nom ◈Bowen.prénoms ◈ Devon Hermès-Carter. surnom(s) ◈ il ne tient pas au surnom, c'est surfait .âge ◈ trente ans. date de naissance ◈ le seize novembre mille neuf quatre vingt quatre. lieu de naissance ◈ Los Angeles. nationalité ⊱ Américaine. origine(s) ◈ Américaine et Autralienne. occupation ◈ agent secret. orientation sexuelle ◈ hétérosexuel. caractère ◈ Impulsif . drôle .Charmeur . ténébreux . entêté . téméraire . protecteur discret. sportif. intelligent. méfiant. statut ◈ fiancé. groupe ◈ blédina. AVATAR ◈ Jensen Ackles.
someday never comes
Il est venu à Sunset Dream, à la base pour une mission. Il ne devait pas rester. +Personne ne sait son véritable métier. Comme il croit qu'il le cache assez bien + Il a une seule peur, que la cause de son métier soit la perte de sa famille. + Il est assez sportif, il peut pratiquer n'importe quel sport. Il en fait surtout le matin et quelque fois le soir pour s'échapper de la pression + Il sait qu'un moment où un autre son métier va être un frein dans l'avenir, et qu'il va devoir faire un choix. Il redoute ce moment car pour l'instant, il ne sait pas quel choix il doit faire. + Il est assez protecteur, peut-être un peu trop parfois. Ce qui peut l'emmener loin. + Il est claustrophobe depuis qu'il est revenu, une trace de sa dernière mission, qu'il tente de cacher. + Il est hanté par certains cauchemars qu'il fait chaque nuit. trouvant une excuse à chaque fois ... + Il ne prend pas les choses au sérieux quand elles sont critiques, il prend cela avec une pointe d'humour. Il ne reste pas moins quelqu'un de responsable + Il aime les sucreries et le chocolat. + Les animaux se n'est pas spécialement son truc, mais il n'est pas contre. Si cela peut faire le bonheur de sa famille + c'est accidentellement qu'il sait retrouvé agent, brillant à l'école. C'est l'agent qui l'a recruté.
quand on parle de bébés, qu'est-ce que tu fais ? ◈ Je reste rêveur. C'est un événement merveilleux. C'est toujours un bonheur d'avoir un enfant. Une réussite. Je crois que c'est un accomplissement dans une vie. que penses-tu de Sunset Dream ? ◈ Durant cinq ans, j'ai eu l'occasion de voir Sunset Dream, de découvrir les lieux. C'est aussi là que j'ai pu construire une partie de ma vie. Donc je suis attaché à Sunset Dream. Une ville paisible, mais surprenante sous divers aspects. un membre de ta famille viens de mourir. sur son testament, tu es la personne qui doit s'occuper de son enfant. accepterais-tu ? ◈ Je dirais oui, sans exister. parce que c'est un de mes proches et que je lui dois au moins cela. Et que j'aurais mauvaise conscience de refuser et laisser un enfant seul. Si je peux au moins lui venir en aide. Bien que je suis loin d'être un modèle... serais-tu capable de tout abandonner pour ta famille ? ◈ Je crois ... A vrai dire, tout dépend du contexte, mais je crois qu'effectivement, j'abandonnerais tout pour ma famille. Si cela est mieux pour eux .
▸Lyla
présence ◈ 5/7. où avez-vous connu BAB ◈une petite pub sur facebook . code du règlement ◈ j'ai une suprise pour toi, je suis enceinte.votre personnage ◈ scénario de birdie-reeley o. hartley. chose(s) à changer sur le forum ◈ rien . mot de la fin ◈ .
Code:
[b]JENSEN ACKLES[/b] ≈ devon h-c.bowen
Dernière édition par Devon H-C. Bowen le Ven 26 Déc - 20:02, édité 9 fois
« Il y a toujours dans notre enfance, un moment où la porte s'ouvre et laisse entrer l'avenir. » de Graham Greene
La porte d'entrée s'ouvrit doucement devant un père encombrait par une valise, une poussette pliable, un sac de rechange, un couffin vide. La porte pas assez grande, trop de choses prises dans ces bras, le jeune père était dépassé par les événements. Pourtant, ce n'était pas la première fois, qu'il affrontait cette situation. Pour être exacte, cela faisait la deuxième fois, il y a trois ans. Deux ans, ce n'était pas si loin, pourtant, il avait l'impression que cela faisait des siècles. Son attention fut accaparée par une petite voix résonnant à travers la maison, pourtant spacieuse. Suivi de pas dynamique. Avant de voir apparaître le petit garçon, courant droit dans ces bras. L'homme n'a eu le choix de lâcher ce qui portait à bout de bras, partout, dans un fracas sourd, pour accueillir son fils. « Papa, papa... Il est où ? » Des petits bras resserraient son cou, débordant n'excitation. « De quoi parles-tu ? » « Mon petit frère... » Un sourire se dessina sur son visage, heureux de voir la joie de vivre de son fils. « Il arrive, mon grand » Sur ces mots, une jeune femme fit son apparition, au bas de la porte. Un petit corps emmitouflait dans une couverture bleu ciel, tranquille. Serrer contre la poitrine de sa mère, serein. Le jeune garçon, se pencha légèrement vers ce petit corps, empreint de curiosité. Sous les regards admiratifs des parents. « Mon grand, je te présente Devon Hermès-Carter Bowen, ton petit frère. ».
« La vie est comme un jeu d’échecs : nous esquissons un plan, mais celui-ci est tributaire de ce que daignent faire l’adversaire aux échecs et le destin dans la vie. » Arthur Schopenhauer
Poser sur la table froide de la cuisine, devant un bol de céréale, arrosait d'un yaourt parfum framboise. Devon mélangeait sans conviction le contenu, de ce qui devait constituer son petit déjeuner. A ce qu'on dit c'était le repas le plus important de la journée. Pourtant, ce n'est pas l'impression qu'il en avait. Sa mère était plongée dans son journal sans vraiment lire les nouvelles qui pouvaient noircir le papier. Le regard vide, son fils la fixa, les questions remplissant sa tête sans oser les poser réellement. Tout d'abord, pourquoi sa joie de vivre qui d'ordinaire lui taper sur les nerfs, n'était pas à l'ordre du jour ? Avait-elle compris que pour son entourage, c'était insupportable ? Tout le monde dans cette maison savait pourquoi elle agissait ainsi, c'était pour mieux cacher les problèmes qui se trouvaient au sein de cette famille. Il en doute ! Alors, où était vraiment le problème ? Sa question allait trouver finalement une réponse, pour ainsi dire dans pas longtemps avec l'arrivée de son père. Le silence était encore plus pesant, pas un mot, le visage terne et cerné, pour ainsi dire sombre et titubant légèrement. Devon se doutait déjà de ce qu'il allait se passer, ce qui lui avait échappé cependant, c'était le regard triste de sa mère, ces larmes qui pointaient aux creux de ces yeux. L'infidélité qui régnait au sein du couple, sans s'en rendre compte Devon et son frère vivaient cela tous les jours. C'était la même histoire, une malheureuse parole de travers et c'était le début des disputes, de la décadence. Dans ce moment-là Devon s'imaginait être ailleurs, dans un pays au loin, ou encore dans une famille des plus ordinaire. Il se disait qu'il ne fera jamais vivre cela à sa famille, s'il en avait une un jour.Combien de temps, c'était écoulé depuis le moment où il s'était assied sur cette chaise et cette table et ce moment, où il se trouvait assied à cet instant à côté de son frère. Face à ces parents. Leurs deux visages fermés, cherchant désespérément leurs mots. Comme s'ils leur manquaient une suite, un élément. Il aurait donné beaucoup de choses pour ne pas se trouver là. Avec ce sentiment tenace que la situation n'avait rien de réjouissant. Qu'elle allait bousculer leurs quotidiens, leurs vies paisibles si fragile. Un raclement de gorge de son père, ramena tout le monde sur le moment important qui se jouait en ce moment. « Les enfants... » Un regard dans leurs directions, rien de plus. « On a pris la décision avec votre mère... De divorcer. On ne peut plus faire semblant... » Faire semblant de quoi ? Les questions fusaient dans la tête de Devon. Avec ce sentiment de colère et de rire nerveux mélangeaient. Ce qui n'était pas vraiment le contexte, mais la nouvelle ne l'avait pas tellement surpris en soi.
« Tout ce que tu peux faire dans la vie, c’est être toi-même. Certains t’aimerons pour qui tu es. La plupart t’aimeront pour les services que tu peux leur rendre, d’autres ne t’aimeront pas. » Rita Mae Brown
Les couloirs lui semblaient ternes et assez sombres aujourd'hui. Cela venait peut-être du fait qu'il parcourait ces couloirs sans savoir, ce qu'il allait trouver au bout. Devon avait à peine vingt ans. Il suivait un cursus à l'université qui ne lui plaisait pas forcément. Non à vrai dire, il s'ennuyait. Mais c'était toujours mieux que de ne rien faire, ou même avoir un petit job où tous les jours, il faisait machine arrière pour y aller. A vrai dire, il faisait surtout cela, pour le plaisir de sa famille. Et non le sien. Jugeant qu'il avait la capacité de le faire, et lui ne savant pas quoi faire. Disons qu'ils avaient trouvé un juste compromis. Toutefois, cela n'expliquait en rien, cette convocation chez le directeur. Il n'était pas particulièrement un élève calme, assez entêté et borné sur les bords, mais pas de quoi demander une entrevue. Ce qui au fond de lui, paraissait déjà suspect. Il devait bien avoué qu'à chaque fois que quelque chose sortait de ces habitudes. Devon était toujours méfiant. Une nature qui avait du mal à contrôler. À peine franchi la porte, le regard de Devon se portait sur deux hommes plantaient juste à côté du directeur, l'air assez sérieux. Beaucoup trop, peut-être. Éveillant une curiosité soudaine, ainsi que quelques plaisanteries, mal placer. « Monsieur Bowen... » Le directeur fit un signe à Devon de prendre place sur la chaise en face du bureau, ce qu'il fit sans trop de conviction. Son regard plutôt attirait sur les men in black, d'à côté. « Vous vous demandez surement pourquoi je vous ai fait venir ici, aujourd'hui ? » Dans l'esprit de Devon a ce moment-là, ce qui traversa ces pensées sans même user des mots. C'était que ce fameux directeur ne manquait pas de perspicacité. « Ces personnes son des agents secrets, vous avez effectué un test, il y a quelques jours pour eux... Et il semblerait que vous correspondait ... À leurs critères. » Sur l'instant Devon pensait que c'était une blague d'ailleurs, il avait échappé un rire. Avant de constater que c'était loin d'être une blague. En voyant les visages renfermés et inexpressifs des personnes dans la pièce. Ce qui devait être à l'origine qu'une blague, parce qu'il avait passé le test surtout pour s'amuser, devenait réellement une réalité.
À mesure que les années, passent, chaque quartier, chaque rue d'une ville, évoque un souvenir, une rencontre, un chagrin, un moment de bonheur. Patrick Modiano
Le temps était passé si vite, qu'il était difficile de dire exactement depuis combien de temps, il avait infiltré ce cercle de revendeur de drogue. Depuis combien de temps, il avait quitté sa ville natale pour Sunset Dream. Cela ne le changeait pas trop de Los Angeles à vrai dire. Il avait l'habitude de parcourir le pays, sans avoir d'attache réelle. Personne ne savait exactement ce qui faisait vibrer sa vie, même pas ces parents. Pensant naïvement, qu'il faisait des recherches historiques pour nourrir encombrant une fois de plus, les étages d'une bibliothèque nationale. Sois un exemple de mensonge, qu'il avait pris l'habitude de fournir. En réalité, il était bien plus. Aujourd'hui, était-ce qui devait être le début d'un aboutissement après une enquête minutieuse. Un maillon dans la chaîne d'un réseau trop important. Les pas se précipiteraient sur le bitume chaud, d'une fin de journée ensoleillé. Les circonstances n'étaient aux avantages de Devon, depuis quelques instants. Il n'était pas une mauvaise condition physique, seulement celui qu'il poursuivait à l'origine, avait pris un raccourci. Qui handicapait de quelques mètres. D'ordinaire à cette heure-ci, l'endroit était isolé du monde, isolé d'habitants qui préféraient se balader ailleurs, que dans un endroit dépourvu de civilisation. Logiquement. Pourtant, la silhouette d'une jeune femme se dessinait juste devant ces yeux. Le temps lui manquait pour la prévenir de l'inévitable bousculade, que le suspect avait provoquée. Il aurait pu parcourir son chemin, lui accordait juste un regard, lui demandait si ça allait pour la forme. Toutefois, il se sentait obligé de s'arrêter pour l'aider. Le suspect était passé au second plan, ce qui d'après le mode de fonction d'un agent secret n'était pas indiqué. Mais il s'en foutait clairement. Il avait bien d'être occasion de le coincer. Arme à la main, Devon s'empressait de cacher l'arme, arborait un sourire charmeur comme il avait l'habitude de faire, dans les situations les plus gênantes, un peu comme celui-ci. « Vous allez bien ? » Premier contact, de ce qui pouvait paraître qu'une rencontre malvenue, une rencontre qui sortait tellement de son contexte. Pourtant, c'était le début d'une histoire qui à l'origine ne devait pas commencer...Car cette fille qui avait un répondant mordant, charmait assez vite le jeune homme, ce qui en sort était un fait rare. Lui qui préconisait toujours les relations sans lendemain, de par son métier.
On voudrait que ceux qu'on commence d'aimer vous aient connu tel que vous étiez avant de les rencontrer, pour qu'ils puissent apercevoir ce qu'ils ont fait de vous. Albert Camus
L'attente était insoutenable. Ce silence qui régnait, ces informations donnaient au compte goût allaient le rendre fou. Ces murs clairs qui se voulaient réconfortant, débouchaient sur des couloirs infiniment longs. Devon ne savait plus exactement, depuis combien de temps, il était là. Faisant des allers retour, entre sa chambre et ce couloir, bien trop illuminait pour les circonstances. Cette inquiétude qui le tiraillait au fond de lui. Et cette culpabilité qui se terrait au fond de lui, pour le tirer avec le bas, à chaque fois que ces pensées s'aventuraient sur l'accident. Cette culpabilité qui le menait à cet état de fait. Cet accident était de sa faute. Non seulement, il avait quitté la route des yeux. Mais il avait eu aucune réaction pour éviter ce camion. Qu'allait-il lui rester si elle ne se réveiller ? Il n'avait jamais imaginé les choses ainsi. Dans ce contexte. Pour lui, qu'elle soit à ces côtés, était la seule suite possible. Qu'elle partage sa vie, parce qu'il n'envisageait pas sa vie simplement sans elle. Ces moments passaient avec elle, surgissaient dans sa mémoire, pour seule torture. Assied sur une chaise, désemparée, les yeux légèrement humides. Il se frottait les yeux, se donnant un minimum de courage pour affronter le combat de l'inconscience à deux.
Devon se préparait ramener Birdie chez eux. Enfin, chez lui comme elle avait l'habitude de le signaler. Ce qui au début, il vivait comme un échec, un effroi face à la perte de mémoire de sa fiancée. Elle ne se souvenait pas de lui, comme de leur passé commun. Il était tout simplement un inconnu pour elle. Ce jour-là, son univers, sa vie avaient basculé, un peu comme celui de Birdie quand elle découvrait leur relation. Un véritable cauchemar qu'il dissimulait assez bien. Arrivé devant leur domicile, le regard perdu de Birdie inondait son visage, mélangeant une certaine inquiétude. Que Devon se contenta de diminuer en lui souriant et en lui ouvrant la porte. Bagage en main, ils s'aventuraient d'un pas hésitant sur le chemin. Elle en ayant peur de découvrir une partie de sa vie qu'elle avait oubliée, lui hésitant à la manière de se comporter. Toute aussi nouveau l'un comme l'autre. « Nous voilà chez... » « Nous ? » Le regard de Birdie se perdait sur la façade du bâtiment. Devon lui espérait secrètement, qu'elle allait retrouvait la mémoire. Leurs souvenirs en commun. Retrouve cette fille qui l'avait charmé, aimait sans poser de question ou même rire par sa nature débordante. Des sentiments qu'il gardait pour lui, impassible.
“Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal.”
Le noir régnait dans la pièce exiguë, mordu par l'humidité. Devon avait perdu la notion du temps, comme la notion des jours. Une semaine, un mois, s'il était quatre du mat ou dix-huit heures. La pièce était sans cesse dans l'obscurité, il ne sortait jamais. La seule chose qui le faisait tenir, c'était sa famille qui l'attendait à Sunset Dream, sinon il aurait certainement tout laissait tomber. C'était sa force, revoir, toucher l'espoir de les revoir. Il ne se souvenait même plus quelque prétexte, il avait mentionné à Birdie. C'était peut-être la mission de trop, celle qu'il aurait dû refuser. Les seules occupations de ces journées, étaient d'être assises sur cette chaise, attacher. Les muscles meurtris avec cet arrière-goût métallique dans la bouche, en proie à ces ravisseurs peu commode et adepte à la torture. Un moyen de tenir les otages tranquilles. Assez commun, au fin fond du Mexique. Son esprit vagabondait ailleurs, en dehors du peu d'espace qui constituait maintenant son domicile, proviseur. Il l'espérait... Pour cela, il n'avait qu'une seule solution, guettait la faille. Le moment où ces ravisseurs allaient faire une erreur. Une opportunité de s'enfuir. Et elle allait se présenter sous peu...
Dernière édition par Devon H-C. Bowen le Sam 27 Déc - 23:57, édité 23 fois
Timoteï Wilde
bienvenue à sunset dream
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So shine bright, tonight, you and I we’re beautiful like diamonds in the sky. Eye to eye, so alive we’re beautiful like diamonds in the sky.
. Parce que tu pourrais te réveiller au matin et te dire que tu es en train de gâcher ta vie, t'apercevoir que tu avais quelque chose de magnifique que tu es en train de le perdre... Et que tu ne peux pas. Tu ne peux pas te le permettre. Tu ne peux pas souffrir en silence et vivre une vie vide et inutile. Parce que quand on rencontre la bonne personne, la personne spéciale, unique, la seule, alors on doit tout faire pour la reconquérir. Même monter sur scène au beau milieu d'une DJ-session, interrompre la musique et faire parler son coeur. Il ne vous est jamais arrivé d'être amoureux, de ne penser à rien d'autre qu'à lui ou à elle, de ne désirer rien d'autre que de le ou la voir, passer du temps avec lui ou elle, pourvoir l'avoir ? Moi, c'est ce que je vis en ce moment.
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Ven 26 Déc - 15:54
Merci Je n'en doute pas India
Alice Livingston
bienvenue à sunset dream
On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir... Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé.
Tu es cette chose que j'ai toujours rêvé d'avoir mais que je n'aurais plus jamais. Tu es cet enfant qui aurait pu grandir au fond de moi, avec qui j'aurais pu rire, pleurer, crier. Mais je t'aurais tellement aimé, de tout l'amour que j'aurais pu t'apporter. Mais tu ne serais jamais là.
« couches changées » : 56 « âge » : trente ans.
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Ven 26 Déc - 17:15
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Ven 26 Déc - 18:35
Merci On va essayé d'être au top
Birdie-Reeley O. Hartley
bienvenue à sunset dream
MY HEART BELONGS TO YOU.
L'amour est toujours passion et désintéressé. Il n'est jamais jaloux. L'amour n'est ni prétentieux, ni orgueilleux. Il n'est jamais grossier, ni égoïste. Il n'est pas colérique. Et il n'est pas rancunier. L'amour ne se réjouit pas de tous les péchés d'autrui. Mais trouve sa joie dans l'infinité. Il excuse tout. Il croit tout. Il espère tout. Et endure tout. Voila ce qu'est l'amour.
Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre. Mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Ven 26 Déc - 20:59
Bienvenue officiellemet :cercle:hop: : comme je suis sur mon portable je peux pas faire une avalanche de smileys. Bonne chance pour ta fiche et n'hésite pas à m'harceler si tu as des questions
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Ven 26 Déc - 22:20
merci ce n'est pas grave, j'ai déjà des smileys j'ai un peu de travail sur la fiche mais j'espère que ça va te convenir. Je n'hésiterais pas pour les questions
Wendy K. Elwood
bienvenue à sunset dream
Tristan My BFF and....
My love Tristan mon amour je serais rien sans toi , je t'aime plus que tout au monde. Tu es la personne qui sais me remettre dans le droit chemin quand je déraille et tu es la personne qui me connait le plus. Justine mon aventurière
Justine ma princesse , ma fierté. Je t'aime tellement et tout ce que tu entreprend je suis sur que tu le réussira. Tu es la jeune fille que tous les parents rêve d'avoir. Maxime et Olivier mes jumeaux ma fierté
Maxime et Olivier vous êtes la prunelle de mes yeux et je ferais tout pour vous. Rien ne me fait plus plaisir que de vous voir sourire chaque matin et vous entendre gazouiller. Vous êtes ma vie. Charlie et Winny Mes futures petites princesses
et oui encore des jumelles. Mais que voulez vous on veux une équipes de basebal
« couches changées » : 206 « multi-comptes » : Constance J. Keller« âge » : 30 ans
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Sam 27 Déc - 0:42
Bienvenue sur BAB Bonne rédaction pour ta fiche Bon choix d'avatar
Invité
Invité
bienvenue à sunset dream
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Sam 27 Déc - 0:45
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Sam 27 Déc - 22:16
merci
Elisabetha renée Paxon
bienvenue à sunset dream
Who are you to judge the life I live? I am not perfect and I don't have to be!Before you start pointing fingers,make sure your hands are clean.
Alcohol may be man's worst ennemy, but the bible say love your ennemy
gone to soon sweetie <3
Missing someone isn't about how long it has been since you've seen them or the amount of time since you've talked. it's about that very moment when you find yourself doing something &wishing they were right there by your side!
Sujet: Re: The human soul draws its substance in experiments l Devon Dim 28 Déc - 11:08
bienvenue à toi, petit chou à la crème.
Birdie m'a demandé de te valider, apparemment, tu as fini ta fiche (fiche que j'adorent passant )
Bravo! Tu es arrivé jusqu'ici, tu as bien fait ton travail. on savait que tu faisais partie des meilleurs ta fiche étant terminée, j'ai le plaisir de te valider. C'est avec joie que je t'ouvre les portes du forum et de Sunset Dream. maintenant, lâche-toi et soit le maître de ta vie
≈ tu es sans amis, sans famille, tu t'appelles Remi et bien, tu peux aller te faire un petit scénario qui déchire. ≈ on peut dire que les SDF sont très biens vu alors fonce à l'agence immobilière. il y a des logements pour tous les goûts et tout le monde. ≈ sans emploi, pas d'argent. on est bien obligé de travailler. viens vite, poser ta candidature≈ des tonnes de petits choux pour s'amuser comme des fous. hop, vite une fiche de liens≈ un, deux, trois.... et un nouveau membre. ça ne prend qu'une seconde, bazzart est notre ami. ≈ Tu as désormais le droit de poster et flooder !
Encore bienvenue et surtout n'oublie pas de jeter de temps à autre un coup d'oeil sur les Mises à Jour du forum afin de t'informer le mieux possibles des nouveaux événements. N'hésite surtout pas à harceler les membres du staff si tu as la moindre question. on est là pour ça quand même.