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Trois tables. Trois couples. Tous différents, tous essayant de passer une bonne journée. Et le repas aide. Surtout dans un restaurant comme celui-là. Pas trop chic, juste assez pour donner l'illusion. D'ailleurs, est-ce une illusion cet homme, arme au poing ? Non, définitivement pas. Certains couples réussissent à s'enfuir, oubliant sacs et vestes autour des tables. Sauf ces trois tables, au fond du restaurant. Devon attrape sa femme, Birdie par le bras et la force à se mettre à terre. Declan et Dylan se retrouvent contre le mur, juste à côté des cuisines. Et la plus proche, Mary, se prend le premier coup. Le nez en sang. Thomas est à côté d'elle, ne lâchant pas des yeux cet individu. "Vous et moi, on va passer un petit moment ensemble. Je bute le premier qui bouge." Son regard se porte sur les six personnes quand entre dans le restaurant un deuxième malfrat.

La soirée devait se passer, comme n'importe quelle soirée, quand on sort avec sa femme au restaurant, une soirée tranquille et agréable. À aborder les moments agréables, à retrouver le couple qu'on avait formé durant un instant, comme si c'était le premier jour, parce que la vie actuelle, nous en donnait très peu l'occasion. Cette soirée devait se passer ainsi en tout cas, pour nous. Birdie et moi, après ces moments d 'éloignement forcé. Mais voilà, les choses ne se passent jamais comme il devrait l'être, avec le temps, on devait bien le savoir. Je ne sais pas ce qui avait attiré mon regard vers l'intrus. Certainement, l'agitation, qui se faisait autour de nous. Mais mon regard s'imposa tout de suite, sur l'arme qu'il tenait. Sans même réfléchir, et peu être avec un manque de délicatesse. J'attrapais la main de Birdie, l'obligeant de rester au sol, pour son bien. Les choses pouvaient tourner rapidement, mal. Et savoir qu'il pouvait arriver quelque chose, restait mon attention première. Le calme devait être la deuxième solution, pourtant l'angoisse s'installer. Le regard rivait sur une solution possible, sans en avoir une. Anticipant ce qu'il pouvait se passer. Pourtant, ma main allait chercher celle de Birdie, un sourire convainquant sur le visage dans un moment aussi critique, face à des menaces. Signifiant que tout allait bien se passer. On n'avait pas vraiment le choix, laissant entrer le deuxième malfrat.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] les enfants chez leurs grands-parents. une soirée sous le signe de l'amour. rien de mieux pour se retrouver en tête à tête avec Devon. on avait besoin de cette soirée de Saint-Valentin. je ne savais pas où allait m'emmener mon fiancé. j'avais sortit le grand jeu en enfilant une magnifique robe noire. je voulais faire plaisir à Devon et je voulais lui en mettre plein les yeux. et que dire quand il m'avait vu descendre l'escalier pour le rejoindre. il me connaissait assez pour savoir que je m'habillais rarement de cette manière. pour moi, rien ne pouvait se passer. le restaurant était très agréable. le moment était excellent. ça faisait tellement longtemps que je n'avais eu un instant où je me sentais bien, où j'avais un peu ses étoiles dans les yeux. j'avais retirer l'une de mes chaussures pour caresser la jambe de Devon en-dessous de la table. je m'attendais pas au pire. je m'attendais pas à ce que notre soirée devienne un véritable cauchemar. pourquoi faut-il que ça arrive encore à nous ? pourquoi ? j'ai encore cette impression que le destin a décidé de m'embêter jusqu'au bout. qu'il ne veut pas me laisser tranquillement. que même avec le retour de Devon, tout va encore de travers.  un frisson me parcourt la colonne vertébrale. je sens Devon attraper ma main pour me faire me baisser. nous sommes dessous la table. mon cœur commence à battre de plus en plus rapidement. j'entremêle mes doigts avec ceux de mon fiancé. pourquoi ses hommes débarquent en ce jour qui normalement est sous le signe de l'amour ? qu'est-ce qu'ils veulent ? « Devon.  » c'est un murmure délicat. ma voix reflète la peur que j'ai. je n'ai pas envie de subir encore les caprices de personnes qui veulent faire peur, qui veulent faire souffrir.  je ne veux pas voir Devon blessé. je plaque mon autre main sur ma bouche pour ne pas crier au moment où je vois cette demoiselle prendre un coup dans le nez. il ne joue pas. il est capable de s'en prendre aux hommes comme aux femmes. « j'ai peur.  » je tremble comme une feuille. je me sens vraiment pas bien. je pense à mes enfants. je pense au faite qu'il faut qu'on se batte pour rester en vie. on n'a pas le droit de les laisser orphelin. c'est dans ses moments que je me rends compte que je suis prête à sortir les griffes, que je suis prête à être méchante. mais voilà qu'un autre homme rentre dans le restaurant. déjà que un, c'est beaucoup mais un deuxième. ça va être un véritable enfer.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Une journée plutôt banale pour un samedi j'avais travaillé ma journée, mais j'avais prévenu Dylan quelques jours auparavant de prendre sa soirée samedi soir, je la connais à fond dans son métier je ne sais pas si elle capte que ça peut être la saint-valentin, même si j'avoue cette fête plus que commerciale mais je voulais faire le geste puis cela nous permettrait de profiter. Je ne peux même pas dire la dernière fois qu'on a était au restaurant. Pour être sûr qu'elle s'en souvient je lui avais rappelé ce matin que ce soir je la veux de bonnes heure à la maison. Une fois la journée passée, je me prépare tranquillement en me mettant sur mon 31. Je laisse la place à Dylan qui était rentrée tôt à mon plus grand bonheur. Je ne voulais pas en faire trop je sais qu'elle a le même avis que moi sur cette fête du 14 février, mais un restaurant c'était bien. Ont finit par arrivée et ce qui est bien c'est que nous sommes à une table du fond on sera plus tranquille. L'endroit était agréable il y avait du monde forcément mais j'avais réservé j'avais pris les devants au cas où. Nous n'étions pas loin des cuisines c'était une belle place. Alors que nous passons un agréable moment quand d'un coup j'entends des cris et les clients partir en fuyant. Je regarde partout autour de moi et je finis par remarquer cet homme pas très commode avec une arme à la main. Je me lève j'attrape Dylan voulant faire comme tout le monde et fuir mais pas possible quand se malfrat nous fait vite montrer que ce n'était pas possible de sortir en pointant son arme contre nous et nous dire de se mettre contre le mur derrière nous. Sans chercher à comprendre j'obéi et je vais contre le mur des cuisines je le regarde quand il donne un coup dans le nez d'une femme, je comprends que ce n'était pas une blague et qu'ils sont prêts à tout. Instinctivement je tiens la main de Dylan, étant flic elle n'a peut-être pas peur mais je veux la protéger et je ne veux pas qu'elle fonce tête baisser comme elle fait d'habitude où elle a peur de rien. Je lui tiens la main pour qu'elle reste à mes côtés. J'essaye de regarder dans les cuisines ou autre peut-être une sortie de secours mais quand je vois un deuxième malfrat entré j'abandonne l'idée et cela ne me rassure pas du tout mais je tente de rester le plus calme possible et de respirer calmement...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] j'ai beau avoir des tonnes de défauts, je sais parfaitement pourquoi Declan a voulu que je prenne ma soirée. même si la saint-valentin n'est pas une fête que j'affectionne et que j'en vois pas trop l'intérêt,  je veux lui faire plaisir. quand il y a avait Alex, je passais chaque fois cette soirée avec elle. c'était une habitude qu'on avait pris depuis notre adolescence. on allait au cinéma se mettant au fond de la salle balançant du pop corn aux couples qui s'embrassaient puis on dévorait de la glace et du champagne dans le parc en faisant de la balançoire. on faisait en sorte d'être à l'opposé des autres. je sors bien plutôt du travail. et je ne suis pas la seule. alors que Declan sort le grand jeu, je reste plus soft. il ne faut tout de même pas trop m'en demander. je suis bien habillé, pas au point de sortir la longue robe noire mais la tenue colle à mon caractère. ça me fait bizarre d'être installer à cette table. c'est calme, c'est serein, c'est romantique. je ne peux m'empêcher de faire bouger ma jambe. je ne suis pas du genre à rester assise sur ma chaise des heures. tout se déroule à une vitesse folle. des cris, des fuites, Declan qui prend ma main pour nous faire sortir. impossible. on se voit obliger d'être contre le mur.  j'étudie tout mon environnement, j'étudie l'homme. je fais en sorte de savoir comment je peux faire en sorte de jouer mon rôle de flic. une femme se prend un coup dans le nez. cet enfoiré va le regretter pour avoir fait ça. surtout que cette fille n'a rien fait pour le contrarier. la violence gratuite, ça me répugne. Declan a toujours ma main. je sais ce qu'il essaye de faire, il ne veut pas me voir jouer les héros. c'est trop dur de ne rien faire. « j'ai une arme dans mon sac à main. ne fais pas cette tête, je la prends toujours au cas où. et on dirait que j'ai bien fait.  » je lui murmure doucement afin que les deux hommes ne nous entendent pas. et oui, il fallait que j'en emporte un. comme je voulais pas que Declan le voit, je l'ai planqué dans le sac que j'ai pris. un  petit pistolet qui passe n'importe où. mon sac est sous la table à l'endroit où nous étions, il y a quelques minutes. je veux que Declan s'en serve si tout s'accélère et que ça devient dangereux. au moins, il est courant. « je peux essayer de me faufiler dans les cuisines pour faire le tour et les prendre à revers.  » les cuisines mènent toujours vers une porte à l'extérieur. le restaurant ne doit pas déroger à la règle. si j'arrive à passer par les cuisines, je peux arriver dans le rue pour appeler des renforts et faire en sorte de prendre les deux malfrats à revers. je ne veux pas qu'ils puissent faire encore du mal à quelqu'un. je fais partit de la police, il faut bien que je fasse quelque chose. j'ai l'habitude des situations critiques. j'ai l'habitude d'être dans le pétrin. je ne suis pas stressée ou paniquée. mon cœur bat normalement.

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le deuxième malfrat est bien plus dur, bien plus hargneux. on voit dans son regard qu'il n'est pas prêt à rigoler.  alors que le premier ne faisait que frapper Mary au visage, le deuxième l'attrape par les cheveux.  la tirant à travers les cuisines du restaurant pour l'enfermer dans la chambre froide. Thomas ne voulant pas la laisser seul, se retrouver avec une arme sur la tempe. il n'a pas d'autres choix que d'aller au même endroit que Mary. il n'en reste plus que quatre. 'téléphones, bijoux, argent, porte-feuilles. je veux tout voir sur la table. ' crie le premier en regardant Devon afin qu'il fasse le regroupement des affaires et pour montrer il attrape Birdie par le poignet la collant contre lui avec une arme sur la tempe.   ne jamais croire qu'on n'est tranquille. le deuxième entend les paroles de Dylan  'ta gueule' lui crache-t-il après lui avoir asséner dans le ventre qui la fait tomber au sol. il regarde Declan d'un regard noir en n'oubliant pas de mettre une petite touche d'arrogance prouvant qu'il est prêt à tout.

Le choses se compliquaient avec l'apparition du deuxième homme. Un seul, c'était toujours possible d'agir, deux cela sembler un peu plus compliqué. Surtout qu'il avait l'air, plus menaçant que le premier. Toutefois, cela ne m'empêchait pas de regarder et d'analyser ce qui se trouver autour de moi. La soirée avait si bien commencé, une compagne magnifique, un environnement adéquat, il n'y avait rien à rajouter. Qu'il fallait qu'un événement vienne perturber cet instant. La panique se sentir chez Birdie, un sentiment des plus normal, que j'essaie de combler en lui serrant la main, mon regard de compréhension rivait vers elle. Les risques étaient présents, beaucoup trop pour tenter quoique ce soit sans, blesser une ou plusieurs personnes. Ce qui n'était pas le but. Rien qu'à la violence des coups portaient, ils étaient prêts à avoir ce qu'ils voulaient par n'importe quel moyen. Une de mes mains passait sur le visage de Birdie pour la rassurer, comprenant sa peur. Surtout dans cette situation. Ce n'était pas vraiment, mon cas, parce que j'avais connu pire situation durant mes missions. Mais la peur n'évitait pas le danger. Un murmure s'insinua entre mes lèvres, sans attirer l'attention des ravisseurs. « Tout se passera bien ! » Un léger sourire tendre marquait les paroles que je venais juste de prononcer. Pour reprendre un visage fermé et concentrer. Comme à chaque fois, on pense à beaucoup de choses dans ces moments-là. Sa famille, ces enfants... Un geste et tout pouvait se finir. Je ne pensais pas vraiment à moi, mais plutôt aux personnes qui étaient embarquées dans la même situation. Le but n'était pas de tous se faire tuer, mais d'agir intelligemment. Le but n'était pas de tous se faire tuer, mais d'agir intelligemment. Pour enfin revenir. Un des menaçants indiqua ce qu'il voulait exactement. Bien sûr, rien de bien surprenant, tous objets précieux qu'on aurait pu avoir, pour cette soirée, toute en s'adressant à moi. Un geste en avant, s'empara de moi, quand il prit Birdie entre ces bras, le menaçant de son arme. Je lui aurais certainement sauté dessus, si ma crainte qu'il la blesse ne m'avait pas arrêter. Tout ce qui concernait sa sécurité, n'importait beaucoup. La colère et la résignation s'insinuaient en moi, serrant la mâchoire. Prêt à obéir à ce qu'il pouvait me demander pour la sécurité de Birdie. Un autre coup fut donné à une autre jeune femme, simplement pour qu'elle se taise. Ce qui amplifia cette colère, cette puissance qu'ils arboraient alors qu'au fond, il en était rien. Je récupérais les affaires, regardant les personnes qui restaient, pour enfin ne pas lâcher des yeux Birdie et le homme qui la menacer.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] la peur emplit tout mon corps, tout mon être. c'est dur de se contrôler, c'est dur de se dire qu'il ne faut pas craquer. parce que la seule chose que j'ai envie de faire, c'est de m'effondrer et de pleurer. c'est de laisser cette détresse, cette peur qui me prend jusqu'au plus profond de mon corps. mais je ne peux pas. je ne peux pas laisser cette peur prendre le dessus. je dois être assez forte pour me contrôler, pour penser aux jumeaux, pour penser à Devon. ils ont besoin de moi. je dois me battre pour rester en vie, je dois me battre pour continuer à être une mère, une fiancée, une femme. ces vermines ne méritent pas ma peur. ils ne méritent rien de moi. ils disent enfin quelques choses sur leur intention. des bijoux et des conneries, ils braquent un restaurant le jour de la saint-valentin pour ça. des misérables. ce n'est pas avec moi qui vont se faire grand chose. je n'ai aucun billet dans mon portefeuille, je ne porte aucun bijou de valeur. je n'ai que mon portable, pas un truc dernier cri. je me suis jamais attardé sur les objets de luxe. je voyais trop le luxe dans notre famille et j'ai jamais aimé ça. c'est de l'excès. ça n'apporte rien dans la vie. la preuve, notre famille n'était pas si heureuse quand on creusait un peu plus profond. « s'il vous plait, prenez tout et laissez nous partir . » ne puis-je m'empêcher de dire. je ne suis pas du genre à quémander de la clémence. seulement, je veux essayer ce chemin pour voir si ça peut nous permettre d'être tranquille, si ça peut permettre qu'ils nous laissent tranquille. mais apparemment, ils sont de plus grand projet. je ne peux m'empêcher de pousser un cri quand l'un des malfrats m'attrape. il me plaque contre lui. il me plaque cette arme sur la tempe. ça me dégoute cette proximité avec lui. je n'aime pas le sentir derrière moi aussi proche. je regarde Devon. c'est comme un appel à l'aide. je ne veux pas mourir ce soir. je veux retrouver mes enfants, je veux les prendre dans mes bras. si je le pouvais, je ferais quelque chose. je regarde l'autre couple. il me semble que la demoiselle fait partit de la police. je n'en suis pas sûr mais si c'est le cas, elle peut faire quelque chose, elle doit faire quelque chose.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tous les ans je ne fête pas la Saint valentin car Dylan était avec sa sœur à le passer à deux c'est étrange mais ça ne me déranger pas je n'aimais pas cette fête commerciale et je pouvais avoir Dylan tous les autres jours de l'année et fêter la saint valentin le lendemain ou mois d'août, c'est original mais ça prouve mon amour. Mais cette année Alex n'est plus parmi nous et j'ai voulu faire comme tout le monde, comme tous les amoureux, mais quelle idée j'ai eu, j'aurais fait mieux de travailler où faire un repas à la maison. Enfin pour maintenant c'était trop tard j'étais là au restaurant avec des malfrats où en voyant le second entrer ne me rassure pas il a l'air encore plus fou que le premier. Mais avec deux malfrats ça va être difficile de tenter quelques choses même pour Dylan. Quand je vois qu'il attrape cette pauvre femme par les cheveux pour la mettre dans la chambre froide je trouve ça immonde, elle ne pourra pas rester des heures dans une chambre froide. L'autre pointe son arme sur la tempe de l'homme. Je réfléchis à une solution mais là, je n'en avais pas surpris par les évènements je vois ça à la télé mais jamais ça m'était arrivé en vrai. Pendant ce temps Dylan me parle qu'elle a une arme dans son sac à main je la regarde étonner, elle a toujours une arme sur elle jour et nuit. Elle n'a pas tort de l'avoir ce soir même si sans servir risque d'être difficile contre deux malfrats on ne fait pas le poids. Elle veut ensuite tenter de se faufiler dans les cuisines et je ne suis pas pour en voyant de quoi ils sont capables, je fais un non de la tête et murmure. « Non ils sont deux ils vont te griller directement. Et ils ne nous lâchent pas du regard c'est mission impossible.» . Ensuite un malfrat demande de ramasser nos affaires je me demande ce qu'ils ont dans la tête car pour avoir quelques bijoux, portable et argent, séquestrer des gens n'en vaut pas la peine. C'est pas une banque non plus puis ils ont laisser partir des clients faut esperer qu'il appelle les flics. Et l'autre prend l'autre femme et la menace avec son arme sur la tempe. Je donne ma montre et ma porte-feuille et tente de garder mon portable sur moi il est dans ma poche de ma veste ça ne se voit pas, il peut servir à appeler les flics un à moment donné. Mais un des malfrats se met à taper dans le ventre Dylan et lui crier dessus, alors là il va le regretter il ne sait pas qui il vient de taper. Il me regarde avec son regard noir avec une touche d'arrogance, je le fixe du regard un peu en colère qu'il est touché Dylan et quand je réfléchis il touche que des femmes, je finis par dire à ce malfrat.« C'est faible de s'en prendre à des femmes.» C'était sorti tout seul mais c'était ignoble de voir ça, encore deux qu'ils ont rien dans le pantalon enfin c'est ce que je pensais. Je baisse mon regard pour voir Dylan par terre, je m'accroupis pour être à la hauteur de Dylan en murmurant. « Ça va aller.» Je dois m'inquiéter plus pour elle qu'elle s'inquiète elle-même mais je déteste qu'on s'en prend à elle ou là voir blesser ou taper, je reste près d'elle...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je déteste qu'on violente quelqu'un. ça me rappelle trop de souvenirs. quand je vois la violence de l'homme, j'ai l'impression de revoir le paternel refaire la même chose avec maman. j'ai l'impression de revenir en arrière. de redevenir cette gamine qui regardait sans pouvoir agir. je ne veux plus rester de marbre. je ne veux plus voir un homme poser la main sur une femme. ma tête est en ébullition. j'essaye de chercher une alternative. un bon point, Declan sait que j'ai une arme dans mon sac. je m'imagine déjà un plan. Declan dit que je ne peux pas passer par les cuisines, qu'ils vont m'attraper. j'ai fait pire que ça. je suis capable d''être assez rapide pour leur filer entre les doigts. c'est quitte ou double. parfois, il faut savoir prendre des risques pour le bien de tous. le temps est compté pour le couple qui vient de finir dans la chambre froide. ils ne tiendront pas des heures entières dans le froid. « je ne peux pas rester sans rien faire. » il veut nos objets. là, je pense tout de suite à mon arme. il suffirait qu'il voit mon sac sous la table et c'est bon, ça sera capoute. il faut que j'essaye qu'il ne regarde pas en-dessous, qu'ils soient assez aveugles pour ne pas le voir. alors que je m'y attends pas, je prends un coup dans le ventre. je monte au sol. je dois dire que la douleur est minime. j'ai eu le droit à bien pire que ça. ce n'est qu'un petit coup de rien du tout. je reste quelques secondes sur le sol. je veux faire semblant que je ne suis pas si forte que ça. je veux en quelque sorte les piéger. s'il me croit faible, ils ne me croiront pas capables de les avoir. et oui, parfois il faut savoir jouer un double jeu. « ça va. » dis-je en regardant Declan. je me redresse faisant comme si j'avais encore mal. du faux. je regarde l'autre homme avec l'arme sur la tempe de l'autre demoiselle. c'est affreux. je sais la sensation que ça peut procurer d'avoir une arme sur la tempe et de s'imaginer le pire. on se demande si ce sont nos dernières minutes. on se demande si on va finir comme ça. on pense à ceux qu'on aime. on pense aux choses que nous n'avons pas faite. on pense à nos erreurs, à nos envies, au passé, au futur, au présent. c'est une soirée dont je vais me rappeler longtemps. une autre bonne raison de pas fêter la saint-valentin. je regarde l'homme dans les yeux. . « allez-y frapper moi. j'ai l'impression que ça vous plait de frapper des femmes. » s'il me frappe moi, il ne s'en prendra pas aux autres. c'est moi qui aura le droit à toute la misère. je peux supporter les coups. je peux les encaisser. j'ai été formé pour supporter la violence physique ou psychologique, et mon passé n'a fait que me rendre encore plus forte là-dessus.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les malfaiteurs n'étaient pas là pour gagner le pactole. Le groupe voulait simplement faire réagir, montrer que le bonheur n'existait pas et encore moins en ce jour. Ils crachaient sur la saint Valentin et les bons sentiments, ils se moquaient de tous ceux qui croyaient au grand amour. Récupérer leurs téléphones était nécessaire, les bijoux et l'argent, un moyen de contrôler la situation. Quand Dylan se releva pour faire face à l'homme, il sourit froidement puis la frappa si fort qu'elle en tomba sur le sol, crachant du sang. Et Declan n'eut pas le temps de réagir qu'une balle se logeait juste en dessous de son poumon droit, ratant de près l'organe. "On ne rit pas ici." Et pour accompagner ces paroles, il attrapa Birdie par les cheveux tandis que l'autre était parti chercher Mary. L'un des hommes installa deux chaises dos à dos et attacha les deux filles grâce à des liens en plastique. "Le premier qui fait un geste qui ne me plait pas, elles sont mortes toutes les deux."