demande de lui promettre de ne pas me venger si elle succombe, je ne pouvais pas promettre une chose pareille c'est juste impossible je ne peux pas faire comme si rien ne se passerait et refaire ma vie sans me venger. Une chose est sûre celui qui tue Dylan va souffrir car je me vengerais à ma façon pour qu'il regrette toute sa vie même si je dois laisser ma vie aussi. Mais si je ne le fais pas qui le fera ?

« Tu ne restes pas les bras croisés mais juste faits attention toi-même tu sais qu'ils sont complètement fou alors va s'y doucement sans te faire tuer. Je suis désolé Dylan mais je ne peux pas te promettre cela, je ne pourrais pas laisser tomber, je serais obligé de me venger et ton père etc finiront en taule ça moi par contre je ferrais tout pour si tu succombes. Refaire ma vie serait impossible s'ils sont en liberté et toi tu ne serais plus là. Puis ma vie c'est toi alors refaire ma vie je ne peux pas m'imaginer avec une autre femme que toi. D'accord je ne compare pas ses deux choses.»

Je ne connais pas vraiment son père, mais je l'ai déjà vu étant gamin mais j'étais loin d'imaginer ce qu'il était réellement. Même si Dylan le connaît comme personne je ne pourrais pas laisser tomber si Dylan meurt lors d'une mission. Mais je ne voulais pas penser à tous cela car déjà la savoir blesser me mets dans tous mes états, le jour où on m'a appelé et dit par téléphone que Dylan était à l'hôpital car elle a reçu une balle dans l'épaule. J'ai dû devenir tout blanc ce jour-là et je suis partie en quatrième vitesse tout paniquer. J'avais eu tellement peur, l'épaule n'est pas loin de la tête, du cœur, j'avais eu une peur bleue et je ne voulais plus revivre cela même si je vais surement le revivre vu les cicatrices qu'elle a partout. Alors je ne veux pas imaginer sa mort je ne le supporterais pas. « comme s'il allait te suivre avec des lunettes noirs. si je mets quelqu'un, tu ne le verras même. je te signale qu'on est très doué quand il s'agit de se planquer et de suivre quelqu'un. je vois que ça te plait pas. c'est pas grave. je ne vais pas te forcer. en même temps, ça me plairait pas vraiment si j'étais toi. je peux pas être constamment avec toi, Declan. »

Elle me parle du flic qui pouvait me suivre discrètement mais je ne voulais pas qu'on me suit de près comme de loin. Moi je le serais que quelqu'un me suit et ça m'énerverait même si je ne le verrais pas.

« Oui vous êtes peut-être discret et que je ne verrais pas ton type mais moi je le serais et je me sentirais suivi. Puis je me suis fait tabasser ce soir juste pour mon boulot parce que j'ai pris des infirmations où ils ne faut pas. Il ne faut pas s'inquiéter pour si peu, on ne sait jamais si ça devait revenir j'accepterais ce que tu me proposes d'accord. C'est sûr que toi tu détesterais qu'on te suit et tu aurais dit non comme moi. Je sais que tu ne peux pas être constamment avec moi Dylan, je plaisantais je sais que ce n'est pas possible je dis juste que j'aimerais rien qu'une journée et tu serais moins en danger au moins. »

Dylan avait plus d'humour surtout en ce moment mais bon je comprends qu'elle n'est pas envie de rire mais je sais qu'elle ne peut pas être constamment avec moi façon je suis assez grand pour me débrouiller. J'espère qu'un jour elle retrouvera un peu d'humour.

« il n'aurait jamais dû laisser, A... il n'aurait jamais dû la laisser continuer la mission en sachant que j'étais dangereux. je ne peux pas lui en vouloir car je suis encore plus responsable que lui. j'ai été celle qui n' pas été à la hauteur. ils ont découvert que j'étais flic. j'ai fait une connerie. j'aurais dû être avec elle, j'aurais dû être à sa place. c'était moi qui aurait dû être tuée. » Je ne savais pas ce qu'il s'était passé entre Dylan et son supérieur et je pense que si je l'apprends un jour je ne sais même pas ma réaction, déjà j'en voudrais à son supérieur et irais surement régler mes comptes avec et lui casser la gueule pour me soulager mais j'en voudrais un peu à Dylan aussi après tout elle était consentante mais je demanderais des explications je ferrais peut-être un break le temps d'accepter et digérer la nouvelle et réfléchir. Mais bon des fois notre réaction et différente quand on imagine et quand c'est la réalité et qu'on apprend qu'on a était cocu.

« Chaque mission est dangereuse et tu le sais et vous risquer d'être découverte à chaque mission ça arrive. Dylan je t'interdis de dire ça tu n'es pas plus responsable et que ça soit toi qui serais morte Alex aurais dit exactement la même chose que ça aurait dû être elle a ta place. Ni Alex ni toi devait mourir mais la vie la décidé autrement est Alex à perdu la vie. Tu as fait une connerie mais tu ne l'as pas fait volontairement alors il ne faut pas tant vouloir. Cela ne t'aidera pas à faire le deuil et aller de l'avant.»

Je ne voulais pas qu'elle se sente responsable de la mort de sa sœur mais la connaissant elle continuera à se sentir coupable et je ne sais pas comment lui faire changer d'avis elle est têtue. Voilà que je ne peux pas parler d'Alex enfin je ne dis rien je ne voulais pas me prendre la tête avec et surtout pas ce soir je suis lessivé. Mais comment je vais faire pour qu'elle accepte de partir en vacances, avant Alex lui aurait parler et je ne sais pas mais elle arriver toujours à faire craquer Dylan pour accepter. Alex et moi on s'entraider beaucoup mais maintenant sans elle je ne sais pas comment je vais faire, je n'ai pas les mots comme avait Alex et entre fille et soeur jumelle elles se parler et se comprenait et moi non j'ai l'impression de rien savoir sur Dylan des fois, je ne sais pas comment la faire changer d'avis. Je la regarde quitter la salle de bains. Je range tous les produits et je mets mes affaires sales dans le bac à linge sale, je vais dans la chambre pour enfiler un nouveau tee-shirt propre et un jean pour être plus cool qu'avec un costume. Je remarque une bière sur la commode, c'était du Dylan je souris et je prends la bière et je descends dans la cuisine et je la vois avec une autre bière dans la main. Je regarde celle que j'ai dans ma main et regarde Dylan en lui faisant montrer la bière.

« Tu sèmes tes bières, elle était dans la chambre et à peine entamé. Qui va la boire celle-ci ? Tu comptes les boire à deux ?»

Je souris et pose la bière sur la table de cuisine et je m'assois délicatement sur la chaise, je ne voulais pas faire voir que j'avais un peu mal aux côtes en faisant certains gestes. Dylan m'a vu entrain de me nettoyer le visage ça suffit elle en savait assez je ne veux pas l'inquiéter de plus.

« Pour les vacances tu peux au moins y réfléchir s'il te plaît ? Tu me diras quoi assez vite que je sache quand je peux poser des congés. Mais j'ai besoin de vacances réellement et le plus vite serait le mieux. Sinon je vais devoir te kidnapper, prendre des menottes t'attacher à moi pour partir.»

Je ris légèrement je ne le ferais pas mais j'avais besoin de partir car ses types qui m'ont tapé ne vont pas me lâcher si rapidement, ils vont surement me surveiller et vu que je vais continuer de chercher pour aider Dylan j'avais un peu peur des représailles. Si je pars en vacances pour me ressourcer ça me ferrait du bien et à mon retour je serais pleins d'énergie mais la c'est la fin de l'année et j'ai plus de force je dois l'avouer et Dylan a besoin aussi de vacances mais apparemment elle n'est pas de cet avis, mais je ne peux pas dire la réelle envie de partir si précipitamment en vacances...


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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyMar 20 Jan - 21:58

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

« ok ce n'est pas une porte verrouillée qui vont les arrêtés, mais bon ils ne savent pas que je suis ton petit ami, ils ne savent pas que tu vis ici s'ils veulent te tuer, alors il ne faut pas s'inquiéter même si je suis d'accords qu'il faut faire attention, ils peuvent se renseigner et tout savoir. on ne va pas déménager tous les six mois ou je ne vais pas partir et dormir ailleurs. on ne se voit déjà pas beaucoup alors si on ne vit plus ensemble, on ne va plus se voir du tout. ce sont de vrais barbares ces types ce qui ne me rassure jamais quand tu pars en mission. » pour rien au monde, je quitterais cette maison. avec Alex, nous avons mis toutes nos économies pour l'acheter. après l'école de police, on devait bien se loger quelque part. pas question de le faire dans la maison des Wilson. on avait tout fait pour en partir, alors pour revenir jamais. cette maison regorge de l'âme de ma sœur. c'est elle qui avait opté pour ce genre de maison. elle avait totalement craqué et je ne pouvais pas résister à ma sœur. pour moi, la maison n'avait aucune importance tant que c'était la notre et qu'on avait pas besoin de vivre avec le paternel. je ne disais pas à Declan de s'en aller. je ne voulais pas. je lui avais donné la clé dès l'instant où je pensais qu'il était temps qu'on habite sous le même toit. ça n'a rien eu de romantique. je ne suis pas romantique du tout. si je me souviens bien, j'étais rentré tard du boulot et il m'attendait sur le pas de la porte. ça m'avait brisé le cœur de le voir sous la pluie. alors je lui avais donné une clé ainsi il n'avait plus besoin de rester dehors. j'aurais dû le faire plus tôt. quand nous n'étions que des meilleurs amis, on passait tellement de temps ensemble, je dormais tellement de fois ensemble que ça n'aurait pas été étrange de le faire si tôt. et puis je préfère savoir Declan près de moi pour le protéger qu'ailleurs en danger. quand on fait souvent des infiltrations, la police garde peu d'informations sur nous. ils ne savent pas où on habitue, ils ne savent pas si on a des enfants... une protection au cas où un criminel viendrait à s'infiltrer sur le réseau pour voler des informations. mes collègues ne sont pas du genre à connaitre ma vie. je n'en parle jamais. je ne garde pas des photos sur mon bureau comme les autres. ma vie privée reste loin de ma vie professionnelle. une façon de me protéger et de protéger ceux que j'aime. « je ne veux pas que tu ailles vivre ailleurs Declan. jamais je ne voudrais une telle chose. j'ai besoin de toi près de moi. j'aime quand je rentre le soir pouvoir me glisser dans les draps près de toi et que tu me prennes dans tes bras. c'est le seul endroit où j'ai l'impression que rien ne peut m'arriver. » parfois, il faut bien un peu dire ce qu'on ressent à l'intérieur. bon ce n'est pas une déclaration. mais quand je dis que je ne veux pas qu'il aille vivre ailleurs, c'est que je le pense vraiment. je ne dis jamais de telles choses sans le penser. je parle très souvent de ce que je peux ressentir et quand je le fais, il faut le prendre. il ne faut jamais essayer de me faire sortir le morceau. c'est encore pire et je me braque mer refermant comme une coquille d'huitre. le paternel sera jamais celui qui me tuera. il a beau être la cruauté incarné, je reste sa fille. s'il aurait voulu en finir avec moi, il l'aurait déjà fait à de nombreuses reprises. il m'avait en ligne de mire. il ne fera jamais de mal à ses enfants même s'il en a fait des tonnes. bon, je ne parle pas de ma grande sœur puisqu'elle a toujours accepté ce que faisais le paternel. elle l'idolâtre comme un dieu. je n'arriverais jamais à comprendre comment on peut idolâtrer un homme qui a tué notre mère. « tu ne restes pas les bras croisés mais juste fait attention à toi-même. tu sais qu'ils sont complètement fous alors va s'y doucement sans te faire tuer. je suis désolé Dylan mais je ne peux pas te promettre cela, je ne pourrais pas laisser tomber, je serais obligé de me venger et ton père etc... finiront en taule, ça moi par contre je ferais tout pour si tu succombes. refaire ma vie serait impossible s'ils sont en liberté et toi tu ne seras plus là. puis ma vie c'est toi alors refaire ma vie je ne peux pas m'imaginer avec une autre femme que toi. d'accords je ne compare pas ses deux choses. » « mon père est un homme cruel, sans cœur et glaciale. mais s'il y a une chose dont il est incapable, c'est de tuer un de ses enfants. il a eu la chance de le faire et il a encore la chance. mais il ne le fera jamais. je t'interdis de détruire ta vie à cause de moi, Declan. je n'ai rien de la femme parfaite, je n'ai rien de la petite-amie parfaite. parfois, je me demande pourquoi tu restes avec moi. regarde-moi, je rentre tard. on ne passe plus de soirées ensemble. ça fait des semaines qu'on a pas eu un diner en tête à tête. tu pourrais avoir tellement mieux. une qui te cajole, qui prend soin de toi, qui est présente. » j'accentuais chacun de mes mots. j'essayais de lui faire comprendre que je ne suis pas mettre sur un autel. l'entendre dire que ma vie c'est moi. il ne peut pas dire une telle chose. il ne peut pas parce que je ne suis pas assez bien pour lui. je ne suis pas la fille à qui on peut dire ça. je ne le mérite pas. il faut qu'il le voit. je ne sais pas ce qui le pousse à rester. à s'accrocher. j'aurais beau essayer de le faire partir, je n'y arriverais pas. il reste. il reste près de moi. je n'aime pas pas pouvoir lui offrir tout ce qu'il veut. ça me fend le cœur. j'aimerais changé mais je suis incapable de le faire. il est trop tard pour ça. je suis foutue. je finirais ma vie comme ça. en même temps, il a voulu de moi alors qu'il savait que j'étais ainsi, que j'avais un passé ignoble et difficile. Declan est le seul à me comprendre et à l'accepter. et lui dire ces choses est cruel. c'est vouloir l'éloigner alors que mon cœur ne veut pas. « oui vous êtes peut-être discret et que je ne verrais pas ton type mais moi je le serais et je me sentirais suivi. puis je me suis fait tabasser ce soir juste pour mon boulot parce que j'ai pris des informations où il ne faut pas. il ne faut pas s'inquiéter pour si peu, on ne sait jamais si ça devait revenir, j'accepterais ce que tu me proposes d'accords. c'est sûr que toi tu détesterais qu'on te suive et tu aurais dit non comme moi. je sais que tu ne peux pas être constamment avec moi Dylan, je plaisantais, je sais que ce n''est pas possible, je dis juste que j'aimerais rien qu'une journée et tu serais moins en danger au moins. » je n'arrive plus à voir quand il y a de l'humour. je ne souris même pas. depuis combien de temps je n'ai pas rigolé ou je n'ai pas eu un sourire sur mon visage. je m'en rappelle pas. j'ai l'impression que ça fait des années que je n'ai pas éclaté de rire. ça devient vraiment urgent que j'arrête, que j'essaye de reprendre une vie 'normale'. « plus jamais tu me caches un truc pareil. parce que si je ne serais pas rentrer, tu n'aurais rien dit. tu m'aurais caché cette bagarre. ça ne sert à rien de croire que ça peut me protéger. un peu plus, un peu moins, ça ne fera pas grand chose. ça marche, pas de garde de corps. » je lui dis ça parce que je le connais. si je n'étais pas arrivé et que je ne l'avais pas vu entrain de soigner, il n'aurait rien dit. il pense qu'il me protéger ainsi. pourtant, ce n'est pas le cas. c'est encore pire car je me saurais des tonnes de questions en voyant des blessures qu'il ne m'aurait pas dit. « chaque mission est dangereuses et tu le sais et vous risquez d'être découvert à chaque mission ça arrive. Dylan je t'interdis de dire ça tu n'es pas responsable et que ça soit toi qui serait morte Alex aurait dit exactement la même chose que ça aurait dû être elle à ta place. ni Alex ni toi devait mourir mais la vie a décidé autrement et Alex a perdu la vie. tu as fait une connerie mais tu ne l'as pas fait volontairement alors il ne faut pas t'en vouloir. cela ne t'aidera pas à faire le deuil et aller de l'avant. » « bien sûr que j'ai fait une connerie. j'en suis responsable. c'est mentir que d'essayer de dire le contraire. je ne peux pas me mentir à moi-même. » je pars. je m'éloigne. j'en ai besoin à cet instant. je le sais car je sens monté cette sorte de colère. cette colère qui peut faire cogner dans un mur. je l'ai déjà fait. il reste même une marque sur le mur de la cuisine. j'étais sur une mission. je n'arrivais pas à m'immiscer dans un cercle très fermé. pourtant, je savais tout. pourtant j'avais l'apparence et le caractère parfait. je suis rentré en colère et j'ai explosé le mur. pauvre mur. ça fait du bien de le faire. on se sent libéré. on sent un poids en moins. je n'ai jamais fait une telle chose devant Declan. il me prendrait très certainement pour une folle. et puis me voir dans un état pareil, ce n'est pas top. ça fait peur. Alex n'aimait pas me voir ainsi. elle détestait même. « tu sèmes tes bières, elle était dans la chambre et à peine entamée. qui va la boire celle-ci ? tu comptes les boire toutes les deux ? » je bois la dernier gorgée de la bière que j'ai dans les mains. je me rappelais même pas en avoir pris une en rentrant. je perds la tête. je fais n'importe quoi. je me calle contre le comptoir de la cuisine. je prends ma tête entre mes main. « pour les vacances, tu peux au moins y réfléchir s'il te plait ? tu me diras quoi assez vite que je sache quand je peux poser des congés. mais j'ai besoin de vacances réellement et le plus vite serait le mieux. sinon je vais devoir te kidnapper, prendre des menottes t'attacher à moi pour partir. » je crois que je n'ai pas entendu ces mots, ces paroles. j'étais totalement ailleurs, pensant à ma sœur. pensant à tout ce que j'avais vécu avec elle. et à toutes ses choses que je ne vivrais pas. on disait qu'on tomberait enceinte en même temps, qu'on se marierait en même temps. pleins de choses mais que je savais impossible. je n'étais pas comme Alex. les enfants je ne suis pas très super avec eux. je n'arrive pas à les comprendre et j'ai l'impression qu'il ne m'aime pas. je ne crois pas que je serais capable d'en avoir un jour. je ne suis déjà pas capable d'avoir du temps pour mon petit-ami « elle est morte dans mes bras, Declan. j'ai entendu son dernier souffle. » boum ! ce n'était qu'un murmure. c'était la première fois que je parlais de ce qui c'était passé au moment où j'avais trouvé Alex dans le bâtiment. chaque fois que j'essayais d'en prendre le chemin, les mots se bloquaient. mais là, c'est comme s'il avait besoin de sortir, si j'avais besoin d'essayer de faire quelque chose. il parait que c'est plus facile quand on en parle. que ça permet d'aider. ça va sûrement surprendre Declan. ça me surprend moi-même. j'avais cette folle envie de pleurer et me laisser tomber sur le sol froid. de déverser tout ce que je gaarde au fond de moi. je ne le fis pas. je ne pouvais pas. ce n'était pas moi.  
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Declan M. Hamilton
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyVen 23 Jan - 21:47

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
J e ne veux pas que tu ailles vivre ailleurs Declan. jamais je ne voudrais une telle chose. j'ai besoin de toi près de moi. j'aime quand je rentre le soir pouvoir me glisser dans les draps près de toi et que tu me prennes dans tes bras. c'est le seul endroit où j'ai l'impression que rien ne peut m'arriver. »

Je me doute que déménager était impossible pour Dylan, c'était cette maison qu'avait choisit Alex, qu'elle avait décoré et ou il y a de nombreux souvenirs. Puis moi j'aimais beaucoup cette maison et ne voulais pas déménager, c'était un vrai nid douillet ici et j'étais tellement bien avec Dylan même si depuis la disparition d'Alex cela fait un vide ici, on sent qu'il manque une présence... Mais Dylan veut que je reste ici c'est rassurant sur le coup je me suis demandé quoi, après il y a toujours un risque même s'il est minime. À ces paroles je souris, cela fait toujours du bien à entendre et je sais qu'elle le pense, elle n'est pas du genre a dire l'inverse de ce qu'elle pense. Dylan n'est pas une femme romantique à dire je t'aime tous les jours mais quand elle se confie il faut le prendre et je trouve ça encore plus mignon car elle ne dit pas ce qu'elle ressent souvent alors quand elle le dit ça fait plaisir, que si elle le disait toutes les semaines j'aurais l'habitude et à force je le serais vraiment.

« Tant mieux car j'aime aussi quand tu rentres même tard le soir mais je sais que tu es rentrée, que tu n'as rien que tu n'es pas blessé etc. Dans mes bras je te promets qu'il ne peut rien arriver, dans mes bras tu es en sécurité. La seule chose qui peut arriver peut-être un jour c'est que je tombe du lit et que je t'embarque dans ma chute et qu'on se retrouve à deux par terre.»

Je souris, le fait que je tombe ne m'était pas encore arriver, mais on ne sait jamais si je bouge beaucoup certaines nuits. Mais quand Dylan est dans mes bras je ne bouge plus ou beaucoup moins. C'était automatique Dylan était dans mes bras alors je la protège, je la garde contre moi et j'aimais nos câlins la nuit c'est surement les seuls qu'on peut profiter même si on dort mais je l'ai contre moi, et les nuits sont toujours trop courte à mes yeux. Et quand elle est en infiltration j'ai le lit pour moi tout seul mais j'ai toujours du mal à m'endormir car je sais qu'elle est sous couverture et j'ai peur qu'elle se fasse prendre, qu'il découvre qu'elle est flic, qu'elle soit blesser ou décédée ils sont tellement capables de tout. Après cela mais déjà arriver de m'imaginer qu'elle doit être avec un homme genre pour le faire tomber elle peut draguer etc pour arriver a vraiment savoir et je ne lui en voudrais pas si c'est pour son métier et sa vie. Mais souvent je préfère vite me retirer ce genre d'idées. « mon père est un homme cruel, sans cœur et glaciale. mais s'il y a une chose dont il est incapable, c'est de tuer un de ses enfants. il a eu la chance de le faire et il a encore la chance. mais il ne le fera jamais. je t'interdis de détruire ta vie à cause de moi, Declan. je n'ai rien de la femme parfaite, je n'ai rien de la petite-amie parfaite. parfois, je me demande pourquoi tu restes avec moi. regarde-moi, je rentre tard. on ne passe plus de soirées ensemble. ça fait des semaines qu'on a pas eu un diner en tête à tête. tu pourrais avoir tellement mieux. une qui te cajole, qui prend soin de toi, qui est présente. » Le père de Dylan n'est pas un enfant de cœur cela est sûr mais je l'ai un peu connu étant plus jeune alors je me dis qu'il me ferra surement rien, puis il doit savoir que je ne suis plus le meilleur ami de sa fille mais son petit ami à présent. Bon après pour lui je représente rien surtout si un jour Dylan n'est plus là mais malheureusement je continuerais le combat cela serait en mémoire à la femme que j'aime. Enfin Dylan est toujours là en vie et j'espère pour longtemps je ne veux pas la perdre, même si elle fonce tête baissée.

«Ton père a au moins un cœur, en même temps tué ses propres enfants cela doit être impossible, il vous aime quand même. Il n'est pas un père modèle ça s'est sûr mais il ne te ferra pas de mal mais j'espère que ceux avec qui il travaille c'est pareil qu'ils te feront rien. Je ne détruirais pas ma vie Declan, c'est juste que si tu disparais comme ta sœur je me vengerai et je continuerais le combat pour toi, que tu n'as pas commencé pour rien. Façon dans ce genre de cas tu ne seras pas là pour voir ce que je fais. Mais arrêtons de parler de ta mort ce n'est pas très joyeux et je t'interdis de mourir rapidement tu peux mourir dans longtemps quand tu seras plus vieille mais pour le moment tu es trop jeune et tu as encore ta vie devant toi, tu as encore pleins de choses à vivre. Te marier, être mère etc enfin encore pleins de belles choses...»

Par contre la suite de Dylan m'étonne qu'est-ce qu'elle me fait, qu'est-ce qu'elle veut me faire comprendre ? Je la regarde en fronçant mes sourcils. Décidément les femmes s'sont compliquées pour les comprendre, mais on les aime. Mais bon là j'ai l'impression qu'elle veut m'éloigner d'elle et je ne comprends pas vraiment pourquoi.

« Oh tu me fais quoi là Dylan ? Tu me pousses à aller voir ailleurs, prendre une maîtresse ? Tu sais personne n'est parfait même moi je ne le suis pas et tu as des défauts et je fais avec et je les aime bien quand même t'es défauts. Après je n'ai pas besoin d'une petite amie parfaite, j'ai juste besoin de toi et je t'aime telle que tu es. Je savais comment tu étais j'étais ton meilleur ami alors je savais à quoi m'attendre quand je t'ai avoué mes sentiments et si je n'avais pas aimé et bien j'aurais mis un terme à notre relation dès le début et j'aurai dit que ce n'était pas possible et qu'il faut mieux qu'on reste meilleur ami. Je reste avec toi par amour Dylan et pour rien au monde je ne veux que ça change. Tu rentres tard oui mais c'est ton métier tu ne fais pas un métier de fonctionnaire ou à 17 heures t'es rentrée. Je le savais aussi ça avant de sortir avec toi. Cela fait longtemps qu'on n'a pas eu de repas c'est vrai, qu'on n'a pas fait l'amour, qu'on n'a pas profité en amoureux et bien d'accord ça me manque et je ne dirais pas non mais je me dis que plus c'est long plus c'est bon et quand on ferra tous cela ça sera magnifique tellement ça fait longtemps et ça sera encore mieux que si on faisait ça trop souvent... Mais je ne veux pas une femme mieux, c'est toi que je veux et je t'ai alors je profite de nos rares moments puis tu prends soin de moi-même de loin, la preuve t'est prête à retrouver ceux qui m'ont tapé ce soir pour leur faire passer un mauvais quart d'heure. Après Dylan s'il y a un souci tu m'en parles d'accord ? Mais ne pense pas que tu n'es pas une bonne petite-amie, il y a pire que toi. Même si tu ne me le dis pas souvent je sais que tu m'aimes non ? Tu ne me trompes pas alors tu fais partie des bonnes petite-amie.»

Je reprends mon souffle, car là j'avais vraiment avoué toutes mes pensées et essayer de la rassurer et la raisonner car je n'aime pas qu'elle pense de telles choses mais raisonner Dylan c'est difficile voir impossible seule Alex y arrivait et moi je n'ai pas le don d'Alex. Et pourtant j'aimerais lui demander conseil à l'heure actuelle... Bien sûr que je lui aurais caché si je peux, je ne veux pas qu'elle se met encore plus en danger, je ne veux pas qu'elle s'inquiète. Même si je l'aime pour mettre son père derrière les barreaux je ne peux pas tout dire surtout quand il m'arrive des choses je la protège à ma façon. Après si c'était quelque chose d'important pour l'enquête je le dirais pour que ça avance mais là je n'en voyais pas la peine, sauf qu'elle est rentrée et ma surpris alors j'ai dû avouer même si j'ai menti et je n'ai pas dit la vraie vérité.« plus jamais tu me caches un truc pareil. parce que si je ne serais pas rentré, tu n'aurais rien dit. tu m'aurais caché cette bagarre. ça ne sert à rien de croire que ça peut me protéger. un peu plus, un peu moins, ça ne fera pas grand chose. ça marche, pas de garde de corps. »

«Je ne t'ai rien caché là, je t'ai dit ce qu'il m'était arrivé. Non je ne t'aurais rien dit si tu étais rentrée plus tard, malgré que tu aurais vu les bleues demain matin. Si je te protège car sinon tu vas foncer sur ceux qui m'ont fait cela et je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelques choses, justement tu as assez d'ennuis pas là peine dans rajoutais pour une simple bagarre car j'ai mis mon nez ou il ne fallait pas. Les avocats ne sont pas toujours appréciés. Mais cela aurait était grave je t'aurais parlé. Merci!»

Ouf je n'avais pas de garde du corps et ça me rassure je n'en avais pas du tout envie, j'aime ma liberté malgré que je n'ai rien à cacher mais savoir quelqu'un cacher pas loin à me surveiller je déteste. J'aime trop faire ce que je veux quand je veux sans personne derrière à m'épier.« bien sûr que j'ai fait une connerie. j'en suis responsable. c'est mentir que d'essayer de dire le contraire. je ne peux pas me mentir à moi-même. » On parle de la mort d'Alex, je n'aime pas qu'elle se dit qu'elle est responsable. Elle ne peut pas avancer ni faire son deuil en pensant cela. Elle n'oubliera jamais sa sœur, ni comment c'est arriver mais Alex voudrait qu'elle reprenne une vie normale mais j'évite de trop en parler vu qu'il y a quelques minutes elle m'a dit de ne pas parlé d'elle. Je ne veux pas la faire souffrir plus qu'elle ne souffre déjà.

« Tu as fait une connerie ça arrive Dylan, ça aurait pu arriver à ton chef ou à ta sœur. Tu étais peut-être fatigué, sous le stress tu ne fais pas un métier facile surtout quand tu es en infiltration avec des malades. Mais il ne faut pas tant vouloir à vie, faut que tu fasses le deuil pour Alex, puis elle ne tend ne veux pas, vous connaissez tous les risques. Puis prochaine fois tu ferras attention mais on fait toutes des erreurs Dylan même moi en tant qu'avocat j'en fais.»

Je n'aimais pas voir Dylan aussi mal et pourtant elle y est souvent mais parfois c'est encore pire et cela m'inquiète de la voir dans cet état même si je ne l'ai jamais vu dans un état de vraie colère, je ne l'ai jamais vu taper dans un mur et effectivement ça risque de m'étonner si cela arriver un jour. Je tenterais de la calmer même si je risque de me prendre un coup mais je sais que des fois on a besoin de se soulager, de libérer la colère qu'on a en nous puis nous avons chacun notre façon de la libérer... Je mettais rhabiller une fois que Dylan avait fini de me soigner et je rejoins Dylan avec une bière qui traîne dans la chambre et finalement je bois une gorgée de la bière quand elle murmure.« elle est morte dans mes bras, Declan. j'ai entendu son dernier souffle. » Dylan se confier sur la mort de sa sœur jumelle ce qui m'étonne depuis des mois que je tente un peu dans savoir plus et souvent elle ne me parler pas, pourtant je veux l'aider et j'ai envie de savoir ce qui sait réellement passer car j'aimais aussi Alex c'était ma belle-sœur. Mais je ne forcer pas Dylan j'attendais le bon moment et serait-il ce soir ? Pour qu'elle m'en parle c'est que ça ne va pas et il faut que je la soutienne, que je lui montre que je suis là pour elle-même s'il elle pleure. Je m'approche de Dylan et je lui caresse la joue et je glisse ma main dans la sienne, nos doigts s'enlacent.

« Je ne savais pas qu'elle a eu son dernier souffle dans t'es bras c'est pour cela que tu as plus de mal. Tu as surement cette horrible image et j'imagine que ça doit être atroce à vivre. Mais je ne sais pas si Alex t'a parlé avant de partir mais pour elle au moins elle est partie en douceur dans les bras d'une personne qu'elle aimer et toi tu comptais plus que tout pour elle, Alex aurait tout fait pour toi. Elle est morte dans les bras de sa sœur et ça c'est le point positif pour Alex. Pour toi ce n'est pas le cas c'est malheureux tu ne pourras jamais oublier cela, mais tu as était voir un psy ?
Maintenant je comprends mieux ta souffrance et je peux t'aider à faire son deuil, mais faut que tu me parles Dylan, je suis là pour toi tu peux te confier à moi, tu peux même t'effondrer et pleurer c'est normal et tu en as besoin de libérer cette tristesse, tu te sentiras mieux après...»



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« Le temps passe, les choses changent, mais au fond on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien... »
On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyLun 9 Fév - 20:27

Declan && Dylan
Je pense qu'il est grand temps pour nous tous d'apprendre à vivre avec notre passé. D'apprendre à accepter nos choix, nos erreurs d'inattention, et nos fautes pas toujours involontaires. Il nous est tous déjà arrivé d'agir de façon à regretter l'instant d'après d'avoir été impulsif. Mais est-ce que cela nous empêche de continuer la tête haute ? Sommes-nous pour autant d'éternels désinvoltes ? Je ne pense pas. Si vous voulez mon avis, je suis certaine qu'on a tous le choix sur la façon d'avancer dans notre vie.

« tant mieux car j'aime aussi quand tu rentres même tard le soir mais je sais que tu es rentrée, que tu n'as rien, que tu n'es pas blessé etc. dans mes bras, je te promets qu'il ne peut rien arriver, dans mes bras tu es en sécurité.  la seule chose qui peut arriver peut-être un jour c'est que je tombe du lit et que je t'embarque dans ma chute et qu'on se trouve à deux par terre. » un léger sourire se dessine sur mon visage. je sais que dans notre lit, c'est le seul endroit où je suis un peu prêt en sécurité. j'aime la chaleur de ses bras, la chaleur de son corps. la proximité qu'on peut avoir dans un lit. ça va au-delà du désir ou du côté câlin. c'est un peu près le seul endroit où je baisse ma garde, où j'ose enlever la barrière que j'ai construit autours de moi. je ne dis pas que je suis une autre fille, non pas du tout.   « ton père a au moins un cœur, en même temps tué ses propres enfants cela doit être impossible, il vous aime quand même. il n'est pas un père modèle, ça c'est sûr mais il te fera pas de mal mais j'espère que ceux avec qui il travaille c'est pareil qu'ils te feront rien. je ne détruirais pas ma vie Dylan, c'est juste que si tu disparais comme ta sœur, je me vengerais et je continuerais le combat pour toi, que tu n'as pas commencé pour rien. façon dans ce genre de cas, tu ne seras pas là pour voir ce que je fais. mais arrêtons de parler de ta mort,  ce n'est pas très joyeux et je t'interdis de mourir rapidement. tu peux mourir dans longtemps quand tu seras plus vieille mais pour le moment tu es trop jeune et tu as encore ta vie devant toi, tu as encore pleins de choses à vivre. te marier, être mère ...etc... enfin encore pleins de choses. » mon père côtoie des ordures. certains veulent surement sa peau et son business.  c'est un monde où règne la loi du plus fort et où ils sont prêt à faire tout et n'importe quoi pour être au sommet. mon père ne peut pas voir de contrôle sur ceux avec qui il travaille. il ne peut pas prédire leurs gestes.  cependant, je pense qu'il a fait en sorte qu'il ne s'attarde pas sur nous. il  ne faut mieux pas se mettre mon père à dos. il est indomptable  et il est capable du pire si vous vous en prenez à lui. je ne sais pas comment ils nous considèrent, comment il me considère. il  n'est pas venu à l'enterrement d'Alex donc je pense que nous ne sommes plus rien pour lui. il a fini par nous mettre de côté. je n'arrive pas à croire qu'il n'était pas là. Alex était sa fille et elle ne lui a jamais rien fait. si je n'avais pas décidé de rentrer dans la police, elle ne l'aurait pas fait. elle me suivait beaucoup trop. en même temps, on pouvait pas être éloigné l'une de l'autre.   « c'est important pour moi de savoir et que tu saches ce que je veux. on ne peut rien prévoir. on ne peut pas savoir ce qui peut se passer demain. tu as raisons, je ne serais plus là pour voir mais sache que ça ne me plairait pas. c'est ça que tu veux des enfants et un mariage ?  » je sais que Declan veut une famille. du moins je le présume. toute personne normale pense à ça lorsqu'il est un certain temps avec une personne. si je tombais enceinte, ça ne serait pas choquant. cependant, ce n'est pas dans mes projets de tomber enceinte. je fais tout pour l'instant pour que ça n'arrive pas. tomber enceinte serait une catastrophe. il suffit de me regarder pour le voir. je lui pose la question car j'ai envie de savoir. j'ai envie de connaitre sa réponse. « oh tu me fais quoi là Dylan ? tu me pousses à aller voir ailleurs, prendre une maitresse ? tu sais personne n'est parfait même moi je ne le suis pas et tu as des défauts et je fais avec, et je les aime bien quand même tes défauts. après je n'ai pas besoin d'une petite amie parfaite, j'ai juste besoin de toi et je t'aime telle que tu es. je savais comment tu étais, j'étais ton meilleur ami alors je savais à quoi m'attendre quand je t'ai avoué mes sentiments et si je n'avais pas aimé et bien j'aurais mis un terme à notre relation dès le début et j'aurais dit que ce n'était pas possible et qu'il faut mieux qu'on reste meilleur ami. je reste avec toi par amour Dylan et pour rien au monde je ne veux que ça change. tu rentres tard oui mais c'est ton métier. tu ne fais pas un métier de fonctionnaire où  à 17 heures t'es rentrée. je le savais aussi ça avant de sortir avec toi.  cela fait longtemps qu'on n'a pas eu de repas c'est vrai, qu'on n'a pas fait l'amour, qu'on n'a pas profité an amoureux et bien d'accords ça me manque et je ne dirais pas non mais je me dis que plus c'est long plus c'est bon et quand on fera tout cela, ça sera magnifique tellement ça fait longtemps et ça sera encore mieux que si on faisait ça trop souvent... mais je ne veux pas une femme mieux, c'est toi que je veux et je t'ai alors je profite de nos rares moments puis tu prends soin de moi-même de loi, la preuve t'es prête à retrouver ceux qui m'ont tapé ce soir pour leur faire passer un mauvais quart d'heure. après Dylan s'il y a un soucis tu m'en parles d'accords ? mais ne pense pas que tu n'es pas une bonne petite-amie, il  y a pire que toi. même si tu ne me le dis pas souvent je sais que tu m'aimes non ? tu ne me trompes pas alors tu fais partie des bonnes petites amies. » je suis comme ça. je suis capable de faire en sorte que le bonheur des autres passe avant le mien. je pense au bonheur de Declan. je pense au faite qu'il n'est pas assez heureux aujourd'hui. que je ne lui permets pas d'avoir le meilleur bonheur. qu'il peut avoir mieux, qu'il mérite mieux. quand on était au lycée, les filles lui courraient après. les filles n'avaient yeux que pour lui. je le voyais et ça me faisait sourire. en même temps, elle n'avait pas tord. il avait tout pour plaire et en grandissant, ça n'a fait que le transformer en un homme encore meilleur. qu'il est une maitresse, je ne crois pas que je pourrais lui en vouloir. au contraire.  quand je pense qu'il est entrain de me dire que je ne l'ai pas trompé. qu'ainsi, je suis une petite amie parfaite. s'il savait, s'il savait qu'il me voit bien trop parfaite et qu'il ne sait pas ce que j'ai pu faire. ça aurait pû être le bon moment pour en parler, pour lui ce que j'ai fait. ce n'était pas glorieux et je m'en veux. je m'en veux encore plus surtout quand je l'entends faire mon éloge. un éloge que je ne mérite pas du tout.   « je n'en sais rien. j'essaye peut-être de te donner la chance d'être heureux avec quelqu'un d'autre. de pouvoir partager plus de souvenirs et non pas des rares moments. tout homme a besoin de sa dose de moments intimes. c'est de la connerie de dire que plus c'est long, plus c'est bon. si ça se trouve, tu n'as plus le même désir pour moi. il n'y a aucun soucis. tu as parfaitement raison, je ne le dis pas mais je le pense très fort .» il voulait me raisonner.  savoir pourquoi je parlais ainsi. pourquoi je le poussais à s'enfuir, à me quitter.  je ne suis pas sereine. même ses paroles n'arrivent pas à m'adoucir.  je ne sais pas pourquoi elle était la seule à pouvoir. c'était peut-être parce qu'on était jumelle et qu'on partageait le même coeur. elle était un côté d'une pièce, moi j'étais l'autre. à deux, on formait la pièce entière.  elle avait toujours les bons mots, les bons gestes. elle savait comment me prendre. elle connaissait mon caractère difficile. elle me connaissait mieux que personne.  elle savait me percer, voir ma fragilité, voir mes points faibles. elle savait qu'il fallait être assez dur avec moi pour que je me mette à parler. il lui arrivait me crier dessus, à me défier même.  ça marchait. ça marchait parce que je m'énervais et ça sortait. je ne pouvais m'empêcher de dire ce que mon cœur pensait.   « je ne t'ai rien caché là, je t'ai dis ce qu'il m'était arrivé. non je ne t'aurais pas rien dit si tu étais rentré plus tard, malgré que tu aurais vu les bleus demain matin. si je te protège car sinon tu vas foncer sur ceux qui m'ont fait cela et je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose, justement tu as assez d'ennuis, pas la peine dans rajouter pour une simple bagarre car j'ai mis mon nez où il ne fallait pas. les avocats ne sont pas toujours appréciés. mais cela aurait été grave, je t'aurais parlé. merci ! » il avoue qu'il  ne m'aurait pas vraiment dit quelques choses si j'étais arrivé plus tard. j'aurais vu les bleus directement. en même temps, ce n'est pas comme moi. quand je rentre avec des bleus ou des écorchures, c'est différent. c'est les risques du métier. les blessures sont devenus une habitude. je peux facilement faire avec, je peux facilement passer par-dessus. un bleu ce n'est rien pour moi. un coup non plus. les criminelles ne sont pas du genre à se laisser embarquer facilement. il faut souvent utiliser la force. c'est pour cette raison que j'essaye d'être en forme, de faire du sport tous les jours. je fais en sorte que mon corps soit en forme. je peux courir après quelqu'un sans m'éssoufler.. « non parce que je connais les truands. je sais de quoi ils sont capables. je veux être sûr que c'est une première fois, je veux être sûre que tu ne t'es pas mis dans le pétrin.  »  je côtoie les truands tout le temps.  je les côtoie constamment. j'espère que Declan ne s'est pas mis dans le pétrin. j'espère qu'il n'est pas aller fouiller dans des endroits qu'il n'aurait pas dû. je sais qu'ils pourraient revenir pour régler son compte. faire en sorte de régler son compte pour qu'il ne raconte rien. s'il a fouillé avec des criminels, il n'y aura pas de marche arrière.  si c'est le cas, c'est le moment d'en parler. parce que c'est maintenant que je pourrais l'aider, pas quand ils seront vraiment après lui.   « tu as fait une connerie ça arrive Dylan, ça aurait pu arriver à ton chef ou à ta sœur. tu étais peut-être fatigué, sous le stress. tu ne fais pas un métier facile surtout quand tu es en infiltration avec des malades. mais il ne faut pas tant vouloir à vie, faut tu fasses le deuil  pour Alex, puis elle ne tend ne veut pas, vous connaissiez les risques. puis la prochaine fois, tu feras attention mais on fait tous des erreurs Dylan même moi en tant qu'avocat j'en fais. » je ne pense pas que ça soit une connerie. ce n'est pas un truc qu'on fait comme ça et qu'on peut rattraper. la vie de ma sœur était en danger et j'ai tout fait foiré. c'est pire qu'une connerie car il n'y a pas de retour possible, on ne peut pas revenir en arrière. je ne peux pas me rattraper, je peux pas essayer de l'effacer.  je n'avais pas le droit d'être fatigué ou en stress. de toute façon, je ne pense pas que c'était le cas. j'ai mal jugé les choses. j'aurais dû faire plus attention, j'aurais dû être plus sérieuse.  on peut pas savoir qu'elle m'en veut pas. je sais qu'elle ne m'en voudrait pas. Alex n'en voulait jamais à personne, même pas à notre père ou à notre grande sœur. elle leurs trouvait toujours des excuses pour être si glaciale, si cruel. elle n'arrivait jamais à voir vraiment le mal. elle le disait elle-même, dans chaque personne il y a du bien. la prochaine fois, je serais seule. je ne veux plus jamais avoir un partenaire. je ne veux plus jamais perdre quelqu'un en mission. seule au moins je serais la seule à me faire tuer. « il n'y aura pas de prochaine fois, Declan. pas de deuxième chance. c'est trop tard. je n'avais pas le droit d'être fatiguée ou stressée. je devais être au top.  j'ai fait l'erreur ultime, l'erreur de non-retour. » quand je suis la maison, j'essaye d'être le plus neutre possible. j'essaye de ne pas montrer à quel point je peux être colérique, je peux être incontrôlable. les gens au commissariat le savent puisque depuis la mort d'Alex, maintes fois je me suis énervée à cause d'une remarque, à cause de regard désolé. je n'aime pas voir de la pitié. je n'aime pas qu'on prenne comme une petite fille. c'est encore pire et ça m'énerve. c'est sortit mais ce n'est pas moins douloureux. il se passe exactement la chose à l'intérieur de moi. je sens la main de Declan sur ma joue. je sens sa chaleur, sa douceur. il glisse sa main dans la mienne entrelaçant mes doigts avec les siens. il veut me montrer qu'il est là, que je peux lui parler, que je n'ai rien à craindre. qu'il ne me jugera pas sur ma tristesse, ma colère, ma douleur. il m'a prit la main de la même façon lors de l'enterrement d'Alex mais aussi lors de l'annonce de la mort de ma mère. il a cette façon de faire qui lui ressemble tellement. « je ne savais pas qu'elle a eu son dernier souffle dans tes bras, c'est pour cela que tu as plus de mal. tu as surement cette horrible image et j'imagine que ça doit être atroce à vivre. mais je ne sais pas si Alex t'a parlé avant de partir mais pour elle, au moins elle est partie en douceur dans les bras d'une personne qu'elle aimait et toi tu comptais plus que tout pour elle. Alex aurait tout fait pour toi. elle est morte dans les bras de sa sœur et ça c'est le point positif pour Alex. pour toi ce n'est pas le cas malheureusement tu ne pourras jamais oublier cela mais tu as été voir un psy ? maintenant je comprends mieux ta souffrance et je peux t'aider à faire son deuil, mais faut que tu me parles Dylan, je suis là pour toi. tu peux te confier à moi, tu peux même t'effondrer et pleurer c'est normal. et tu en as besoin de libérer cette tristesse, tu te sentiras mieux après...» partir en douceur n'est pas vraiment le bon mot pour parler de ce moment. loin de là. Alex n'est pas partit en douceur. elle ne le disait pas mais aux battements de son cœur et à sa respiration saccadée, je savais qu'elle souffrait affreusement. je voulais qu'elle survive, je voulais qu'elle tienne le coup encore quelques minutes le temps que les secours viennent. elle est partit avant que l'ambulance n'arrive. elle me  parlait alors que je voulais qu'elle garde ses forces pour se sauver. elle savait que c'était la fin, elle voulait me parler. me dire de me battre, d'être heureuse. elle a toujours voulu mon bonheur sans jamais arriver à me rendre comme avant. ses paroles sont ancrés en mot, son visage me hante. je n'arrive pas à faire ce qu'elle m'a demandé. je n'y arriverais jamais. normalement après avoir vécu la mort, on doit passer par la case psy. on doit aller parler à l'un d'eux pendant plusieurs heures. cependant, j'ai évité ce moment. je ne veux pas parler à l'un d'eux. ça ne sert à rien et puis il me trouverait certainement instable en refusant que je travaille pendant un moment. ça me fait autant peur que de parler de ma soeur. je ne veux pas qu'on me retire mon job. « je ne suis jamais allé au rendez-vous chez le psy. des rendez-vous obligatoires quand on a une infiltration difficile. je ne veux pas parler à un inconnu. je ne veux pas en parler tout court. elle m'a dit des choses. des choses personnelles que je veux garder pour moi. je ne peux pas en parler Declan. je ne peux m'effondrer ou pleurer. je ne peux pas. » dis-je en ravalant mes larmes, en ravalant ma colère. essayant de rester la plus sereine possible alors que ce n'est pas le cas du tout. [/color]
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Declan M. Hamilton
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MessageSujet: Re: Les ennuis continuent. (PV Dylan)   Les ennuis continuent. (PV Dylan) EmptyMar 10 Fév - 18:20

Les ennuis continuent

ft. Dylan & Declan


« « Dans parlement, il y a parle et ment. » »
J « c'est important pour moi de savoir et que tu saches ce que je veux. on ne peut rien prévoir. on ne peut pas savoir ce qui peut se passer demain. tu as raisons, je ne serais plus là pour voir mais sache que ça ne me plairait pas. c'est ça que tu veux des enfants et un mariage ?  » Elle n'avait pas tort on ne sait pas de quoi est fait demain mais j'avais l'impression quelle aller mourir demain et je n'aimais pas cela. Je sais que quand il y a un mort on dit de faire ses dernières volontés mais refaire ma vie et ne pas me venger en retrouvant ceux qui ont fait ça était au-dessus de moi, je serais obligé de chercher pour réussir à continuer ma vie.

« Je sais à présent ce que tu veux, même si je dois t'avouer que le jour où tu meurs je chercherais jusqu'au bout celui qui ta fait ça je continuerais le combat et quand je serais je ferais mon deuil et là, je pourrais tenter de refaire ma vie. Oui on ne sait pas le futur c'est vrai pour cela qu'il faut profiter à fond de chaque instant de notre vie. Euh bien oui enfin ça fait partie de la vie d'avoir des enfants quand nous sommes en couple depuis plusieurs années, on a envie d'un enfant et se marier même si le mariage je ne sais pas si je suis pour mais enfant oui, mais rassure toi pas maintenant j'ai que 26 ans toi 24 ans on a encore un peu de temps mais dans quelques années pourquoi pas. Mais toi tu n'as pas l'air de vouloir tout cela je me trompe ?»

Je la regarde et je la connais à sa façon de m'avoir demandé cela me surprenais, j'avais dit cela pour dans le futur car là nos vies ne sont pas assez libres pour faire un enfant et Dylan n'a pas le moral depuis le décès de sa sœur. Mais ce n'est pas dans mes projets actuels non plus, beaucoup trop de soucis pour ça. « je n'en sais rien. j'essaye peut-être de te donner la chance d'être heureux avec quelqu'un d'autre. de pouvoir partager plus de souvenirs et non pas des rares moments. tout homme a besoin de sa dose de moments intimes. c'est de la connerie de dire que plus c'est long, plus c'est bon. si ça se trouve, tu n'as plus le même désir pour moi. il n'y a aucun soucis. tu as parfaitement raison, je ne le dis pas mais je le pense très fort .» Je ne comprenais vraiment pas ses paroles, où elle veut en venir ? Qu'est-ce qui se passe d'un coup pour qu'elle fait tout pour que j'aille voir ailleurs. Franchement j'étais complètement larguer dans ses paroles. A force je me pose des questions qui vont me prendre bien la tête dans les jours qui vont venir. Je décide d'être cash comme ça au moins je serait-ce qu'elle veut.

« Dylan je ne sais pas si tu as bu ou tu t'es drogué peut-être pour être comme ça ce soir avec cette conversation morbide. Je ne sais pas pourquoi tu me pousses dans les bras d'une autre. Alors soit il sait passer quelque chose tu as fait une connerie, tu m'as trompé, ou tu en aimes un autre ? Mais si tu veux me quitter faut le dire direct au lieu de me faire fuir avec une autre ? Qui ta dis que je n'étais pas heureux actuellement, je suis bien dans ma vie. Oui j'ai envie de moments intimes avec toi mais les femmes aussi en ont envie il n'y a pas que les hommes. Oh t'es sérieuse là tu doutes de mon désir pour toi ? Pour ton info mon désir n'a pas changé, j'ai toujours autant envie de toi mais quand tu rentres tard avec ta tête de zombie et bien je te laisse dormir et après tout c'est peut-être toi qui ne me désires plus vu que Madame veut me voir dans les bras d'une autre ? Une chose est sur ce soir je t'aurais bien fait l'amour si tu en avais envie, mais là tu m'as coupé l'envie.»

Voilà j'avais était cash mais en colère dont j'avais parlé un peu en haussant la voix, mais là je ne comprenais vraiment pas et maintenant peut-être moi qui ne la désire plus tout est ma faute je croyais rêver. Ce n'est vraiment pas ma journée je me fais taper en sortant de mon boulot et en rentrant ma petite amie me prend la tête et veut m'envoyer dans les bras d'une autre meuf en croyant que je serais plus heureux. Faut que je me calme mais comment c'était la question. Je prends la bière qu'elle avait entamée en rentrant et abandonner dans la chambre que j'avais ramenée, je la bois mais ce n'était pas assez fort une bière. Je vais me contenter de cela pour le moment. « non parce que je connais les truands. je sais de quoi ils sont capables. je veux être sûr que c'est une première fois, je veux être sûre que tu ne t'es pas mis dans le pétrin. » Les truands sont capables de tout là elle marque des points, mais avec tout ce qu'elle venait de me dire ce soir je m'en foutais des truands qu'ils ont ma peau ça m'était égale, même si je fais très attention malgré que dernièrement j'ai fait une connerie mais bon je ne voulais pas qu'elle m'aide j'avais l'impression qu'elle ne m'aimait plus ou je ne sais quoi alors elle n'avait pas à s'inquiéter pour moi.

« C'est la première fois tu ne m'as jamais vu rentrer en sang à part ce soir, on ne ta pas appeler en disant que j'étais à l'hôpital. C'est plutôt toi qui à tout cela. Je ne suis pas dans le pétrin je t'ai expliqué ce qui s'était passé et de toute façon même si j'étais dans le pétrin c'est mon problème Dylan, tu en as assez des problèmes tu n'as pas besoin d'avoir les miens sur le dos.»

J'étais un peu plus dur mais encore sous le coup de la colère après elle. Puis je ne peux pas lui dire que je suis réellement dans le pétrin, je voulais partir en vacances justement pour nous éloigner un peu de toute cette histoire mais elle ne veut pas et bien tant pis on reste et on verra les conséquences si on continue de chercher. Je venais à moitié d'avouer que j'étais dans le pétrin mais ça lui fera les pieds si elle s'inquiète pour moi. « il n'y aura pas de prochaine fois, Declan. pas de deuxième chance. c'est trop tard. je n'avais pas le droit d'être fatiguée ou stressée. je devais être au top. j'ai fait l'erreur ultime, l'erreur de non-retour. » Là je ne suis pas d'accord avec ses paroles elle n'a pas droit de dire ça, l'erreur est humaine et tout le monde fait des erreurs même si là ça coûter la vie d'Alex. Je la regarde et dit plus doucement.

« C'est sûr qu'avec ta sœur, il n'aura pas de deuxièmes chances malheureusement mais des moments comme ça tu en n'aura d'autres, tu vas bien repartir en infiltration et ils vont te remettre quelqu'un avec toi tu ne resteras pas seule surtout en infiltration tu ne peux pas partir seule et tu le sais comme moi. Dylan t'est humaine, un être humain il est normal d'être fatigué et stresser vous êtes tout le temps sur vos gardes, tu n'es pas un robot. Après pour ne plus faire ce genre d'erreur et que tu changes de métier ou tu restes dans les bureaux ce qui est impossible te connaissant tu as besoin de bouger, d'avoir de l'action.»

Des erreurs elle va encore en faire et peut-être qu'il y aura encore des morts ou un de ses collègues feront une erreur, c'était la vie et elle est mal faîte bien souvent, toujours les meilleurs qui partent en premier. Je soutenais Dylan, je voulais la faire parler à tout prix que ça la soulage et je ne savais rien sur la mort de sa sœur à part le minimum que tout le monde sait, je voulais que Dylan se confie j'étais son petit ami et Alex était ma belle-sœur, je l'appréciais on s'entendait tellement bien et à deux on s'unissait pour Dylan. « je ne suis jamais allé au rendez-vous chez le psy. des rendez-vous obligatoires quand on a une infiltration difficile. je ne veux pas parler à un inconnu. je ne veux pas en parler tout court. elle m'a dit des choses. des choses personnelles que je veux garder pour moi. je ne peux pas en parler Declan. je ne peux m'effondrer ou pleurer. je ne peux pas. » Quand j'apprends qu'elle n'a jamais était voir le psy je soupire et la regarde, en même temps elle ne veut pas me parler à moi alors un psy il va rester durant une heure dans le silence.

« Punaise Dylan si tu dois aller voir un psy ce n'est pas pour rien, lui va juger si tu peux pour le moment continuer à travailler tu as peut-être besoin de repos surtout après ce que tu viens de vivre. Et ton chef va finir par le savoir que tu ne vas pas voir la psy et ça reviendra ua même, il va te mettre à pied durant quelques semaines et tu auras tout gagné tu devras rester à l'appartement. Je comprends que ça soit dur dans parler mais ça te soulagerait, un psy c'est là pour ça pour te faire aller mieux. Tu ne veux pas parler à un inconnue donc je suis un inconnu pour toi ? Parce qu'à chaque fois que je tente de savoir le minimum tu dis justement ce que tu viens de dire je ne veux pas en parler. Garde tout pour toi et souffre apparemment, tu adores tellement cela, ça doit t'exciter ce n'est pas possible. Mais arrête de dire que tu ne peux pas c'est dans ta tête Dylan, tu peux t'effondrer il est où le mal de montrer sa tristesse, tu as perdu ta sœur jumelle il faut que tu pleure. Arrête de te cacher sous ta carapace, arrête de toujours vouloir être forte. Depuis qu'Alex est partie je suis là pour toi, pour te soutenir te faire montrer que tu peux te confier mais rien. Et là c'est énervant Dylan, tu ne peux pas parler, tu ne peux pas pleurer, tu fais tout pour que j'aille voir une autre femme, je crois que tu as bien besoin d'un psy et de parler. Mais moi je veux que tu me parles tu as commencé continue mais je ne suis pas une plante verte.»

J'avais encore un peu haussé la voix, mais faut qu'elle parle qu'elle se confie à moi elle doit me faire confiance. Elle est si dure avec ses barrières limite elle est infranchissable même moi je n'arrive pas. Puis je me fais du souci pour elle, j'ai encore plus peur qu'elle fasse une connerie, mais je suis impuissant dans sa souffrance et ça me ronge au plus profond de moi...



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