birdie ≈ l'amour tu vois, c'est comme l'oxygène, si on en manque trop longtemps, on finit par en mourir.
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Birdie-Reeley O. Hartley
bienvenue à sunset dream
MY HEART BELONGS TO YOU.
L'amour est toujours passion et désintéressé. Il n'est jamais jaloux. L'amour n'est ni prétentieux, ni orgueilleux. Il n'est jamais grossier, ni égoïste. Il n'est pas colérique. Et il n'est pas rancunier. L'amour ne se réjouit pas de tous les péchés d'autrui. Mais trouve sa joie dans l'infinité. Il excuse tout. Il croit tout. Il espère tout. Et endure tout. Voila ce qu'est l'amour.
Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre. Mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.
Sujet: birdie ≈ l'amour tu vois, c'est comme l'oxygène, si on en manque trop longtemps, on finit par en mourir. Dim 7 Oct - 17:02
birdie-reeley olympe hartley
J'ai peur de m'attacher de souffrir à nouveau, j'ai beau avoir panser ces vieilles blessures lorsque l'on me parle de sentiments je deviens muette. Ma tête me dicte une chose et mon coeur une autre, j'ai envie de tout recommencer et ne pas être paralysée par la peur d'aimer.
nom ◈ on a souvent rigoler de mon nom de famille. Hartley, ça fait penser à coeur. ça m'a toujours fait rire. prénoms ◈ je n'ai pas un prénom bien commun. on attend pas des Birdie-Reeley à tous les coins de rue. je ne saurais dire pourquoi ce prénom et comment. une chose est sûre, je n'ai jamais détesté mon prénom. Olympe, c'est une idée de maman qui a toujours aimé la Grèce et sa mythologie. surnom(s) ◈ Birdie. Reeley. ou encore Little Bird. âge ◈ vingt-trois ans et toutes mes dents. date de naissance ◈ quinze septembre. lieu de naissance ◈ Sydney (Australie). nationalité ◈ je suis américaine depuis mes seize ans. origine(s) ◈ je suis australienne du côté de mon père et bulgare du côté de ma mère. occupation ◈ danseuse professionnelle et professeur de danse.. orientation sexuelle ◈ hétérosexuelle. caractère ◈ douce, sportive, têtue, passionnée, curieuse, fragile, sensible, drôle, souriante, franche, impulsive. statut ◈ fiancée. groupe ◈ pampers. avatar ◈ nina dobrev.
someday never comes
vient d'une famille très riche qui font très attention aux apparences et aux rumeurs + raffole du chocolat, nutella et m&ms. + ne commence jamais une journée sans faire son footing. + quand elle va mal, elle se réfugie dans la danse. + connait les dialogues du film "le temps d'un automne" par cœur. + la plupart du temps elle se montre forte et souriante alors qu'elle souffre. + a horreur de porter des talons aiguilles et des robes. elle se sent mal à l'aise et comprimée. + elle adore les chats. elle en a même un qu'elle adore plus que tout. + quand elle perd une personne, elle a tendance à plonger dans l'alcool. elle déteste ça pourtant elle n'arrive pas à se contrôler surtout qu'elle ne tient pas l'alcool. + elle avait trois ans, la première fois qu'elle a sû qu'elle voulait devenir danseuse. elle avait vu cette vidéo et pouf, c'était son plus grand rêve. + elle aimait parcourir le monde, découvrir des pays, des civilisations. parfois elle regrette de ne plus pouvoir le faire. + elle n'a honte de rien. elle a ce côté enfantin. + elle ne croit en rien. elle préfère ça, au moins elle ne sera pas déçu. + elle a longtemps pensé que l'amour n'était qu'une connerie et qu'elle n'aurait pas le droit à être amoureuse une deuxième fois. + elle aime s'amuser. elle aime rire. + elle a peur des araignées et des serpents. elle a la phobie des clowns. et elle est incapable d'être en hauteur. +
quand on parle de bébés, qu'est-ce que tu fais ? ◈ écrire ici. que penses-tu de Sunset Dream ? ◈ écrire ici. un membre de ta famille viens de mourir. sur son testament, tu es la personne qui doit s'occuper de son enfant. accepterais-tu ? ◈ c'est une grosse responsabilité. pourtant, je ne me vois pas dire non. je ne me vois pas rejeter mon propre sang. je n'abandonnerais jamais un enfant dans une famille d'accueil et encore moins si c'est celui de mon frère ou de ma sœur. serais-tu capable de tout abandonner pour ta famille ? ◈ j'en suis parfaitement capable. ma famille est ce que j'ai de plus cher. j'adore chacun de ses membres plus que tout. je ne pourrais jamais vivre sans ma famille. donc s'il fallait que je parte à l'autre bout du monde, je le ferais. qu'importe l'endroit, l'essentiel est qu'on est ceux qu'on aime avec nous.
▸ pseudo ou prénom
présence ◈ écrire ici. où avez-vous connu BAB ◈ écrire ici. code du règlement ◈ écrire ici.votre personnage ◈ écrire ici. ( dire si c'est un scénario et de qui ; ou sinon mettre inventé ) chose(s) à changer sur le forum ◈ écrire ici. mot de la fin ◈ écrire ici.
Code:
[b]Nom de la Star[/b] ⊱ nom du personnage tout en minuscule
Dernière édition par Birdie-Reeley O. Hartley le Sam 23 Aoû - 11:24, édité 21 fois
Birdie-Reeley O. Hartley
bienvenue à sunset dream
MY HEART BELONGS TO YOU.
L'amour est toujours passion et désintéressé. Il n'est jamais jaloux. L'amour n'est ni prétentieux, ni orgueilleux. Il n'est jamais grossier, ni égoïste. Il n'est pas colérique. Et il n'est pas rancunier. L'amour ne se réjouit pas de tous les péchés d'autrui. Mais trouve sa joie dans l'infinité. Il excuse tout. Il croit tout. Il espère tout. Et endure tout. Voila ce qu'est l'amour.
Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre. Mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.
on nous parle du bonheur de vivre. de la joie de se réveiller heureuse ou amoureuse. mais à aucun moment, on vous va dire que c'est dur, que chaque jour c'est une bataille. que le bonheur se gagne avec difficulté, avec beaucoup de force que parfois, nous n'avons pas. ainsi, on nous ment pour prouver qu'on peut être heureux.
chapitre 1. Elle est là face à moi, celle qui me connaît par cœur, celle qui traverse les années à mes cotés. Elle connaît mes peines, mes envies, mes rêves. Elle est mon journal intime, la sœur que je n’ai jamais eu. Elle forme un tout, un tout que je ne me vois pas perdre. Nous sortons de la cafétéria. Notre prochain cours est dans quelques minutes, le temps de passer à notre casier. J’ouvre la porte, pose mes livres du matin. « Tu sais quoi. Tout à l’heure en cours d’histoire, Angela m’a dit que le professeur d’art se taper une étudiante. A ce qu’il parait, c’est une pop-pom girl. Ça ne m’étonne pas, ces filles sont de vraies allumeuses. » Je souriais. Emily a toujours une très grande bavarde et surtout commère. Elle est toujours au courant de toutes les rumeurs même les plus folles. Parfois, c’est même elle qui les lance. Ce qui me fait bien rire. « Heureusement que je ne suis pas pom-pom girl parce que j’aurais les oreilles qui sifflent. » dis-je en plaisantant et en refermant mon casier. « Toi pom-pom girl, jamais de la vie. Tu es danseuse, B. la meilleure. » « Non, c’est faux. Je bosse dure mais je ne suis pas la meilleure. » Un cri. Puis il eut le mien quand le tee-shirt jaune d’Emily prit une teinte rouge. Elle chavira à l’avant. Je n’eu pas la force de la tenir que je tombais avec elle. sa tête callait sur mes jambes, je lui touchais les cheveux en criant « à l’aide ». J’entendais à nouveau des cris et des coups de feus. Des gens couraient alors que moi, je restais là. « Tout va bien se passer Emily. Tu es la fille la plus forte que je connaisse. » Une larme roula sur ma joue et tomba sur la sienne. Elle se forçait à me sourire. Je ne voulais pas la perdre. Je restais près d’elle ne voulant pas la laisser seule ici. Je préférais être à sa côté attendant les secours. Ils allaient venir. ils ne pouvaient pas, ne pas intervenir. « J’ai froid. je crois qu’il est temps pour moi. » «Non, bats-moi Em’. Ils vont arriver. Emily. Non. Emily. Emily. » Je la secouais doucement. Puis je devins plus brutale. Je voulais qu’elle se réveille. Mais elle ne le fit pas. Elle était morte sur le sol froid et immonde de ce lycée. Je me levais courant dans les couloirs cherchant des réponses à ce qui venait de se passer. Ma course s’arrêta nette quand en face de moi, je trouvais un garçon muni d’un pistolet. Il pointa son arme sur moi, me regardant droit dans les yeux. «Vas-y, tue-moi. Fais-le comme tu as fait avec ma meilleure amie. Tu devrais avoir le courage de le faire en me regardant droit dans les yeux. » Je m’approchais de lui de plus en plus ne baissant pas le regard. Je voulais l’affronter. J’étais entrain de me mettre en danger. Seulement, ça n’avait aucune importance pour moi. J’avais perdue ma meilleure amie. Et mourir ici, était une chose que j’étais prête à subir. « Alors on a pas ce courage. Tu n’es qu’un faible incapable de se battre. » un policier se trouvait derrière lui. Le jeune homme commença à appuyer sur la cachette. Il n’eut pas le temps de tirer que le policier lui logea une balle en plein cœur. Il tomba au sol lourdement, mort. Je m’approchais de son corps et puis je vins lui mettre un coup de pied puis deux, continuant en lui criant : « enfoiré. Sale c*** » ça n’allait pas faire revenir Emily mais ça me libérait un peu. Il avait une lettre disant qu’il faisait ça parce que cette fille n’avait pas voulu être sa cavalière pour le bal de la semaine prochaine. Il avait tué des personnes innocentes – cinq victimes et dix blessés- juste pour une histoire de fille et de bal. Emily était morte à cause de ça. J’aurais pû continué toute la nuit mais la police me stoppa avant que je tombe à bout de force.
chapitre 2.On peut dire qu’être à l’académie de danse de Sydney, c’est une certaine pression. Et surtout quand vous avez seize ans et l’envie de vous amusez, de découvrir des choses. Enfant, j’étais calme et douce. La parfaite jeune fille. Puis voilà que je perds ma meilleure amie. Alors oui, je veux profiter de cette vie si fragile et si courte. C’est pour cela que je n’ai pas dit non à des copains de l’académie. Une soirée de folie m’ont-ils promis. Le genre de soirée que je ne connais pas. « Tu es sublime Birdie, tu devrais t’habiller plus souvent comme ça. » déclara mon partenaire de danse, Winston, en me voyant arriver. Le plus souvent, j’étais en habit de danse m’entrainant des heures et des heures. Alors j’oubliais de prendre le temps de bien m’habiller. « Arrête de me regarder comme ça. J’ai l’impression d’être une poupée. » rigolais-je en attrapant son bras. Beaucoup d’étudiants de l’académie sont des gosses de riches. Et je ne déroge pas à la règle des parents riches. Par contre, je ne le montre jamais ; ne voyant pas l’intérêt de le crier sur tous les toits. Les heures défilent sans que je me rende compte. Je suis déjà à mon deuxième verre d’alcool, on peut dire que ça monte bien à la tête ne buvant jamais une goutte. Seulement, deux filles sortent de leur sac une poudre blanche. Elles prennent chacune une dose puis mette la chose devant moi. « Euh…euh non merci. » Je me lève quand Winston me tire pour me faire rasseoir. « Allez. On s’amuse ce soir, tu ne vas pas faire ta timide. » il me tend la poudre et je l’aspire. Je sens ma tête commencé à partir. Il pose sa main sur ma cuisse la remontant doucement. Il m’embrasse. Je ne dis rien. je me contente de me laisser faire. Je rigole, il rigole. Puis j’en prend à nouveau. Il m’attire vers un couloir. Vers les chambres. Je me sens mal. Je chute au sol et mon corps commence à faire des soubresauts. Après ce fut le trou noir.
Je me réveillais sur un lit dans un endroit inconnu. Je m’essuyais la bouche et me redressais sur le lit m’apercevant que j’étais nue. J’attrapais un drap que j’enroulais autours recherchant mes affaires. Il faisait encore nuit et j’entendis une porte claquée. « Birdie ! BIRDIE ! » La voix de ma mère. Elle entra dans la pièce où j’étais. Elle s’approcha de moi et me colla une claque. Je me frottais la joue. C’était la première fois qu’elle le faisait. « Mais... » commençais-je avant qu’elle me coupe la parole. « Un garçon est arrivé à la maison me disant que tu avais faillit faire une overdose. Il m’a dit que tu te trouvais ici dans un sale état. Birdie qu’as-tu fait ? » Je me retournais pour enfiler mes affaires que je venais de retrouver sur le sol. Maman vint avec un mouchoir m’essuyer le visage et le noir que j’avais autours des yeux. « ça fait plusieurs jours qu’avec ton père, on pense à partir de Sydney. Avec ce qui vient de se passer, je crois vraiment que c’est la meilleure chose à faire. » Je fermais les boutons de mon pantalon noir choquée par cette nouvelle. « Une seule bêtise et voilà. C’est dégueulasse, je ne veux pas arrêter la danse. Tu sais très bien que c’est ma vie, Maman. » Des larmes commencèrent à couler sur mes joues. La danse était ma raison d’être. Dès que j’entendais la musique, j’avais cette sensation de revivre, d’être moi. et ils voulaient m’enlever la seule chose qui me raccrochait au monde. Elle posa ses mains sur mes joues me relevant la tête en essuyant mes larmes avec ses pouces. « Ma puce, tu n’abandonneras pas la danse. L’école de danse de Santa Barbara a accepté ton dossier, c’est une bonne école. » Je n’en revenais pas. Mes parents avaient fait ça dans mon dos. Et en plus, ils choisissaient les Etats-Unis. Ça ne m’aurait pas dérangé d’aller à New-York ou Los Angeles, mais non il fallait que ça soit une ville de Californie.
Dernière édition par Birdie-Reeley O. Hartley le Ven 22 Aoû - 23:54, édité 12 fois
Birdie-Reeley O. Hartley
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L'amour est toujours passion et désintéressé. Il n'est jamais jaloux. L'amour n'est ni prétentieux, ni orgueilleux. Il n'est jamais grossier, ni égoïste. Il n'est pas colérique. Et il n'est pas rancunier. L'amour ne se réjouit pas de tous les péchés d'autrui. Mais trouve sa joie dans l'infinité. Il excuse tout. Il croit tout. Il espère tout. Et endure tout. Voila ce qu'est l'amour.
Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre. Mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.
quand on pense avoir trouver le bonheur, et bien, on vous l'arrache de force. je ne croyais pas au destin mais parfois, j'ai l'impression que le mien a été écrit dans le sang.
chapitre 3. Une soirée comme les autres. Devon et moi étions dans la voiture pour retourner à la maison. Une soirée en amoureux rien que tous les deux. Pas de drames. Du moins, il ne devait pas en avoir. Ma tête appuyée contre le fauteuil, je regardais Devon concentré sur la route. J’aimais le voir ainsi, et pouvoir voir la petite ride qui se formait entre ses yeux. Je souriais. Dire que j’allais épouser cet homme. Quel merveilleux cadeau ! Ma tête ne faisait que me dire qu’il suffisait d’un chien pour faire en sorte que deux personnes se rencontrent et trouve le bonheur dans les bras de l’autre. Même si je ne regrettais en aucun cas d’avoir dire oui lors de nos fiançailles, j’avais tout de même cette peur de le voir un jour quitter ma vie. Peur que notre histoire d’amour se termine et qui plus est, se termine mal. Il tourna la tête vers moi avec sa bouche à croquer, son regard merveilleux. « J’ai quelque chose ?» « Non, j’aime seulement te regarder. » On se mit à rire et je posais ma main sur sa joue pour la caresser doucement. Il posa ses lèvres sur les miennes ne regardant pas la route pendant quelques secondes. Des phrases explosèrent dans le véhicule et se fut le choc. Ma tête heurta violement le pare-brise et mon corps fut propulsé en dehors de la voiture. Je n’avais pas encore perdue connaissance. « Devon» murmurais-je avant de fermer les paupières m’apprêtant à avoir un long sommeil.
Son corps inerte jonché le goudron froid et morne de la rue. Le camion qui les avait percutés n’avait même pas arrêté sa course, s’enfuyant en laissant deux personnes. La sirène hurlante raisonna dans le calme de la petite route qui menait vers Sunset Dream. Heureusement que cet homme avait appelé les secours. Deux hommes se mirent au-dessus de la jeune femme. Elle était inconsciente, saignée de la tête et son rythme cardiaque était lent. Sur le brancard, elle partit pour l’hôpital de Santa Barbara. La douce demoiselle passa deux heures au bloc et en sortit vivante. Vivante un grand mot. Deux parents à son chevet regardaient leur fille au teint blanchâtre et terne. Elle ressemblait à Blanche-Neige dans son cercueil de verre. Le docteur entra dégageant cet air assimilait pratiquement à la mort. Un air qui s’accordait à merveille avec l’endroit. « Votre fille est dans le coma. Nous ne savons quand elle se réveillera. Ça peut être quelques jours, des mois ou bien jamais. La patience va être de mise. Je suis désolé. » le père consolait sa femme en pleurs qui elle, serrait la main de sa fille. « Nous n’avons rien dit à son fiancé. Je pense que c’est mieux, si ça vient de vous. » lança le médecin en fermant la porte de la chambre laissant des parents malheureux avec des envies de meurtres pour l’homme au volant du camion ayant percuté la voiture de leur fille.
chapitre 4. Je pouvais enfin bouger mes paupières. je pouvais afin sortir de ce monde sombre et revenir vers la lumière. je ne voulais pas partir si tôt, je ne voulais laisser ceux que j'aime dans le brouillard. je m'habituais lentement à la lumière. c'était horrible. trop forte. « Ma puce. » la lumière était trop forte pourtant je voyais très bien la personne en face de moi. Le seul problème, c’est que je voyais pas qui c’était et pourquoi il venait de m’appeler ma puce. une sorte de panique commença à s'emparer de moi. je ne voyais pourquoi il me parlait ainsi, je ne voyais pas comment j'ai atterris ici. le flou. « je suis content de te voir. » il me regardait en souriant. pourquoi ce sourire ? apparemment, j'étais dans le coma. comment ? pourquoi ? la dernière chose que je me souviens, c'est d'être aller à une représentation et d'avoir fêter ça avec le reste du groupe. « Où est-ce…. » Une femme était là. Un médecin. Elle me dit que ça allait aller et m'expliqua la situation. L’accident de voiture et le fait que j'ai été inconsciente pendant un mois. un mois ? un accident de voiture ? je me rappelle pas de cet accident. je me rappelle pas. « comment tu te sens ? » « J’ai mal à la tête. » dis-je directement. une douleur me transpercait la tête dans toute la largeur. l'homme regarda le médecin qui lui répondit que c’était normal. Elle commença à partir pour aller chercher des médicaments « Il y a eu d’autres blessés docteur ? » demandais-je en regardant l'homme. si j'avais eu un accident, c'était sûrement en étant revenu avec mes amis. il me regarda choqué. qu'est-ce que j'avais dit de mal ? « Tu sais qui je suis pas vrai ? » « Oui, vous êtes mon docteur. » il s'approcha vers moi. son visage semblait triste. je le regardais et ne voyais aucune blouse. s'il était pas médecin qui était-il ? « Je suis ton fiancé. » je me mis à trembler, à regarder de partout autours de moi. fiancé ? non. ça ne pouvait pas être possible, ça faisait pas longtemps que j'avais quitté Jaiden. je ne pouvais pas aussi rapidement retrouvé un homme surtout me rappelant l'étant dans lequel j'étais. « Birdie. » Il se rapprocha un peu plus près de moi voulant poser sa main sur la mienne mais je la reculais. Il laissa tomber sous le choc. Je levais ma main voyant la bague qui ornait ma main. La bague de fiançailles. c'était donc vrai....
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birdie ≈ l'amour tu vois, c'est comme l'oxygène, si on en manque trop longtemps, on finit par en mourir.